MANTRA 6666
Au sixième jour du sixième mois,
à 6 heures 6 minutes 6 secondes,
6666 ans après la création de Kepler 452-b :
Vraiment, aucune salutation
À tous ces gros
francs-maçons
De la COP21,
Tous devenus zinzins.
Cependant, je vous
adresse un mot,
À vous, tous les
vieux zozos,
Inventeurs et
inventionneurs,
Sous votre chef,
l’Exterminateur.
Oui, vous avez
inventé
Ce qui n’a jamais
existé,
Et pourquoi,
dites-le-moi ?
Pour faire plaisir au
père François !
Cet Antéchrist, votre
patron,
Suivi des fausses
religions,
Vous dit :
« Défions Dieu
Et ravissons-lui les
cieux.
« Il faut le
déposséder
Même de son éternité.
Il n’y a qu’un seul
moyen :
Écoutez-moi, les
copains,
Car vous connaissez
quedal !
Il faut l’écologie
intégrale !
À nous désormais tous
les climats,
Continue le vieux
François.
Le développement sera
durable :
Il me l’a dit dans
mon cartable !
Je vais changer les
temps et les lois,
OK ? Parole de
François ! »
Et vous l’avez bien
écouté
Au fond de vos loges
rassemblés.
Vous l’attendiez,
votre patron,
Afin qu’il mette à
exécution
Ce que le diable vous
avait dit
Depuis tant et tant
de décennies.
Votre COP21
marchera :
Vous le savez bien,
n’est-ce pas ?
C’est donc bien pour
rigoler
Que vous allez vous
rassembler,
Et vous sablerez le
champagne
Puisque vous entrez
en campagne.
« Allez les
mecs, au boulot,
Direz-vous dans votre
zoo !
Il nous faut le
changement climatique
Et vaincre les
derniers catholiques. »
Toute la conciliaire
s’ébranle :
Ses évêques mettent
tout en branle !
Ils vont bien vous
épauler
Avec leur
grand-chef Françoés.
« Il nous faut
des lois contraignantes !
La chose est très
importante ! »
Meuglent tous ces
impies
À la suite de
"Laudato si".
Qui en sera
l’applicateur ?
Le grand
Exterminateur !
Ce sont vos potes,
les conciliaires :
Sans eux vous
n’auriez pu rien faire.
Sans les loups de
Vatican II,
Vous seriez comme des
meumeues.
Vous avez tout
planifié,
Et eux vont exécuter,
Et tous ensemble sous
l’Antéchrist,
Vous combattez le
Christ,
Mais vous serez
foutus
Car vous serez
vaincus.
L’Église vous croyez
détruire ?
Mais le Christ va
vous occire :
Cela est absolument
certain !
Vous finirez dans le
purin
De l’éternel enfer
Sous votre cop-Cifer.
Mais pour lors, vous
régner en maîtres
Avec toute la bande
des traîtres
Qui vous appuie à
fond la caisse
De leur maçonnique
Grosse-Caisse.
Et que paraître
voit-on ?
Inventions sur
inventions
Afin de réduire la
planète
À la taille d’une
comète.
Ah ! vous voulez
tout casser ?
Allez-y, point
n’attendez,
Mais votre tour
viendra :
De cela n’en doutez
pas.
Eux, ils ont cassé le
spirituel ;
Vous, vous cassez le
matériel.
« Nous ne
voulons plus d’énergies fossiles,
Ont clamé tous ces
imbéciles,
Mais des énergies
renouvelables ! »
Avec les crottes du
diable,
Tous ces fumistes se
chaufferont :
Ces utopistes
s’éclaireront
Avec leurs lunes de
miel
Qu’ils prennent pour
le soleil !
Et ils adorent la
terre,
Tous ces fils de
l’enfer,
Car leur dieu, il est
en bas :
Il leur est présent
dans François.
« Réduisez,
dit-il, réduisez l’eau
Et n’abattez plus les
animaux !
Je vous impose mon
nouveau carême :
C’est toute ma
pâque-même !
Plus de viande, plus
de poisson
Dans votre ventre,
mes mignons !
Et ne coupez plus de bois :
La fumée pollue,
n’est-ce pas ?
Plus de gaz, plus
d’électricité :
Le nucléaire, à
dégager !
Vivez donc dans les
cavernes
Qu’a décrites Jules
Verne.
Maintenant,
obéissez-moi,
Car le nouveau Néron,
c’est moi !
Ceux qui ne veulent
pas obéir,
Je les ferai bouillir
Comme vous le faites
des fœtus,
Des vieux ! J’ai
de l’astuce
Car je suis un
fourbe, un rusé,
Comme je vous l’ai
déclaré. »
Et voilà que tous
applaudissent
Le numéro
six-six-six.
Et ce diable d’homme
continue :
« Mes chéris,
soyez les bienvenus
Dans ma Sodome
bien-aimée :
Entre hommes vous
pouvez vous marier !
Quant aux anciens
mariages,
Vraiment ils sont
d’un autre âge :
Je veux tous les
démarier
Par mon motu
approprié.
Moi je veux la
confusion :
Organisez la
rébellion !
Je suis de tout cœur avec
vous :
Allez de l’avant, mes
bijoux !
Car vous avez
beaucoup de travail,
Et moi je suis votre
portail.
- Nous nous sommes
donnés quinze ans,
Répondent ces
chenapans.
- Quinze ans, mais
vous n’y pensez pas ?
Leur rétorque le
François.
C’est trop ! Abrégez,
abrégez !
Il faut le faire en
trois années !
De sept milliards que
nous sommes,
Je ne veux plus qu’un
milliard d’hommes,
Et encore moins s’il
le faut :
Abattez-moi tous ces
animaux ! »
Et ils répondent tous
en chœur :
« Nous ferons ce
que dit votre grandeur,
Car à vous appartient
l’éternité,
Et nous sommes tous
vous obligés.
- D’accord, d’accord,
mais au boulot !
Adorez-moi donc,
bande d’idiots ! »
Et ils se
prosternèrent devant Françoés,
La tête en bas pour
l’adorer.
« Je suis le
triangle à l’envers,
Reprend ce fils de
Lucifer ;
Je l’ai déclaré
l’autre jour
À mon assemblée de
balourds.
C’est bien là ma
nouvelle église
Où toute l’humanité
est comprise. »
Et voici que la
courtisane s’est assise
Sur le vieux dragon
d’Assise,
Sur le dos de toutes
les religions,
Toutes accrochées à
son giron
Pour promouvoir
l’œcuménisme,
L’héritier du
modernisme,
Ainsi que la
modernité
Que maintenant ils
veulent briser !
Car Dieu leur a mis
dans le cœur
De dépecer leur
tracteur
Et de manger à belles
dents
Celle qu’ils aimaient
auparavant.
Voilà ce que tu fais,
COP21,
En proclamant que
c’est un grand bien
De détruire ce que tu
as construit
Avec des ronces et
des orties.
Vous avez attendu
cinquante ans,
Et vous allez de
l’avant,
Car est arrivé sur
son vélo,
François Triple-Zéro.
C’est pourquoi vous
avez dit :
« Maintenant il
est là, allons-y !
Mais nous le
surveillerons,
Car c’est nous qui
commanderons ! »
Mais lui, il rigole
de vous,
Car il vous prend
pour des fous,
Et il sait bien, ce
mécréant,
Que lui seul a le
commandement !
Et il vous réduira à
zéro
Et vous traitera
comme des animaux
Qu’il mènera en sa
boucherie
Pour en faire des
fruits confits
Qu’il dégustera par
la suite
Comme on déguste des
frites.
Car votre supérieur
inconnu,
Il n’est pas tombé
des nues :
C’est le fils ainé de
la Veuve
Qui accomplit son
Grand-Œuvre
Au compas et à
l’équerre
Pour se soumettre la
terre.
« Plus de
papier, dit le Vieux de la montagne !
Je veux partout de la
campagne,
Avec des arbres sur
les toits !
Avez-vous compris les
gars ?
- Oui, on t’a compris
François !
On installera tout
cela,
Comme on a fait à Évry,
Et on boira du
whisky !
- Mais du whisky
renouvelable
À la sauce de mon
diable !
- On a bien compris,
patron !
- Encore un mot, les
compagnons !
Internet est mon
domaine :
C’est là que je me
promène
Au clair de K-452b
D’où vient l’énergie
renouvelée.
Capturez-moi cette
nouvelle terre,
Car c’est sur elle
que je veux faire
Mon paradis
renouvelable
Du développement
durable.
- Demain on te
l’amènera !
On te la servira sur
un plat. »
Et les pèlerins du
climat,
Partout ont mis le
branle-bas :
On les voit tous
arriver
En rigolant en rangs
serrés.
Et pour n’être pas de
reste,
Heureusement qu’ils
sont lestes,
Les tradis ont pris
le train en marche !
Installés sur la
dernière marche,
Ils se sont tous
métamorphosés
En conciliaires
traditionalisés.
Le changement
climatique bat son plein
Pour la sainte
COP21 !
Et c’est à qui
inventera,
Et c’est à qui
découvrira
La dernière des
utopies
Pour faire pousser…
les radis.
Chacun y va de son
invention :
On y fabrique des
champignons
Avec des trucs
nouvelle génération !
On construit une
tonne de ponts
Et on abat tous les
murs :
Vraiment les temps
sont mûrs
Pour la nouvelle
carmagnole !
Fin de l’ère des
bagnoles :
On circule dans les
airs
Sans avions ni hélicoptères !
On appuie sur un
bouton
Placé au milieu du
front
Et on fait tout ce
qu’on veut
Jusqu’à marcher dans
le feu
Sans aucunement
brûler !
« Merci, ô merci
Françoés !
Nous voici enfin
heureux !
C’est toi qui es
notre dieu !
- Et oui, et je le
serai
Jusqu’au-delà de
l’éternité. »
À condition pourtant,
vieux crouton,
Que toi et tes
francs-maçons,
Lorsque le temps sera
venu,
Vous irez avec le
cornu
Tout au fond des
enfers
Pour faire griller
vos chairs.
Car c’est là que vous
finirez,
Et vous ne pouvez en
douter :
Ce sera votre COP22,
Votre nouveau Vatican
II
Qui se tiendra dans
le feu
De Luciferrailleux.
De pauvres, vous n’en
voulez plus ?
Il faut être vraiment
ingénu
Pour avaler un truc
pareil !
Oui, la maladie du
sommeil
A envahi toute
l’humanité
Désormais bien
moutonnée
À la sauce des
francs-maçons
Qui en feront du
saucisson
Pour offrir à leur
grand boucher,
J’ai nommé le gros
Françoés.
Quant à votre
sobriété heureuse,
Sachez-le bien, fils
de la gueuse,
C’est une attrape de
nigauds
Que vous êtes d’ailleurs,
vieux zozos.
Voici que nos
polichinelles
Ont revêtu
l’arc-en-ciel :
Ils sont homos, c’est
bien connu,
Comme leur supérieur
inconnu.
N’est-ce pas vous qui
avez fait,
Inspirés par votre
baphomet,
Toutes ces lois
scélérates
Qui font marcher à
quatre pattes ?
Comme si cela ne vous
suffisait pas,
Vous voulez changer
le climat
Avec l’infâme
Bergoglio,
Votre François trois
fois zéro ?
Mais vous n’y
réussirez pas :
Le climat ne vous
appartient pas !
- Si, mon vieux, il
nous appartient !
- Et depuis quand ce
baratin ?
- Depuis qu’on en a
décidé
Dans nos loges tous
assemblés :
Nous sommes les
maîtres du monde !
C’est par nous que la
terre est ronde…
- Mais vous l’avez
rendue carrée
Car vous êtes tous
timbrés…
- C’est toi qui es
timbré, mon vieux !
Regarde si tu as des
yeux !
Ne vois-tu pas que le
CO2
Nous mange tous à
petit feu ?
C’est notre ennemi
numéro 1 !
- Contre qui vous
faites le foin !
- Parfaitement, et on
va gagner
Cette troisième
guerre mondiale…
- En nous faisant
tous exterminer
Par votre écologie
intégrale !
Car il faudra que
vous éliminiez
Tout ce qui pollue et
est pollué.
Or c’est l’homme le
plus grand producteur
De CO2. – À la bonne
heure !
Si l’homme continue à
respirer,
Il faudra bien
l’éliminer :
À bas le gaz
carbonique
Et tous ceux qui le
fabriquent ! »
Ils ont commencé
depuis longtemps :
Comptez tous les
avortements
Qui se comptent par
millions,
Et même plus, nous le
verrons.
Voilà qu’ils ont
organisé
La tuerie
généralisée :
Leur COP21 planifiera
Le dernier acte de ce
combat.
Mais à qui donc
profitent les crimes
De tous ces gros
francs-maçons ?
Quand ils seront dans
les abîmes,
Alors là, ils le
sauront.
Mais ils le savent
bien déjà,
Eux qui fomentent les
attentats
Et qui payent les
terroristes
Afin qu’ils soient
leurs lampistes.
Si tout marche en
votre faveur,
C’est parce que c’est
votre heure ;
Mais quand votre
temps sera passé,
De tous vous serez
oubliés.
Vous avez dit :
« Faisons le fête,
Et nous ferons
tourner la planète
Dans le sens que nous
voudrons bien,
Et malheur à qui ne
le veut point !
À celui-là nous
couperons le cou
Et nous exposerons sa
tête
Pour être vue de
tous !
Maintenant,
continuons la fête ! »
Et la fête battra son
plein
À la COP21,
Avec ou sans François
Qui pourtant sera
là !
Car ce monsieur est
partout,
Où on ne l’attend
pas,
Et souvent il n’est
pas là
Où pourtant
l’attendent tous !
La tarasque n’est
plus à Tarascon :
Elle a émigré à
Sainte-Marthe !
Autrefois ce fut
sainte Marthe
Qui terrassa ce vieux
dragon !
Ce signe n’est-il pas
parlant ?
Ce fait n’est-il pas
évident ?
Mais aujourd’hui on
ne comprend plus rien,
Si ce n’est Milou et
Tintin !
Sainte Marthe
enchaîna la tarasque
Pour la livrer à la
dérision ;
Mais la nouvelle
tarasque
À Sainte-Marthe fait
ronron !
« Dans mon lit,
je fais gros dodo :
Je rêve à la
COP21 !
Ce truc-là, c’est mon
machin,
Mon bidule-chouette,
no ?
Oui, je pense toutes
les nuits
À mon cher
Laudatossi,
Et je veux qu’on lui
obéisse,
Sinon… c’est le
tourne-visse.
Dans ma nouvelle
Tarascon,
Je danse avec mes
francs-maçons !
Sainte-Marthe ?
Je l’ai enchaînée
À un homo pour la
diriger !
Et je vole sans
obstacle
Car j’ai vaincu
l’Obstacle,
M’en ayant débarrassé
Vers ce que j’ai
décidé.
J’ai décidé que je
suis,
Et je l’ai dit aux
FFI,
Le fils du diable,
rien de moins :
Après cela, je suis serein.
Comme je le leur ai
dit,
Je fais toute
persécution
Comme venant du
démon :
Voyez plutôt
ici : https://www.youtube.com/watch?v=hyxlCj7En8Y
Vous avez bien écouté
Ce que j’ai
raconté ?
La chose n’est-elle
pas claire,
Sauf à avoir des
œillères ?
Ceux qui n’ont rien
compris,
Je dis pour eux, tant
pis !
Ils ne comprendront
jamais rien,
Et je m’en frotte les
mains.
Car c’est cela mon
boulot,
De faire de tous des
zozos :
Quand je vous ai bien
moutonnés,
Je puis ensuite vous
dépecer.
J’ai toujours fait de
la sorte,
Et que le diable
m’emporte
Si je faisais
autrement !
Je suis le maître en
ce moment. »
Tu es le maître en ce
moment ?
Je le conçois
aisément !
Vas donc rejoindre
tes copains
Qui sont de la COP21.
N’ont-ils pas besoin
de François
Après les fameux
attentats ?
Oui, dans son
vaisseau spatiale,
Il entend votre chant
intégral.
N’est-il pas en
bleu-blanc-rouge
Le fameux pape rouge
Qui brandit son
marteau
Pour vous frapper
d’en haut ?
Il vogue entre les
comètes
Pour atterrir sur la
planète
Au milieu de la
capitale
De l’écologie
intégrale.
Il amène dans votre
boutique
Son changement
climatique
Parmi les compas et
les équerres
Des triangles de la
terre.
Accourez tous les
francs-maçons,
À son dernier coup de
canon,
Car il a donné le
signal
De son développement
infernal.
Le signal a été
donné :
Plus de paix ni
sécurité !
Le bal va pouvoir
commencer :
Vous allez pouvoir
danser !
Vous danserez la
carmagnole
Sur le toit de sa
bagnole :
Vous finirez par le
métal
Au fond du gouffre
fatal.
Je vous souhaite bien
du plaisir
Quand vous serez sous
sa ire,
Car il ne vous
épargnera pas
Quand vous chanterez
le ça-ira.
La marseillaise a
retenti
À Notre-Dame de
Paris :
Vos gémissements
retentiront
Quand dans l’enfer
serez au fond.
Mais de tout cela,
qui est le moteur ?
Je vais vous le
dire : l’Exterminateur
Qui est un pyromane
très expérimenté
Qui par ensuite joue
bien les pompiers.
Francs-maçons de la
COP21,
Vous allez bientôt
vous réunir, hein ?
Mais sous quel chef
vous réunissez-vous ?
N’est-ce pas sous le
roi des loups ?
Vous me répondrez
n’importe quoi,
Mais je ne vous
croirez pas,
Puisqu’en tant que
grands farceurs,
Vous êtes sous
l’Exterminateur.
C’est par vous que
tous les attentats
Ont créé le branlebas
Afin que tout soit
globalisé
Sous une fausse
sécurité.
Mais votre fausse
sécurité
Ne vaut rien en
vérité !
Car vous trompez par
cela
Tous les gens de
bonne foi.
Et qu’arrivera-t-il à
la fin ?
Je vais vous le dire,
écoutez bien !
Vous exterminerez
tous les gens
En soi-disant les
défendant.
Vous l’avez fait par
l’avortement
Puis par les vieux
exterminant !
Vous êtes donc des
criminels,
Digne du châtiment
éternel !
Mais il faut que je
m’arrête
Sur la ligne des
crêtes
Pour descendre dans
la vallée
De l’insécurité.
Et là, que
vois-je ? Horreur !
Rien que des
exterminateurs
Qui suivent
l’Exterminateur
Recouvert des sept
couleurs,
Des sept couleurs de
l’arc-en-ciel
Pour pouvoir percer
le ciel
Et prendre la place
de Dieu !
Mais d’un seul
souffle il est en feu,
Et ce feu ne
s’éteindra pas :
Toujours, toujours il
brûlera !
C’est son
développement durable
Qui est le couteau du
diable,
Le poignard que les
francs-maçons
Ont caché dans leur
giron,
Mais qui se
retournera contre eux
Parce qu’ils ont
blasphémé Dieu.
De Dieu, l’on ne se
moque pas !
Vous vous en moquez,
n’est-ce pas ?
Eh bien, il se
moquera de vous
Lorsque vous serez
dans le trou.
Ouvrez votre 21COP
Et faites-en du
non-stop,
Car c’est l’heure des
ténèbres
Et de votre convoi
funèbre.
Pour vous, aucune
salutation
À votre assemblée de
francs-maçons :
Accomplissez donc
votre œuvre
Et finissez le
grand-œuvre !
Mais votre temps sera
abrégé
Comme il a été
écrit !
Vous n’atteindrez pas
le Paradis
Mais vous irez tous
brûler
Dans les enfers,
comme il se doit :
De vous, on ne se
souviendra plus !
Ave, ave, ave Maria !
Vive Marie ! Vive Jésus !
Mais voici un
post-scriptum
Pour la périphérie de
l’homme
De péché, comme il se
doit,
Et qui pour lors est
François.
Mais quand vas-tu
arrêter
De nous casser les
pieds
De tes sottises
répétées
Et de ton langage
dévoyé ?
Oh ! tu
n’arrêteras pas !
À moins qu’un autre
t’arrête
De dévoyer la planète
Et te relègue en
bas !
Pour lors, tu vas ton
chemin,
Vers le ciel, tendant
le poing,
Disant :
« Je ne servirai pas ! »
Lucifer l’a dit avant
toi !
Tu es le digne
successeur
Du patron des
radiateurs,
Et tu le serviras
encore mieux
Quand tu seras dans
le feu.
Alors Lucifer te
dira :
« Assieds-toi-là,
mon mignon !
Tu m’as bien servi,
n’est-ce pas ?
Tiens, voilà un
saucisson ! »
Tu seras un saucisson
sec
Pour le diable, car
ce mec
Fera de toi de la
compote :
Voilà ce que fera ton
pote !
Souviens-toi de la
Révolution,
Celle qu’on appelle
française,
Et cesse de faire la
niaise,
Toi le roi des
francs-maçons.
N’aimes-tu pas la
marseillaise,
Cette chanson si
sanguinaire ?
Voici les trois
couleurs pour te plaire,
Dont la dernière est
de braise.
C’est le rouge que tu
préfères,
Toi, la bête écarlate
Qui as posé tes trois
pattes
Sur le dôme de
Saint-Pierre !
Tu vas bien la
dépasser,
La française Révolution :
Elle n’est pour toi
que du maté
À côté de ta voulue
confusion.
Toutes les
révolutions,
À côté de ta
révolution,
Ne sont que des
chansonnettes,
Car toi, tu es la
tête.
Oui, l’Antéchrist est
la tête
De toutes les
révolutions
Qui ensanglantèrent la
planète :
Voilà bien ton
saucisson !
Le saucisson de
l’Antéchrist,
Ce sont les
révolutions,
Et les frites de
l’Antichrist,
Ce sont toutes les
confusions.
Or, que signifie
Babylone,
Si ce n’est confusion ?
Ainsi tu veux la
confusion
Dans la nouvelle Babylone.
La nouvelle Babylone,
C’est le monde
post-moderne,
Et ce nouvel
Holopherne
Grince des dents et
tonne !
Mais ta fin est
décrétée,
Ô roi de
l’aquilon :
Ton sort est déjà
réglé
Dans l’enfer, tout au
fond.
Ton enfer sera bien
durable
Avec messire le diable
Que tu sers si
servilement,
Toi, le roi des
mécréants !
En enfer, ton
changement climatique
Sera de toutes les
secondes :
Lucifer a chauffé ses
briques
En attendant que la
terre te ponde.
Cette pondaison est
arrivée :
Encore quelques
petites années,
Puis tu iras voir ton
chéri
Dans l’épouvantable
nuit.
Ta place sera rouge
Comme celle de Lénine
Tout au fond de ce
bouge,
Ces infernales
latrines.
Tu y verras Staline
Qui te dira en
rigolant :
« Prends ta
place sous mon séant,
Car tu es de ma
machine. »
Hitler ne sera pas de
reste,
Et dans ses chambres
à gaz
Il t’enverra la peste
En te disant :
« Ça gaze ! »
Et enfin l’infâme
Mao,
Pour achever le trio,
Te jouera une cadence
En remuant sa grosse
panse.
Tous les tourments te
sont réservés,
Et ils seront intégraux :
Finies tes
excentricités !
Tu ne joueras plus
aux dominos.
Les hommes sont pour
toi des dominos
Que tu déplaces selon
ton humeur :
Mais dans l’éternel
radiateur
De Lulu, là, tu feras
dodo !
Cifer te mettra dans
les fers
Parce que tu infectas
la terre
De son venin
infernal,
Son écologie
intégrale.
J’en ai assez dit sur
toi
Qui te nommes
aujourd’hui François !
Sera-ce un autre ou
bien toi ?
Très bien vite on le
saura.
Paix et
sécurité ?
Ni paix ni
sécurité !
C’est que le temps
est arrivé
De l’Homme de péché.
L’Homme damné fut
décrit
Il y a cinquante
années :
Nous le voyons
aujourd’hui
Dans toute sa
cruauté.
Il plane sur les deux
tours
Que lui-même a
renversées :
Lui-même sera
renversé
De même façon à son
tour.
Et ta guerre en
morceaux,
Pour toi sera
plénière
Quand tu plongeras
d’en haut
Jusqu’au fond des
enfers.
Va-t’en, va-t’en bien
vite !
Oui, vas donc manger
tes frites
Dans les abîmes tout
au fond
Avec ton
saucisson !
Comme je l’ai dit au
début,
Tu es le saucisson de
Lulu
Qui piaffe d’impatience
En attendant ta
présence.
Mais il faut que j’en
termine
Avec cette vermine,
Ce terroriste avéré,
Ce pyromane
expérimenté.
Tout ce qu’on peut
dire de toi
Qui es pour lors
François,
N’est que misérables
paroles
Qui au vent toutes
s’envolent.
C’est pourquoi je
suis bien forcé
Ici de m’arrêter.
Tous ceux qui me
liront
À la fin, tout
comprendront.
Mais il faudra
beaucoup du sang
Pour savoir pourquoi
et comment.
Point n’est besoin
d’en dire plus !
J’arrête là mes
rapiamus !
Car l’aveuglement est
tel
Qu’on ne voit plus le
ciel
Depuis un certain
Vatican II
Qui partout a mis le
feu.
Le produit de Vatican
II,
C’est l’Homme de
péché :
Un déluge de feu
Réduira cet Homme
damné !
Fin de mon
post-scriptum
Qui est adressé à
l’Homme
Damné comme il se
doit
Et qui pour lors est
François.
Gilbert Chevalier
l'Aveugle-Vendéen
(23/11/2015)
1025- « Quand on ne veut que ce qui plaît à Dieu,
RépondreSupprimeron obtient tout ce qu’on veut,
car tout ce qui arrive, arrive par la Volonté de Dieu. »
(Saint Alphonse de Liguori)