Pape
François, je commence par te dire une chose que tu sais fort bien,
savoir que tu n’es point Pape. Toi-même l’as dit à un de tes
amis : « Il fallait bien que je passe par là. »
Qu’est-ce à dire ? Tout simplement que tu estimes qu’il
fallait usurper ce trône afin de monter plus haut. Mais qu’y
a-t-il de plus haut que la Papauté, si ce n’est Dieu lui-même ?
Oui,
pape François, tu désires escalader le ciel afin de détrôner Dieu
lui-même, que dis-je, afin de le surpasser, comme toi-même l’as
affirmé, disant : « Il faut défier Dieu ! »
et pour enfoncer le clou : « jusqu’au-delà de
l’éternité ! »
Tu
n’es pas sans savoir que qui s’élève sera abaissé, mais ton
orgueil immense te met un bandeau sur les yeux. Tu te crois
l’Antéchrist, mais d’autres ont cru l’être avant toi, et ils
se sont brisés, car ils ne l’étaient pas. À supposer que tu le
sois, ce qui n’est pas encore avéré, tu seras brisé comme les
autres mais d’une manière plus terrible qu’eux puisque ce ne
sera pas de main d’homme.
Pour
l’heure, tu continues ton ascension et personne ne te résiste. Tu
viens d’introduire l’idole dans le Lieu Saint : je parle de la
Pachamama. Tout le monde le voit, tout le monde le sait, et
pratiquement personne ne réagit ! Et tu peux te dire avec raison : «
Je vais de l’avant ! » selon ta propre expression.
Tu
as affirmé, il y a un mois, par la plume de Scalfari, que tu
estimais que Jésus
n’est pas Fils de Dieu
; d’ailleurs, le même Scalfari vient de le
confirmer encore il y a quelques jours.
Tout le monde l’a su ; il y a bien eu quelques réclamations
et quelques démentis qui n’en étaient pas ; puis la
poussière est retombée et la pilule a passé. Ainsi en est-il de
tous tes blasphèmes : on crie, puis on se tait, puis on
approuve.
À
quoi bon te rappeler ton parcours tortueux : cela ne te
servirait de rien et ne servirait à personne. C’est d’ailleurs
là-dessus que tu te fis pour monter toujours plus haut et pour
accomplir ton plan prémédité d’avance, selon tes propres
paroles : « Deux pas en avant et un demi en arrière ! »
Il est certain que les choses continuant de la sorte, tu arriveras
certainement à tes fins, à moins, et voilà toute la question, à
moins que tu ne sois pas l’Antéchrist, chose que tu as aussi
prévue en plaçant tous tes pions dans le collège cardinalice afin
que si ce n’est toi, ce soit ton successeur.
Le
conseil que je te donne et qui va étonner tout le monde et toi le
premier est celui-ci : va de l’avant puisque la voie est
libre. Rappelle-toi ce que Jésus disait à Judas : « Ce
que tu as à faire, fais-le vite. » Eh bien, je te dis la même
chose, car vois-tu, plus vite tu seras au sommet, plus vite tu seras
précipité.
En
effet, ton entreprise est vouée à l’échec. Il te reste encore du
travail à faire, et le principal est ton
saut de qualité.
Tant que tu ne l’auras pas réalisé, on ne pourra pas dire avec
certitude que tu es l’Antéchrist. Mais si tu le réalises, tu
auras le monde entier à tes pieds ; mais sache que deux Témoins
te feront face, Hénoch et Élie ; tu les combattras, et au bout
de trois ans et demi, tu les vaincras en les mettant à mort. C’est
alors que tu penseras être arrivé au sommet, mais c’est là que
Dieu t’attend, et Celle que tu détestes le plus, la Vierge
Immaculée, t’écrasera la tête! Tu la hais tellement que tu lui
as opposé un simulacre dans l’idole abominable de la Pachamama.
Mais Marie te vaincra, et l’Église que tu crois détruire
resplendira après ta chute.
Réfléchis
à tout cela, Bergoglio, et reviens en arrière, car il est toujours
temps, même pour toi, car rien ne prouve que tu sois vraiment
l’Antéchrist. Mais si tu l’es......
G.C.