dimanche 8 janvier 2017

POÈMES 231 à 240

 
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231- DERNIÈRE MISE EN GARDE

Toute lettre que vous recevrez
De moi, ne la recevez :
Elle ne viendra pas de moi
Mais de quelque autre que moi.
C'est le dernier avis
Que je vous donne aujourd'hui :
Autre avis vous ne recevrez,
Celui-ci est le dernier.


l'Aveugle-Vendéen
(18/12/2013)

(Voir poèmes 182 et 175)

232- MOI - LUI

Moi je dis : Je crois en Dieu.
Lui il dit : Je crois en l'homme.
Cela n'est-il pas merveilleux
Que moi, un pauvre et simple homme,
Professe la foi catholique
Et que lui professe la foi hérétique ?
Si vous voulez comprendre tout cela,
Récitez l'Ave Maria,
Et vous aurez la lumière
Pour comprendre ce mystère.


l'Aveugle-Vendéen
(18/12/2013)

233- TROIS P'TITS TOURS ET S’EN REVIENNENT

L'un s'en va, l'autre arrive,
Mais c'est toujours la même rive !
Ne vous fiez pas aux francs-maçons :
Ils ont mille contributions
Qui s'en vont et s'en reviennent :
C'est toujours la même rengaine.
Ils se déguisent à loisir
Et ils vous trompent à plaisir,
Un jour en homme, un jour en femme,
Un jour monsieur, un jour madame,
Et sur internet c'est facile
De jouer le dévot imbécile.
Chers chrétiens, ne vous fiez pas
À tous ces gens et genses-là :
Moi je les connais, croyez-moi !
Ave, ave, ave Maria !
Et la comédie continue
Avec tous ces hurluberlus
Qui disent toujours qu'ils s'en vont
Et qui ne s'en vont jamais,
Car en très bons francs-maçons
Ils changent leurs vêtements
Sans que rien il n'en paraît :
Et ils continueront comme avant
Sous une autre identité,
Et vous en serez trompés
Si vous n'êtes sur vos gardes.
Avis donc, prenez garde,
Et ne vous laissez pas berner
Par toute cette mascarade
D'une comédie bien jouée,
Mais qui n'est qu'une parade
Afin de se disculper,
Car enfin, il faut bien obéir,
Quoique l'on dusse périr,
Aux ordres bien assénés
De la Secte maçonnique
Qui leur dit : obéissez !
Séparons-nous de cette clique.
Moi je continue mon chemin
Sans m'occuper de ces malins
Qui rigolent en sous-main,
Car ils s'en vont en restant
Et ils restent tout en partant,
Allez comprendre comment !
Et je dis mes Ave Maria,
Sans m'occuper de tout cela :
Amis, faites donc comme moi.


l'Aveugle-Vendéen
(18/12/2013)

234- AIMER ET SUIVRE

J'aime et suis le Pape
Et non quelque sous-pape ;
J'aime et suis le Saint-Père,
Non quelque fausse pierre ;
J'aime et suis l’Église,
Non quelque sœur-église ;
J'aime et suis la hiérarchie,
Non quelque autre fantaisie ;
J'aime et suis les Conciles,
Non quelque assemblée débile ;
J'aime et suis l’Église enseignante,
Moi qui suis de l’Église enseignée,
Non quelque vache meuglante
Ou quelque taureau ailé.
Je pourrais continuer longtemps,
Mais tout le monde a compris :
C'est pourquoi je ne m'étends
Pas davantage aujourd'hui.



l'Aveugle-Vendéen
(19/12/2013)

235- NOËL DES ANGES


Nous sommes venus vous annoncer
Aujourd’hui une grande nouvelle,
C’est que chez vous il est né
Celui qui est la Parole éternelle.


l'Aveugle-Vendéen
(19/12/2013)

236- DIXIT

« Nous sommes le nom de Dieu
Et lui sommes consubstantiels :
La terre est notre ciel !
Ce sont les nouveaux cieux.
Et je le dis, croyez-moi :
Votre conscience est votre loi. »
Point n'est besoin de commentaires
À cette doctrine délétère
Du nouveau dieu de la terre
Qui veut régner sur l'univers
Comme un autre Voltaire,
Renversant l’Église notre Mère,
Cette Église de toujours
Qui a plus de deux mille ans de jours
Et en laquelle je crois
Comme nous l'enseigne la foi.
Il monte, il monte, il monte
Avant qu'il ne se démonte
Quand il sera renversé
Par le pied de l'Immaculée.


l'Aveugle-Vendéen
(20/12/2013)

237- NOËL DES BERGERS


Allons donc voir ce qui nous est annoncé
Et voyons par nous-mêmes, de nos propres yeux
Celui qui est né dans notre contrée
Et que nous annoncent les Anges des cieux.


l'Aveugle-Vendéen
(20/12/2013)

238- L'URINAIRE

Comme les temps ont changé !
Une femme dépoitrinée
Entre tranquillement
Dans l'église de la Madeleine
Où il se trouve quelques gens.
Et voilà que cette femen
S'en vient tout devant l'autel
Sans que personne ne dise rien,
Et là elle fait ses besoins
Et s'en retourne chez elle
Tranquillement sans rien dire,
Et personne pour réagir !
Moralité de l'histoire :
S'ils avaient fait quelque chose,
On les eût envoyés sur les roses
Comme des méchants nazis,
Des extrémistes finis,
Bref, tout ce qu'il y a de plus noir.
On portera plainte pour rire
Pour faire mine de réagir.
Ne cherchons plus à comprendre
Car tout le monde a compris
Que lorsqu'on fait une esclandre
Il faut être du "bon parti",
Du parti le plus rouillé,
Et c'est là qu'on est décoré.


l'Aveugle-Vendéen
(20/12/2013)

239- NOËL DES ENFANTS


Nous sommes des enfants :
Nous courons vitement
En suivant les bergers
Jusqu’où Jésus est né.


l'Aveugle-Vendéen
(21/12/2013)

240- LES BLASPHÉMATEURS DE MARIE

Les blasphémateurs de Marie
Finiront dans le puits.
Que tous les poissons grillés
En soient bien alertés !
Car enfin, qu'a-t-il dit ?
Et cela est écrit !
Que Marie a douté
Au pied-même de la Croix !
Elle s'est même demandée
Si elle n'avait pas rêvé !
Horreur ! Horreur ! Horreur !
Au pied-même du Sauveur !
Et qu'a-t-elle pensé ?
« Mon fils, tu m'as trompé ! »
Si on l'avait poussée,
Elle aurait manifesté !
Quelle est donc cette femme
Que lui décrit ainsi ?
Ce ne peut être Marie !
Si ç'eût été la dame
Qui à Medj apparut,
Du coup je l'aurait cru
Car cette actrice-là
N'a fait que du cinéma.
Mais non, il parlait bien
De notre Sainte Vierge !
Et voilà le larcin
Qui mérite la verge.
Un larcin ? Que dis-je ?
C'est plutôt un blasphème
Qui mérite anathème.
Et là, mon sang se fige !
Quand on attaque Marie
On mérite le puits.
Mais que n'a-t-il pas attaqué,
Lui, le poisson grillé ?
Mais Dieu ne souffrira pas
Qu'il attaque sa Mère
Qui était résignée, là,
Au pied-même du Calvaire.
Elle n'a jamais douté :
Elle a toujours aimé.
Lui doute toujours :
C'est son credo d'un jour.
Mais prions en silence
Et gémissons tout bas
De cette irrévérence,
De ce blasphème-là.
Nous en verrons bien d'autres
Avec les faux apôtres :
L’Écriture nous le dit
Et les Saints nous l'assurent :
Il faudra boire la lie
En sa dernière mouture.
Et je m'adresse à toi,
Blasphémateur impie :
Si tu hais tant Marie,
C'est qu'elle t'écrasera.
Cela tu le sais bien
Car tu connais trop bien
Tout ce qui te concerne !
Sorti de ta caverne
Tu hantes l'univers
De tes propos divers
Qui n'ont ni queue ni tête
Puisque charabia informe,
Digne de cette bête
Qui avec toi fait forme.
Accomplis donc ton œuvre,
Méchant fils de la veuve,
Car le temps t'est laissé
Pour vouloir tout renverser.
Mais ton temps passera :
D'en haut tu tomberas !
Je le dis encore une fois :
Les blasphémateurs de Marie
Finiront dans le puits
Tout au fond, tout au fond avec toi !


l'Aveugle-Vendéen
(21/12/2013)


    
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SOLENNITÉ de l’ÉPIPHANIE
(dimanche suivant)
http://montfortajpm.blogspot.fr/2016/01/lepiphanie-de-notre-seigneur-6-janvier.html

« « Ô mon Dieu !
je vous supplie de rendre ces filles (les Visitandines),
que vous m’avez données,
toutes d’or en charité,
toutes d’encens et de parfums par l’oraison et la vie intérieure,
et toutes de myrrhe en mortification ! »

(Saint François de Sales)




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La SAINTE FAMILLE
(1er dimanche après l’Épiphanie)
 http://montfortajpm.blogspot.fr/2016/01/la-sainte-famille-dimanche-suivant.html
« La fête de la Sainte Famille
de Jésus, Marie, Joseph :
Famille dans laquelle
les plus saints exemples
sont proposés aux familles chrétiennes
et de précieux secours
offerts à ceux qui les sollicitent. »

(Le Martyrologe Romain)


1 commentaire:

  1. 1088- « Ne nous lassons point de demander à Dieu l’esprit de prière,
    c’est-à-dire cette grâce de toujours prier,
    car si nous prions toujours,
    nous obtiendrons infailliblement du Seigneur la sainte persévérance
    et toutes les autres faveurs que nous souhaiterons
    puisqu’il ne peut manquer à la promesse qu’il a faite d’exaucer celui qui le prie.
    Avec cette espérance de toujours prier, nous pouvons être sûrs de notre salut.
    Cette espérance, dit le vénérable Bède,
    nous introduira certainement dans la cité céleste. »

    (Saint Alphonse de Liguori)

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