samedi 24 décembre 2016

POÈMES 81 à 90


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81- LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE


Il y a bientôt cent ans
Que le soleil tourna
Au-dessus de Fatima
Vingt-et-un ans avant
Que n'eut lieu le Grand Avertissement :
Ce fut le Grand Miracle.
Près de quarante-deux ans
Après ce divin oracle
Éclata une guerre,
La Troisième du nom
Que notre divine Mère
Révéla à Lucie
En la terre bénie
De Cova da Iria
Tout près de Fatima.
On me dira : « Mais non !
Il n'y eut que deux guerres ! »
Chers amis, la dernière,
La Troisième du nom
Est celle que nous vivons.
Notre-Dame de Fatima,
Délivrez-nous de cette heure-là !
Non pas notre volonté, cependant,
Mais celle du Dieu vivant.


l'Aveugle-Vendéen
(13/10/2013)

82- FATIMA


Notre-Dame à Fatima
Annonça l'avenir,
Ce qui devait venir
Et qui nous arriva :
La deuxième guerre mondiale
Et la Grande Apostasie
Prédite dans les saintes Annales
Ou Écritures comme on dit.
Fatima est blasphémé !
Fatima a été renié !
Mais Fatima s'accomplira
Par l'Ave Maria !


l'Aveugle-Vendéen
(13/10/2013)

83- LES TROIS TABLEAUX DU ROSAIRE


Ce jour, Notre-Dame de Fatima
Elle-même se nomma
Notre-Dame du Saint Rosaire,
En trois tableaux, non quatre.
Qui veut donc faire le diable-à-quatre
Aille en autre lieu le faire !
Quelles sont ces trois tableaux ?
Les mystères joyeux,
Douloureux et glorieux.
Quant aux lumineux, zéro,
Cela n'a pas été montré
Aux trois petits bergers.
Concluez, gens d'aujourd'hui,
Tout ce que cela vous dit.
Je vous dirai, quant à moi,
Ave, ave, ave Maria !


l'Aveugle-Vendéen
(13/10/2013)

84- LETTRE À MA MIE


Écoute-moi, âme chérie,
Écoute ma poésie !
Que te dirai-je, ô ma mie
À toi qui te crois choisie ?
Mon cœur saigne et ma main tremble !
Mais allons, cheminons ensemble !
Pose ta tête sur mon cœur
Et arrose-moi de tes pleurs !
Dis-moi dans un soupir
Ce qui te fait gémir !
Reviens ma bien-aimée !
Relève-toi de suite !
Le diable t’a abusée !
Reviens, reviens vite !
Ne vois-tu donc pas
Qu’il a pris l’apparence
De ce que ton cœur a
Le plus en complaisance !
Combien, fille chérie,
Sont dans ce temps terrible,
Qui se croient invincibles,
Mais sont vaincus, anéantis
Par la fausse lumière
De celui qui trompa
Notre première mère
Par un fruit délicat !
Vas prendre un directeur
Qui te conseillera !
Mais où sont les pasteurs ?
Ils sont tombés en bas :
Une grande Assemblée
Les a fait s’égarer !
Leur Tête étant coupée,
Ils se sont effondrés.
Depuis ce jour maudit,
Sur terre règne la nuit
Que peuplent les fantômes
Qui vont, trompant les hommes.
Point ne jetterai la pierre
À ton âme trompée :
Le front dans la poussière
Sans cesse pleurerai
En priant jour et nuit
Que le Seigneur veuille bien
Te ramener à lui
Dans le droit du chemin.
C’est tout ce qu’il nous reste
En ce temps de misère
Où la fausse lumière
Éclaire ce qui reste
Des décombres informes
De qui était la forme
De la gloire passée
Que le diable a fracassée,
Savoir, c’est de prier
Sans cesse, sans s’arrêter.
Mon amie, ne pleure plus,
Car c’est bien maintenant
Que le temps est venu
De sourire en disant :
Le temps est arrivé
Où Satan croit gagner ;
Mais c’est sa dernière guerre,
La plus cruelle, certes,
Mais c’est bien la dernière
Et sa dernière perte.
Ma bien-aimée console-toi,
Et puis repose-toi :
Il va ressusciter
Ce temps déjà passé,
Et tu ne seras plus abusée
Par aucune fausse rosée.
Pour l’heure, prie et débarrasse-toi
De ce doux mais méchant poids !
Dis-lui : « Va-t'en, ne reviens plus ! »
Ou tu seras perdue.
N’écoute pas ses tendresses
Et refuse ses caresses :
C’est un esprit trompeur
Qui te met dans le cœur
Un faux amour de Dieu
Pour te tromper plus mieux.
Prie sans cesse et tu verras
La vérité de ce que je te dis là !
Dis tes Ave Maria
Et tu ne te tromperas pas.
En vérité, il ne te reste plus que cela :
Ave, ave, ave Maria !
Maintenant, relève la tête,
Car cette méchante bête
Est partie pour jamais
Avec sa fausse paix.
Pour quand tout ce que je te dis ?
C’est pour le temps d’aujourd’hui ;
Quand nous aurons bu jusqu’à la lie
Le calice de la folie
Qui règne partout dans le monde
Où l’iniquité surabonde.
Les Pontifes nous l’ont redit :
Croyons-les sur parole !
Ce n’est pas une parabole :
Les temps sont accomplis.
Alors finies seront
Toutes ces fausses visions
Qui nous débitent à journée
De ces paroles dorées
Qui soi-disant viennent du ciel.
Mais notre Père éternel
Chassera, par Jésus-Christ,
Tous ses fantasques esprits :
Saint Michel et Marie
Chasseront l’Étranger,
Et c’en sera fini
De toute sa cruauté.
Maintenant, diras-tu, que faire ?
Se livrer uniquement à la prière.
Cela, ils ne pourront nous l’enlever :
C’est tout ce qui doit nous rester
Pendant cet effrayant cataclysme
Où Satan croit vaincre le christianisme.
Mais après cela, l’Église,
Notre chère et sainte Église
Renaîtra comme pour ainsi dire,
Car certes elle ne peut périr,
Et son triomphe sera si grand
Qu’elle couvrira l’humanité
De toute sa luminosité
Avant que ne vienne en vérité
Le terrible Jour du Jugement
Où nos corps seront ressuscités.
En attendant, prends patience
En ce siècle d’inclémence,
Ô âme chérie de Dieu,
Si tu veux un jour dans les cieux
Régner avec Notre-Seigneur.
Pour le moment, prépare ton cœur
À la grande tribulation,
À cette grande tentation
Dont le terme a été fixé
Depuis toute éternité.
Notre promenade est finie,
Âme bien-aimée, fille chérie.
Retournons à nos occupations
Sans nous occuper des locutions,
Visions et apparitions
Qui en ce temps, crois-le sont
Presque toutes diaboliques :
Je te le dis avec douceur,
Ô chère fille de mon cœur !
Mais chantons ce divin cantique :
Ave, ave, ave Maria !
C’est par ce signe que tu vaincras.



l'Aveugle-Vendéen
(13/10/2013)

85- L’ÉTOILE DU BON DIEU


Une Étoile brille dans les cieux,
Et c'est l’Étoile du bon Dieu :
Elle se nomme Marie !
Et lorsque l'on la prie,
Elle écoute nos vœux
Et elle entend nos pleurs :
Prions-la avec ferveur
Pour être un jour heureux !


l'Aveugle-Vendéen
(14/10/2013)

86- QU’IL EST DOUX


Qu'il est doux de servir le bon Dieu :
C'est avec lui seul qu'on est heureux.
Qu'il est doux de servir Marie
Et de lui dire : Ave Maria
À la mort et dans la vie
Et jusque dans l'au-delà.


l'Aveugle-Vendéen
(14/10/2013)

87- MON ÂME POURQUOI GÉMIS-TU

Oh ! qui dira, qui redira
La tristesse qui trouble mon cœur ?
Oh ! qui dira, qui redira
Pourquoi tant d'angoisse et de douleur ?
Mon âme, pourquoi gémis-tu sans fin ?
Pourquoi tu te lamentes et tu pleures ?
- C'est qu'est arrivé le temps de la fin,
C'est qu'est venu le Grand-Calomniateur !


l'Aveugle-Vendéen
(15/10/2013)

88- LA GRANDE TRIBULATION

Oh ! que te dirai-je à cette heure
Où l'enfer chante et le ciel pleure ?
Le soleil s'est voilé la face
Et la lune rougit de honte !
Mais il faut que ce temps passe,
Qu'avant de descendre, il monte
Le Loup ravissant les brebis,
Les éparpillant de-ci, de-là,
Et les faisant tomber là-bas
Où la mort règne, où la mort gît.
Mais comment cela peut-il se faire ?
Comment les Étoiles sont-elles tombées
Jusque dans le fond de l'enfer
Où il les a précipitées ?
Oh ! les larmes lumineuses
De saint Laurent sont moins nombreuses.
Oh ! qu'il en faudrait des poèmes
Pour révéler tous les blasphèmes
Que cet Homme de péché
Est en train de proférer !
Oh ! pleure et te lamente,
Mon âme, sans t'arrêter
Car le temps est arrivé
De la Terrible Tourmente.


l'Aveugle-Vendéen
(15/10/2013)

89- JE T’AIME MOI NON PLUS

Je t'aime moi non plus
Chantait un certain quelqu'un
Qui de ce monde n'est plus,
Mais qui est parti en son lieu
Et qui a passé la main !
Que nous dit-il de son creux :
« Humains, ne m'imitez pas !
Ne venez pas avec moi !
C'est pour avoir mal vécu
Que tant d'hommes se sont perdus. »


l'Aveugle-Vendéen
(15/10/2013)

90- LES COPAINS D’ABORD


Les copains d'abord, chantait celui-ci !
Certes, avec eux il est parti !
Mais où s'est-il donc rendu ?
Entendez donc, vous qui n'écoutez plus :

« Je suis avec celui qui viendra
Nous voir un jour dans ce lieu-là.
Alors nous nous lèverons tous ensembles
Et lui ferons une haie d'honneur :
Tous les copains nous serons à cette heure
Pris d'une frénésie qui tremble !
Car nous lui dirons
« Toi aussi
Tu as été vaincu par Jésus-Christ ?
»
Et alors nous lui assignerons
La dernière place tout au fond.
»
Oh ! qu'elle est terrible cette heure
Que tant et tant de saints ont vue !
Oh ! qu'elle est terrible la demeure
Où sainte Thérèse est descendue !
Elle a décrit ce lieu en écriture
Elle nous en a fait la poignante peinture.
Mais aujourd'hui, certes on dira :

« Non non l'enfer n'existe pas ! »

l'Aveugle-Vendéen
(15/10/2013)
 




 

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 NEUVAINE de NOËL (St Alphonse de Liguori) :  
9e jour
http://montfortajpm.blogspot.fr/2015/12/neuvaine-de-noel-st-alphonse-de-liguori_24.html 

 Saint Joseph se rend à Bethléem avec sa Sainte Épouse
« Joseph partit... pour se faire inscrire sur les registres de l’empire, avec Marie son épouse, qui était enceinte. »  

.... Très Sainte Vierge, Marie, 
je viens Vous tenir compagnie 
dans Votre voyage à Bethléem ; 
et Vous, ô ma Mère, 
ne cessez pas de veiller sur moi 
et de m’assister durant mon voyage vers l’éternité. 
Ma Souveraine, sauvez-moi, par Votre intercession, 
délivrez-moi de l’enfer et conduisez-moi au ciel. 
Vous êtes mon espérance, 
et j’attends tout de Vous.



1 commentaire:

  1. 1073- « Ayons soin de demander sans cesse,
    non seulement la persévérance finale et les grâces nécessaires pour l’obtenir,
    mais encore et particulièrement la grâce de continuer à prier,
    don inestimable que le Seigneur a promis à ses élus. »

    (Saint Alphonse de Liguori)

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