dimanche 16 octobre 2016

LE FRANÇOIS


Vatican II s'est dit « signe des temps » !
Cela ne vous suffit-il pas ?
Considérez donc un peu François :
Vous verrez qu'il en est l'accomplissement.

Le François est un scélérat,
Le plus grand des scélérats,
Qui fait tout le contraire
De ce qu'ont fait ses pères
Ce qui est la marque de l'Antéchrist.
Il est donc un antichrist
Qui s'élève contre le vrai Jésus
En fabriquant un nouveau jésus
Qui n'a rien à voir avec le véritable,
Mais qui a tout à voir avec le diable.
Mais où prend-il sa doctrine ?
Dans l'Antéchrist collectif :
C'est là sa véritable usine,
Son alchimie en positif
Où il trouve ses munitions
Pour la Grande Tribulation.
Ce collectif est Vatican II,
Le plus impie des faux-conciles,
C'est-à-dire un anti-concile,
Qui lui aussi enseigne le contraire
De tout ce que firent les Pères
Dans les Conciles légitimes ;
Vatican II est donc illégitime.
Vatican II n'est autre que Gog,
Et le François est Magog.
Depuis plus de cinquante ans s'accomplit
La scripturaire Prophétie,
Et point n'est besoin d'énumérer,
Ce que tout le monde peut constater,
Les méfaits de cette apostasie
Qui est la Grande Apostasie
Annoncée par les Écritures,
Et plus besoin de conjectures
Pour savoir ce qui se passera
Et que nous savons déjà.
Si l’Église est dans le tombeau,
Elle s'élèvera d'autant plus haut :
Les modernistes ont cru la réduire
À exhaler son dernier soupir !
C'est le contraire qui arrivera
Malgré le traître François,
Malgré les traîtres de Vatican II,
Malgré les Jean-Paul I et II,
Malgré le faux-Benoît encore vivant
Et le saint XXIII Jean,
Et aussi malgré le Paul VI,
Tous amis du 666.
Toutes ces bêtes seront jetées
Et pour toute l'éternité
Avec leur grand Lucifer
Et tous les diables d'enfer
Dans le soufre et le feu,
Et l'on dira : « Vatican II,
Où sont tes décrets impies
Et toutes tes inventions ? »
Il répondra avec dépit :
« Hélas hélas ! ils sont dans le fin fond
De l'enfer où je suis
Avec l'Antéchrist mon fruit
Qui m'a si bien accompli. »
Et pendant ce temps, l’Église
Brillera comme sept soleils
À la lumière du divin Soleil,
Car elle sera remise
Sur le haut de la montagne,
En vue de toute la campagne
Qui viendra chez elle solennellement
Au son de tous les instruments.
On se rappellera alors le temps
Qui est le nôtre assurément
Où Dieu laissa son châtiment
S'accomplir jusqu'au moment
Où, par l'effet de sa justice,
De son souffle il fit justice
De l'Homme d'Iniquité,
L'Antéchrist, cet homme damné,
En le précipitant tout vivant,
En un clin d’œil, en un instant,
Jusqu'au fond des abîmes
Afin que soit exterminée
Cette race qui s'est élevée
Au-dessus même de la cîme.
C'est ainsi que tu finiras,
Ô toi, horrible François !
Ô sainte Église réduite
À un état domestique,
Tu es toujours catholique,
Et demain ta réussite
Sera totale et complète
Sur ceux qui aujourd'hui font la fête
En croyant t'avoir anéantie
Pour toujours au fond du puits
Et dans un éternel oubli.
Mais de toi elle se rit,
Ô Antéchrist malfaisant,
Et de ta bande de bons vivants,
Car vous ne prévaudrez pas sur elle
Puisqu'elle a les promesses éternelles
De subsister jusqu'à la fin
Malgré le monde et le malin,
Malgré Jeannot le vingt-troisième
Et malgré Paulo le sixième,
Malgré Vatican le deuxième,
Malgré le Benoît seizième,
Malgré Jean-Paul le deuxième
Et malgré le Jean-Paul premier
Et malgré le François premier
Qui est de tous le plus zéro
Puisque n'ayant pas de numéro.
Vous six individuels
Avec le collectif septième,
Vous êtes tous et chacun anathèmes,
Et pour vous n'est pas le ciel.
Vous avez démoli ?
Vous serez démolis !
Vous avez tout cassé ?
Vous serez tous les sept brisés !
Vous avez tout anéanti ?
Vous serez tous anéantis !
Et l'on dira de ce temps :
« C'était le temps des temps
Annoncé avant la fin des fins,
Mais ce temps a pris fin. »
Et un certain temps de paix
Sera accordé au monde
Avant la fin du monde.
Gloire à Dieu à jamais !


Gilbert Chevalier

l'Aveugle-Vendéen
(15/04/2014)

1 commentaire:

  1. 1004- « Le propre de l’Église, c’est :
    - d’être victorieuse quand on la frappe ;
    - de briller par la science quand on l’attaque ;
    - d’être en paix quand on l’abandonne ;
    - de faire des conquêtes quand elle semble vaincue. »

    (Pierre de Blois)

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