lundi 24 octobre 2016

ZAP


Zappeurs et zappeuses
Sont des vieilles lessiveuses
Toutes bonnes pour la casse,
Mais malheureusement ça passe.
Tout le monde zappe aujourd'hui,
Et tout cela ne sert de rien :
On n'en devient que plus abruti
Et encore plus bête qu'un chien.
Zappez, zappez, zappez,
Et vous n'en serez pas plus avancés,
Pas plus que mon chien n'est le pape
Quand il jappe, jappe, jappe !
Mais je dirai ce que je voudrai,
Vous continuerez toujours à zapper,
Comme quand je dis à mon chien : Arrête !
Il continue à japper, brave bête.
Continuez donc toujours à zapper,
Ou plutôt, continuez à japper.
Je vous assure, vous ne verrez rien,
Ou plutôt, vous ne comprendrez rien.
Certains pourtant ouvrent les yeux,
Mais pour un petit instant fumeux !
Et après, ça retombe dans le délire
Des poignées de mains et sourires.
Et voilà qu'un tel ment à tour de bras :
Le pauvre, il ne peut pas faire autrement,
Car sinon on le reconnaîtra,
Et alors, par terre est tout son plan.
Mais au fait, est-ce bien son plan ?
Non point, et je le dis hardiment !
C'est un plan que je connais très bien
Et qui vient de la haute maçonnerie ;
Je sais que vous ne me croirez point :
Mais peu importe, je vous l'aurai dit.
Quant à vous, zappez, zappez, zappez :
De rien vous ne vous apercevrez.
Vous me direz : « Dis donc, mon vieux,
Ça se voit que t'as pas d'zyeux ! »
Vous voyez clair ? Où est la porte ?
Vous êtes comme ceux de Sodome
Qui voulaient se saisir d'un homme
Et qui sont partis dans la mer Morte !
Ainsi en arrivera-t-il ici
Si la débilité continue :
Ce site finira occi
Et jamais on n'en parlera plus.
Et vous qui faites les Voltaire
À toujours mentir, mentir, mentir,
Vous finirez au fond de l'enfer
Avec lui pour vous faire occire.
Quant au plan maçonnique, le voici,
Il est tout simple, écoutez-moi !
Ce sont tous des oiseaux de nuit
Qui vous disent : « Non, ce n'est pas moi.
- Si c'est pas toi, mais qui donc est-ce ?
- C'est la lune ! C'est Lucrèce !
- Ah ! bon ! Merci ! Je te pardonne ! »
Et ensuite la même personne
Continue ses déblatérations :
Elle ne se fera pas appelée Léon !
Tous ces cliquarts passent sur les tribunes !
Et d'ailleurs, ils ont toujours la une,
Et quand ils se font cabosser,
Ils se font toujours ramasser
Par quelque "bon samaritain"
Qui par hasard passe dans le chemin !
Mais tout ceci sont des coups montés
Pour bien vous apitoyer
Vu que vous ne faites que zapper,
Et vous vous faites attraper.
Tout ceci est de la provocation
Faites par les gros francs-maçons
Qui circulent partout et ici
Et qui de vous, naïfs, se rient,
Car ils savent bien que vous zappez
Et que de tout cela rien ne voyez.
Ils profitent de votre imbécilité,
Et chaque fois vous vous faites attraper.
Ce poème est pour vous ouvrir les yeux,
Mais je sais que vous n'en ferez rien !
Tant pis pour vous, je n'en suis pour rien :
J'essaie de faire de mon mieux
Pour vous avertir tout à loisir :
Mais vous ne faites qu'en rire.
Ne vous occupez donc plus d'eux,
Et tout pour vous ira pour le mieux.
Ceci dit, la chose est compliquée :
On ne peut la vaincre que par des Ave :
Ils vous traiteront de paranos,
Avec toute sorte de noms d'oiseaux,
Se réservant pour eux le beau rôle
Puisqu'ils portent "la bonne parole" !
Ils vous mettront même en psychiatrie,
Vous inventant toutes sortes de maladies,
Vous dénonçant près de la direction
Ou tout au moins à la modération !
Ils ont toute sorte de ficelles
Et ils vous enficelleront :
Faites donc bien attention
À ne pas atterrir dans leurs écuelles.
Je connais toutes ces choses par cœur
Et je vous ouvre tout mon cœur
Afin de vous les faire éviter
Si pour le moins vous me croyez.
Le remède, je vous l'ai indiqué,
Et c'est celui que je pratique,
C'est de réciter des Ave :
À vous de prendre cette pratique.
Si vous ne le faites, ils auront le dessus,
Ce sera à votre grande confusion :
À force de zapper tant et plus
Vous tomberez dans leur bouillon !
Et là, croyez-moi, ils vous croqueront,
Mais hélas, ils vous croquent déjà !
Récitez donc vos Ave Maria,
Et ils seront vaincus, ces francs-maçons.
Moi, avec ma blouse bleue,
Comme l'avez sûrement vue,

http://fr.gloria.tv/?album=9053&media=546044
Je ne suis certes pas Barbe-Bleue !
Mais voyez, cet hurluberlu
Malgré toutes ses sodomies
Et toutes ses pédocrimies
À la fin de sa vie se convertit !
Et si nous ne sommes pas comme lui,
Malgré tout, chrétiens, tremblons, tremblons,
Car nous ne savons pas ce que seront
Les jugements de Dieu à notre égard,
Nous qui nous croyons si forts et si hautains !
Mystérieux sont les jugements divins,
Mais toujours justes et sans hasard.
Nous qui nous croyons si malins,
Je vous le dis, nous ne sommes rien !
Alors, humilions-nous tout comme lui
En recourant tous à Marie,
Et nous nous convertirons comme ce Barbe-Bleue
Et irons au ciel sans blouse bleue !
Car Gilles de Retz se convertit
Pour avoir recouru à Marie.


Gilbert Chevalier

l'Aveugle-Vendéen
(08/01/2014)

1 commentaire:

  1. 1012- « L’Église catholique seule est la véritable religion ;
    elle est la fontaine de la vérité, la maison de Dieu, le temple du Seigneur ;
    ceux qui n’y entrent pas ou ceux qui en sortent
    ne peuvent espérer le salut et la vie éternelle. »

    (Lactance)

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