dimanche 24 avril 2022

C'est FAIT

 C'est fait, vous avez choisi
Celui qui est un bandit.
Je n'ai donc plus rien à dire.
Ce qu'il me faudra écrire,
Je le ferai en temps opportun
Si Dieu me prête vie,
Au temps où le fils du malin,
Autrement dit l'Antéchrist,
Fera son saut de qualité.
Avant ce temps, je me tairai.
Le représentant du Christ,
Le Saint-Père autrement dit,
Sera nommé en ce temps-là
Qui est tout proche, croyez-moi.

PHASE TERMINALE


 
Un homme en phase terminale

Vous dit ce qui était fatal :

« C’est fait, vous l’avez élu,

Et maintenant, ne vous plaignez plus ! »

Ces deux vers résument assez

Ce que vous avez réalisé !

Vous êtes en phase terminale,

Et ce qui vient vous sera fatal.

VOTER pour QUI ?

 

Vous allez voter pour qui ?

Vous allez voter pour un bandit,

Et vous le savez très bien !

Je perds mon temps à vous le répéter :

Vous allez voter pour ce malandrin

Qui ensuite vous fera cramer.

Mais comme vous n'avez plus

Aucune religion,

Je comprends votre décision

Qui n'a ni rime ni raison

Puisque vous n'êtes plus

De la très sainte Religion

Qui fit la France catholique !

Mais qu'êtes-vous devenus ?

Je vais vous le dire tout cru :

Non hérétiques, non schismatiques,

Mais vous êtes des athées !

Notre-Dame l'a prophétisé.

Et donc ne vous plaignez pas

De ce qui est votre choix :

Macron vous enverra en enfer

Avec son grand-maître Lucifer.

mercredi 20 avril 2022

L’ŒIL

 

L'Œil de Dieu regarde :
L'homme n'y prend garde !
Dieu démêle les pensées
Et juge équitablement,
Mais l'homme n'est animé
Rien que du faux semblant,
D'où la méprise sera totale
Au grand Jugement final
Où les surprises seront de taille,
Où démêlées seront les mailles,
Et là, plus de faux semblants
À ce terrible Jugement !
Préparez-vous, l'heure est venue
De la grande déflagration
Qui va bientôt mettre à nu
Tout ce qui est de convention,
D’hypocrisie et de malfaisance :
L'heure est venue de la vaillance
Dans cette épreuve finale
Qui mettra fin au mal.
Mais avant ce déluge,
Déluge de feu comme annoncé,
Il y a le dernier grabuge
Qui va se précipiter,
Savoir un conflit nucléaire,
Et l'Antéchrist se dévoilant
Et les deux Témoins survenant
Qui éliront le Saint-Père
Qui lui-même consacrera
Au Cœur-Immaculé de Marie
La Russie qui se convertira,
Et l'Antéchrist sera occis ;
Après un certain temps de paix
Arrivera la fin du monde
Avec tout ce que je disais
Au début de cet écrit.
Mais je pense que tout le monde,
De ce que je dis n'a rien compris.
Tant pis, c'est écrit, c'est écrit :
Jusqu'à mon prochain écrit.

lundi 18 avril 2022

FIN

 

C’est la fin du début
Ou le début de la fin
Selon qu’on a la vue
Ou bien qu’on ne l’a point !
N’essayez pas de comprendre
Ce que je viens d’écrire
Puisque ce que je vais dire
Ne peut pas se défendre
Dans un temps comme le nôtre
Où tout le monde il est apôtre
De ce qu’il croit être très vrai
Tout en sachant que c’est pas vrai,
Car chacun défend son beefsteak
Avec des frites s’il vous plaît,
Tout en sachant qu’il est un mec
Qui dit faux en disant vrai.
Ce que je veux dire par là,
C’est un truc facile à comprendre,
Mais comme chacun suit sa voie
À quoi bon me faire entendre !
Je perds mon temps, et puis c’est tout :
Mais pour vous autres, suivez les loups
Qui vous mèneront où je sais,
Où vous savez, n’est-il pas vrai ?
Bref, c’est la fin du début,
Et malgré tout je continue !

RIEN à DIRE


Je n'ai plus rien à dire :
Les carottes sont cuites !
Tout ce que je voulais dire
Sont choses que j'ai dites.
Alors pourquoi ce poème ?
Simplement pour rigoler !
Mais hélas, il nous faut pleurer,
Puisqu'au bord de l'anathème.
De huit milliards d'êtres humains,
Que va-t-il en rester ?
Ils sont en train d'assassiner,
Bien plus, de génocider
Toute notre humanité :
Il n'y a rien de plus certain !
Huit cents millions resteront
Éparpillés un peu partout :
C'est la grande conflagration
Que l'on va connaître en peu !
Survivrez-vous à ce feu ?
Aujourd'hui, ce sont les loups
Qui dominent la planète !
Mais ils sont tels une comète
Qui passe très rapidement
Et dont on ne voit plus la trace !
C'est la durée de leur temps
Qui passe, passe et passe.
Que restera-t-il après eux ?
Je n'ose plus rien dire
Car tout sera miraculeux :
Je dois ici finir.

dimanche 17 avril 2022

CŒUR

 

Je pense de tout cœur
Aux malades du cœur
Suite à l’horrible injection
Du criminel Macron
Pour qui vous allez voter
Et remettre à l’Élysée :
Honte à vous si vous le faites !
Vous le payerez un jour :
Tout en faisant la fête,
Vous finirez pour toujours...
Mais je ne dis pas la suite
Que vous avez devinée.
Mais revenons de suite
À mon sujet titré.

Oui, en ce jour de Pâques,
Je pense à tous ces abusés
De Macron, qui paient d’une attaque
Et bien caractérisée,
De leur cœur ou autres parties
De leur corps vulnérabilisé
Par l’horrible piquouserie
Que Macron a quasi obligée
Pour pouvoir encore travailler.
Combien de Français sont en souffrance,
Mais Macron s’en fout complètement
Pourvu qu’il ait sa pitance
D’être seul au gouvernement !

Tous les témoignages que je lis
Me font souffrir du cœur :
Pour n’être point attendri
Il faut n’avoir point de cœur !
Or il me faut constater
Que c’est le lot habituel
De cette génération dévoyée
Et par trop superficielle,
Et qui de fait n’a plus de cœur
Parce qu’est venue l’heure
Du grand abattage systématique
De cette planète acatholique.

Moi, je continue à penser
À tous ces pauvres piquousés
Dont le temps est désormais compté :
Paix à leur âme, RIP !

mercredi 13 avril 2022

L'HEURE


L'heure est arrivée
Où je dois partir
Pour pouvoir venir
Tout vous expliquer !
Je remarque ceci :
Vous n'avez rien compris
De tout ce que je vous dis,
Et cela, je l'ai compris.
C'est bien pourquoi je m'en vais
Pour toujours et à jamais
Pour aussitôt revenir
Vous dire et vous redire
Que vous ne comprenez rien
De ce qui arrive aujourd'hui !
Le comprendrez-vous mieux demain ?
Mais demain vous serez occis
Comme sont déjà occis
Les personnes piquousées
Et qui n'y voient que du gris !
Êtes-vous donc tous aveuglés ?
Pour dire vrai, je le crois :
Vous êtes tous comme ceux-là,
Cherchant la porte, comme à Sodome,
Mais qui ne la trouvèrent pas,
Puisque n'étant plus des hommes,
Mais des damnés, des scélérats
Qui sur place, furent aveuglés :
Voilà qui vous êtes et serez.

Je SAIS


Je sais un homme
Et un autre homme,
L'un qui dit vrai
Et l'autre faux.
Celui qui dit vrai
Est Monseigneur Viganò.
Pour ce qui est du faux,
C'est le Bergoglio.
Et c'est l'antagonisme
Entre le christianisme
Et la religion mondiale,
D'où le choc est fatal.
Le bon Dieu veut nous prévenir
De ce qui vient à l'avenir,
Savoir que les deux Témoins
Contre l'Antéchrist lutteront.
Viganò est le petit chemin
Qui nous montre ce que seront
Les grands combats de l’Église
Qui a sa place sera remise.
Gloire à Dieu ! Alleluia :
L’Église vaincra ses ennemis
Dans peu, et par l'Ave Maria !
Gloire à Dieu ! Gloire à Marie !

mardi 12 avril 2022

MACRON-le-LURON

 
 
Macron-le-Luron
A caché son poison
Juste pour l'élection !
Mais il le ressortira,
Et voici ce qu'il fera :
Il vous remasquera,
Il vous retestera
Et repiquousera
Puisque c'est ce que vous voulez
En le remettant à l’Élysée.
Donc, ne vous plaignez pas
De ce qu'il vous fera :
Vous l'aurez bien mérité,
Vous ne l'aurez pas volé.
Donc pour lui allez voter !
Mais ne l'oubliez pas :
Après son élection
Il ressortira son poison
Fait de fœtus avortés !
Et comment vous finirez ?
Eh bien, Macron-le-Luron
Va vous le révéler :
« Vous finirez les pieds devant !
Ça ira : c'est le printemps ! »

samedi 9 avril 2022

Le DINDON de la FARCE


 
Le dindon fait la roue
Comme le paon aussi !
Va donc visiter ICI
Ce que je te dis à vous !
Cela sonne comme un pied,
Mais peu importe que cela sied,
Car je ne m'occupe nullement
De ce qui rime non-ajustement.
Venons-en à notre sujet,
Car vois-tu, je n'ai nul sujet,
Sinon que tu seras le dindon
De l'horrible Emmanuel Macron :
Il te mangera à sa sauce
Avec des frites, s'il te plaît :
Il ne faut, pour qu'il se gausse
Qu'un bulletin : Voilà, c'est fait !
Maintenant tu es le dindon
De ce maître des avortons,
Et il te tapera dessus
Avec son grimoire fourchu,
Car ce mec, retiens-le,
Est comme le Zelensky :
Il aime les trous nieu-nieux,
Les rats d’égout et les souris !
Les onze autres ne valent pas mieux
Puisque tous l'arbre du milieu :
Vous avez compris, les francs-macs
Qui vous dorlotez dans votre hamac ?
Ils m'ont tous compris, croyez-moi,
Comme ils ont tous compris Montagnier
Qu'ils ont envoyé au panier,
Si tu comprends ce que je dis là.
Comme tu ne comprendras quedal,
Va voter, chausse tes sandales :
Rue Cadet, Macron t'attend,
Et tous les autres aussi : en avant !
Un dernier truc pour tous les potes
Qui vont tous voter pour ces douze potes :
Quand vous serez dans votre cercueil,
Ce qui ne saurait guère tarder,
Faisez-leur donc un bon accueil
En chantant Ça ira, Holé !

Mais pour tout ce qui reste de catholique,
Je dis : ne soyez pas les dindons
De cette farce fantasmagorique,
Et reprenez votre raison.
Et voici le point crucial
Sur lequel vous devez vous accrocher
Sous peine d'une chute fatale
À laquelle on ne peut remédier.
C’est ce que je fis en quatre-vingt-quinze
Sur celui qui devint Chirac
Qu'on encense, puisque lui aussi est mac,
Mais peu importe ! Donc en quatre-vingt-quinze
Je me renseignai sur ce mec,
S'il était pour l'avortement,
Ce qu'il assura fortement.
Renseignez-vous sur les douze mecs
Pour qui vous voterez à genoux
Puisque ce sont douze gourous
Qui sont tous pour l'avortement !
Mais vous ne le ferez nullement !
Et donc tu seras le dindon
De saint Lucifer-Macron
Et de ses onze coéquipiers
De saint Moloch et saint Asmodée,
Dont le premier garde le Colisée
Et le second surveille l'Élysée,
Le premier par ordre de Bergole
Qui, tu t'en doutes, rigole,
Et cette horreur est toujours là :
Qui est le preux qui l’abattra ?
Quant au second, il est dans le lit
De la sainte Macronerie !
N'en doute pas, tu seras le dindon
De cette farce, si tu votes !
Mais ne me crois pas, mon pote,
Car nous sommes dans la saison
Où le paradis va apparaître
Sous la verge d'une main de maître :
C'est l'Antéchrist que j'ai nommé,
Et le truc, son saut de qualité !
Mais en attendant tu es le dindon,
Si tu votes, de l'infâme Macron !
Et je n'en dirai pas plus :
À quoi bon perdre son temps ?
Votez, votez pour être plus :
Demain votre cercueil vous attend !

mercredi 6 avril 2022

VERS la GUERRE NUCLÉAIRE


 
Vous ne l'échapperez pas :
La guerre est bien déclarée
Puisque l'Occident veut cela
Et le premier veut frapper.
Voilà bien le résultat
De ce qu'il résultera
De la consécration bergogliotique,
Païenne, idolâtre, hérétique,
Que toute la conciliaire en chœur,
Toutes les tendances confondues,
A saluée d'un seul et même cœur,
Publiquement et à la vue
Des autorités réjouies
Qui des deux mains ont applaudi.
Et maintenant, qu'en est-il ?
Cela est assez annoncé :
La guerre nucléarisée
Est désormais sur le fil.
L'Occident ne veut que cela,
Et cela va arriver,
Et ensuite l'on dira
Que c'est Poutine qui a frappé.
Peu importe qui commencera,
Puisque quand ce sera commencé,
Personne n'y échappera,
Et pas même l’Élysée !
Et l'on verra très clairement
La consécration-boniment
Se réaliser en plein jour,
Sans nul détour, sans nul retour.
Quand la Pachamama frappera,
Bergoglio s'extériorisera
Et fera voir sa duplicité
Par son fameux saut de qualité.

samedi 2 avril 2022

LITTLE BOY

Little Boy explosa
Sur la ville d'Hiroshima !
La fausse consécration
Va générer des explosions,
Des explosions atomiques
Sur toutes les républiques !
Des nations seront anéanties,
La Vierge de Fatima nous dit,
Et ce n'est pas une parole en l'air :
Des explosions nucléaires
Vont se produire un peu partout,
Produite par la queue du loup
Qui, pour se garantir de leurs effets,
Une fausse consécration a fait,
A faite, pour parler françois,
Car c'est bien Bergoglio-François
Qui a fait ce sacrilège,
Emboîté par tout le manège
Des comédiens conciliaires,
Tradis ou pas peu importe,
Puisqu'ils sont tous bien conciliaires
Par la fenêtre ou par la porte.
Ils veulent la paix ? Ils ont la guerre !
Mais pour eux la guerre est la paix :
Quand ils dégustent des vers,
Ils tressaillent du palais,
Croyant que c'est un steak-frites !
Voilà toutes leurs pépites.
Toutes les bombes nucléaires
Peuvent atterrir sur leur crâne,
Ils croiront que ce sont des éclairs
En chocolat, puisqu'ils sont des ânes.
Point besoin n'est de m'étendre
Sur de pareils énergumènes,
Puisque ce sont des phénomènes
Qui se réduiront tous en cendres
Quand le moment sera venu,
Et ce moment est venu
Où la bombe d'Hiroshima
Ne semblera que du chocolat,
Un Little Boy, si vous voulez,
Alors que vont bientôt éclater
Les foudres nucléarisées
De l'humanité dépopularisée,
Comme l'ont voulu ses dirigeants
Pour régner en vrais tyrans.
Mais l'Antéchrist les enverra paître,
Tous saupoudrés de salpêtre,
Dans le royaume de Lucifer
Qui n'est que le feu de l'enfer.
Là, les bombes atomiques
Ne seront plus des petits garçons
Anéantissant les républiques,
Mais je vous le dis, ce seront,
Et cela, pour l'éternité,
Un soufre de feu enflammé.
Et quand l'Antéchrist les rejoindra,
S'écriront-ils : Ça ira ?