mardi 3 janvier 2017

POÈMES 181 à 190


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* * *


181- SAINTE CATHERINE

L'on discute, l'on discute,
Dans d'éternelles disputes
Qui n'édifient pas le prochain
Et qui ne mènent à rien
Sinon qu'à célébrer
Notre peu d'humilité.
Que disait saint Jean de la Croix
Pour aller contre tout cela ?
Que disent les saints aussi
Pour aller contre tout ceci ?
Se taire, se taire, se taire !
Voilà tout ce qu'il faut faire.
Aujourd'hui, on fait tout le contraire
Pour épater toute la terre.
Imitons les saints, je vous prie,
Imitons ceux qui s'humilient
Car ils seront grandement exaltés
Pendant toute l'éternité
Tandis que les beaux parleurs
Qui aujourd'hui ont la fleur
Iront se taire éternellement
Dans un éternel châtiment.
On me dira :
« Que dis-tu là ? »
Tout ce que les saints ont dit,
Et je n'en rajoute pas
Puisqu'ils l'ont si bien décrit.
Prenez la grande sainte Catherine
Que les philosophes ont disputée !
Elle les a tous ruinés
Par son excellente doctrine.
Qu'ont-ils fait pour se venger
D'une si grande humiliation ?
Sur une roue elle fut clouée :
Ce fut sa glorification.
Ô Catherine viens à notre aide
Contre les modernistes d'aujourd'hui :
Avec ton secours, avec ton aide,
Nous parviendrons en Paradis.



l'Aveugle-Vendéen
(24/11/2013)

182- MISE AU POINT

Pour qui se sentirait visé
Par tout ce que je dis
Dans mes pauvres poésies,
Il serait bien mal avisé.
Je ne vise aucune personne :
Je l'ai dit et le redis !
Tant pis pour qui n'a pas compris.
Ce que j'écris, je le donne
À qui veut bien en profiter,
Et à moi tout le premier.
Je ne reviendrai plus
Sur cette mise au point :
Pour qui a l'esprit obtus,
Il n'y comprendra rien.
Qu'importe ! car l'essentiel
Est bien d'aller au ciel
Malgré tous les contradicteurs
Et tous les censurateurs.
Mes poèmes sont une vue générale
Et non une vue particulière
Et c'est bien là le principal
Pour en saisir le mystère.
Je laisserai les jaseurs jaser
Sans davantage m’époumoner :
Qu'ils disent sur moi mille calomnies,
J'en resterai indifférent
De même qu'à toute louangerie :
Je laisse cela aux enfants
Qui s'épouvantent d'une ombre.
Et comme le Père de Montfort,
Je me moque des esprits forts,
Même s'ils sont en grand nombre.
Je ne suis donc pas responsable
Des propos haineux ou aimables
Que suscitent mes poésies,
Et je le dis sans contredit
Je ne suis pas de ceux qui voient
Dans chaque rétroviseur
Des ennemis à mettre à bas :
Tous ceux-là sont des psychiatreurs
Qui voient des ennemis partout,
Même dans une parole.
Je laisse tout cela pour les fous
Qui ont peur d'une plume qui vole.
Ma mise au point est finie :
Je n'y reviendrai pas.
Vive Jésus ! Vive Marie !
Ave, ave, ave Maria !

(Toute correspondance est arrêtée
Pour cause de velléité
Depuis le 12 de ce mois
Et j'en suis dans la joie :
« Dieu fait tout ou le permet,
C'est pourquoi tout me satisfait ! »

Disait saint Louis-Marie.
Je suis en accord avec lui.)


l'Aveugle-Vendéen
(25/11/2013)

183- J'ACCUSE


Thorez disait : « J'accuse ! »
Moi je réponds : « J'excuse ! »
Oui, j'accuse Thorez
Mais j'excuse de Retz,
Car le premier a péri
Et le deuxième s'est converti.
Ô Providence divine,
Que de sagesse insondable !
Le premier nous semble aimable,
Et le second une épine !
Or le premier fut damné
Et le second fut sauvé.
Abîmons-nous en adoration
Devant les jugements de Dieu !
C'est une incompréhension
Devant nos si pauvres yeux.
Regardez les deux Lamennais !
Qu'en dites-vous, gens orgueilleux ?
Le plus petit est bienheureux !
Le plus connu est dans les rets.
Tremblons tous devant la Providence
Qui n'est nullement notre prudence !
Modernistes de tout poil
Vous irez tous dans la poêle
De votre patron Lucifer
Qui vous grillera en enfer
À moins que vous ne reveniez
De toutes vos iniquités.
Vous dites une chose, et puis l'autre,
Une autre chose et puis l'une :
Vous êtes changeants comme la lune,
Envers les uns et les autres,
Volontairement, pour les tromper !
Et vous, vous vous en tirez !
Vous vous en tirez maintenant,
Mais ce ne sera pas tout le temps,
Car un jour viendra votre heure
Où vous verserez bien des pleurs,
Pleurs qui seront éternels :
Point de modernistes au ciel !
Ô Providence divine,
Je connais votre doctrine :
C'est celle de la sainte Église
Toujours belle et assise
Entre tous les bienheureux
Qui tous les jours voient Dieu.
Ce n'est nullement Assise
Avec toutes les religions :
Tout cet ensemble d'églises
Finira dans le fin fond
Tandis que notre sainte Église,
Catholique et Romaine
A toujours ses assises
Dans le divin domaine.
Un certain dit qu'elle est veuve :
C'est un blasphème horrible !
Mais qu'elle est donc la veuve ?
La maçonnerie terrible !
De cette veuve, vous les enfants,
Moi je vous dis en plein visage
Que vous irez en un instant
La suivre dans son veuvage.
Quant à nous catholiques,
Nous irons, si bien nous vivons
Avec notre Dieu catholique
Qui est si puissant et si bon.
Ô Providence majestueuse,
Conduisez-nous en ce saint lieu
Avec les bienheureux et bienheureuses,
Près de Marie, au Jour heureux
Où nous serons tous dans la joie,
Ave, ave, ave Maria !

l'Aveugle-Vendéen
(25/11/2013)

184- SAINT LÉONARD DE PORT-MAURICE


J'entends de l'horrible Bernanos
S'entrechoquer tous les os !
Mais dans saint Léonard de Port-Maurice,
Aucune, aucune malice.
Dis-nous, dis-nous Bernanos
Où sont ceux que nous aimons tant !
Fais donc entrechoquer tes os
Et nous le dis en un instant.
« Les saints vont en enfer ! »
Est-ce là toute ta réponse ?
« Les saints vont en enfer ! »
Retourne donc dans tes ronces.
Mon très cher et doux Léonard
Viens nous dire la vérité.
« La vérité, je vous la dirai,
Et je n'y mettrai aucun fard.
Priez pour ceux que vous aimez
Et Jésus en prendra pitié.
Les Saints ne sont point en enfer :
Celui qui l'a dit est téméraire.
Il n'a pas su ce qu'il disait,
Mais c'est un énorme forfait.
Ne désespérez pas comme lui
Mais espérez toujours en Marie
Et vous verrez qu'un jour viendra
Où le bon Dieu vous exaucera
D'une manière que vous ne savez pas
Mais qui vous remplira de joie. »
Merci, grand Saint, de vos propos
Qui mettent du baume à nos cœurs.
Espérons toujours à cette heure
Car le résultat sera plus beau
Que tout ce que nous pouvons vouloir,
Nous tous qui sommes dans le noir.
Rappelons-nous ce qui arriva
À la mère du Père Hermann :
En un instant elle se trouva,
Grâce à son fils, le Père Hermann
Qui pria tant et tant pour elle,
En la douce vie éternelle
Comme avait prédit le Curé d'Ars
À ce saint homme qui le priait.
Ne désespérons donc jamais
Malgré tous les débris épars
De nos familles éclatées,
De nos amis tous dispersés :
Confions à Marie et Jésus
Tous ceux que nous aimons le plus
Et nous verrons alors un jour
Où est le véritable amour.
Saint Léonard nous a dit vrai :
Toi qui désespères, espère
En celle qui est la vraie Mère
De la sainte espérance à jamais.
Prie, et un jour tu verras
Que tout ce que je te dis là,
C'est la plus stricte vérité :
Saint Léonard ne t'a pas trompé.


l'Aveugle-Vendéen
(25/11/2013)

185- LA MÉDAILLE MIRACULEUSE


La miraculeuse Médaille
A une doctrine sans faille,
Et cela dans tous ses détails.
Nous en connaissons tous l'histoire ;
Point ne remettrai en votre mémoire
Ce qui a fait toute sa gloire.
Je vous redirai donc plutôt
Qu'elle est l’œuvre du Très-Haut
Qui y a placé son sceau.
Ce sceau, c'est sa très sainte Mère
Qui s'est montrée en pleine lumière,
Nous en expliquant tout le mystère
Par sainte Catherine Labouré.
Il nous la faut donc porter
Comme elle nous l'a indiqué.
Cette Médaille nous conduira,
Non pas au paradis d'Allah
Non plus que dans le nirvana
Qui sont des fables stupides
Inventées par le premier homicide
Et qu'aujourd'hui ON décide
De surtout bien respecter
Et de réhabiliter
Pour pouvoir bien se damner.
Ce sont les "vénérables traditions"
Qu'ont ainsi appelées messieurs ON
Pour sa plus grande réprobation,
Car il a placé dans le ciel
Toute une foule, une kyrielle
De bouddhas et autres bagatelles.
Mais dans le Paradis catholique,
Il n'y a que des catholiques,
Car notre Dieu est catholique.
Et les autres, me dira-t-on,
Sont-ils tous en damnation
Enterrés en enfer jusqu'au fond ?
Loin de là ! Car ils ont pu
Devenir eux aussi des élus,
Mais alors ils sont devenus
À tel ou tel moment de leur vie,
Des catholiques sans contredit
Comme ainsi cela se fit
Pour, du Père Hermann, la mère :
Et voilà éclairci le mystère.
C'est la doctrine séculaire
De notre sainte Mère l’Église
Qui, cela qu'on se le dise,
Sur le roc est bien assise.
Elle ne se trompe jamais,
Et si elle se trompait
Point l’Église elle ne serait.
Ainsi pour notre Médaille,
C'est vraiment dans tous ses détails
Que sa doctrine est sans faille ;
Et cette Médaille nous sauvera,
Si nous la portons, nous conduira
Dans le Ciel. Ave Maria !


l'Aveugle-Vendéen
(26/11/2013)

186- TENDRESSE DE MON DIEU

« Écoute-moi, âme bien-aimée,
Écoute ce que je te dis aujourd’hui ;
Si tu veux vraiment, vraiment te sauver,
Il faut que moi et ma Mère tu pries.
Car il est venu, il est venu,
Le roi, le prince des mésélus
Qui, mon Église veut ébranler,
Jusqu’à même la déraciner.
Mais il n’y arrivera pas,
Car, moi, Dieu, je suis là,
Et je la protégerai
De cet Homme de péché
Qui d’avance est réprouvé
Comme dans l’Écriture annoncé.
Cache-toi donc dans mon sein,
Et près de mon Cœur, ne crains rien
Car j’abrégerai ces jours
À cause de mon amour
Pour tous mes prédestinés
Dont tu es, ma bien-aimée.
Laisse donc cet Homme damné
Crier et vociférer,
Proclamant sa révolution :
Miséricorde de damnation !
Car oui, sa miséricorde
Est du pendu, la corde,
Comme il arriva à l’Iscariote
Que réhabilita un certain JE
Qui, au milieu de sa cohorte,
De mon ennemi fit le jeu.
Arbres des forêts, pleurez,
Car vos branches ont été coupées,
Et maintenant voilà qu’il s’attaque
À la racine, ce Pentacle !
Mais il n’y réussira pas
Car mon Église subsistera
Jusqu’à ce que Moi, je revienne,
Et il me verra plein de haine !
Et je le hais moi aussi,
Car je hais tous mes ennemis !
Mais pour mes vrais amis,
Je les aime, je les chéris.
Et tu en es, ma bien-aimée :
Sois donc sans crainte et rassérénée. »
Ô grande tendresse de Dieu
Qui veut que nous soyons tous heureux,
Qui vous fait donc agir ainsi
Pour nous vouloir en votre Paradis ?
« C'est ma tendresse, ma tendresse pour vous,
Oui pour vous qui n'êtes rien du tout,
Non une tendresse de révolution
Comme le prétend l'Homme de damnation,
Non plus qu'une révolution de tendresse
Comme il dit dans ses feintes caresses !
Ne le croyez pas, car il ment,
Et je vais vous dire comment.
Ils disent que les religions
Sont des moyens de salut ;
Ceci est une révolution
Que je n'ai jamais voulue.
Reconnais par là, ma bien-aimée,
Que c'est bien l'esprit malin
Qui patronna cette Grande Assemblée
Et non point certes mon Esprit-Saint.
Ma bien-aimée, viens dans mes bras
Et t'y réfugie bien là.
Que sont-ce mes bras ? Crois-moi,
Ce sont les deux bras de la Croix.
Il te faut boire jusqu'à la lie
Le calice que j'ai bu moi-même.
Pour y arriver, vas à Marie
Qui l'a bu tout aussi elle-même.
Elle t'enseignera comment faire :
Crois-la, car c'est ma sainte Mère.
Par elle tu arriveras à moi,
Et nous te prendrons dans nos bras
Et sur nos Cœurs tous les deux
Dans le Paradis des Bienheureux
Où tu jouiras, loin de l'Homme damné
Pendant toute une éternité
Tandis que lui, l'infâme s'en ira
Avec Voltaire et ses amis
Dans leur infect paradis
Où sont toutes les religions :
Paradis de la damnation !
Fleurs des champs, quittez vos couleurs
Car est arrivée son heure,
L'heure des infâmes Judas
Qui m'ont trahi, bafoué,
Qui maintenant m'ont crucifié
En crucifiant ma sainte Église
Qu'ils croient briser à tout jamais.
Mais ils se trompent ! Je le promets
Elle ressuscitera mon Église,
Et eux seront alors vaincus :
Il iront avec le grand Mésélu
Dans son enfer éternel !
Mais toi, ma bien-aimée, viens t'en
Dans mon Cœur et dans mon beau ciel :
Avec ma chérie Mère je t’attends. »
Ô tendresse de mon bon Dieu,
Nous sommes en adoration
Devant votre commisération
Pour nous qui sommes si malheureux.
Ô Marie, Marie emmenez-nous
Chez notre Jésus, tous avec vous.
« Oh ! oui, je vous emmènerai
Si vous voulez bien m'imiter,
Bien m'aimer en me priant,
Bien m'imiter en me suppliant,
En évitant mes pires ennemis
Que sont les modernistes aujourd'hui :
Ne discutez pas avec eux
Car ils vous auront à la fin,
Vous prenant dans leurs pièges si fins
Teints de belle couleur or ou feu.
N'imitez donc point Ève
Qui dialogua avec le démon :
Malgré que sa chute fut brève,
Elle entraîna sa postérité.
Si donc avec eux vous dialoguez,
En enfer ils vous précipiteront
Car ce sont des fils de malédiction
Et non de prédestination :
Leur plaie est inguérissable
Et leur mal est incurable,
Ayant mauvaise volonté
Qui est la cause qu'ils sont damnés.
Méfiez-vous donc de leurs dires,
Car ils disent tout et le contraire :
Du diable ils ont le sourire
Cachant la face de Lucifer.
Craignez-les, mes chers enfants, craignez-les
Et les fuyez à tout jamais,
Sinon comme eux vous serez damnés
Parce que vous aurez été trompés.
Ce que je vous dis ne leur plaira pas,
Mais de cela ne vous occupez pas.
Pour vous, faites votre salut :
Laissez de côté les mésélus,
Car ils ne sont pas mes enfants
Mais les enfants de Satan
Qui vous calomnieront toujours
Quoique vous disiez, et pour
Vous tirer de ce mauvais pas,
Avec eux ne dialoguez pas. »
Merci, ô Mère de tendresse
Pour ces si bonnes paroles
Qui feront que ni leurs caresses,
Ni leurs menaces, ni leurs oboles,
Ni point d'ailleurs tout ce qu'ils feront
N'aura prise sur notre raison.
C'est la grande tribulation
Annoncée dans les saints Évangiles.
Levons la tête, levons
Car notre délivrance est proche,
Nous en sentons bien les approches,
Même si notre âme est débile.
Jésus, Marie, de tout cela,
Merci, Ave Maria !
« Ô ma bien-aimée, viens dans mes bras,
Dans mes bras qui sont ceux de la Croix !
Ô ma bien-aimée, viens sur mon Cœur :
Ne me reconnais-tu pas ? Je suis le Sacré-Cœur !
De toutes tes contrariétés,
Je ne suis nullement contrarié.
Je t'aime plus que tu ne peux croire
Et plus que tu ne peux savoir,
Car c'est moi qui suis le véritable Amour,
Et cela, pour toujours, toujours, toujours.
Mes ennemis sont les réprouvés,
Les démons et tous les damnés :
Les modernistes qui disent le contraire
Iront l'apprendre au fond de l'enfer.
Mais pour toi, ma colombe, mon amie,
Tu viendras avec moi en Paradis
Si cependant tu veux bien m'écouter,
M'aimer, m'imiter et me prier. »
Je tombe de confusion
Devant une telle tendresse.
Ô Marie, aidez ma faiblesse
Et me mettez vite en possession
De mon bon Dieu si tant aimable,
De mon Jésus si tant affable.


l'Aveugle-Vendéen
(27/11/2013)

187- UNE ÉGLISE SALE

Permettez donc que je vous dise
Ce qu'est la véritable Église,
Ou plutôt ce qu'elle n'est pas
Et que l'autre croit qu'elle a.
La sainte Église n'est pas sale
Comme le prétend un visage pâle !
Elle n'est pas non plus accidentée
Comme le prétend l'homme tourmenté !
Lui, il est dans son bureau ;
L’Église, elle, est dans les travaux.
Lui est dans la synagogue,
Mais l’Église est pédagogue :
Elle nous enseigne quoi faire ;
Lui nous enseigne à mal faire.
Lui est un révolutionnaire ;
L’Église est toute débonnaire.
Plus il veut la mettre dehors,
Plus elle se hâte vers le port.
Son Époux est un Dieu catholique ;
Son dieu à lui est la mosquée !
Son âme à lui est famélique !
L’Église a l'Esprit de vérité
Qui l'instruit et la guide toujours
Dans un vibrant et merveilleux amour.
L'église sale à lui
N'est pas l’Église, je vous le dis,
Mais la prostituée de Babylone
Qui à tous ses amants se donne.
Et qui sont donc tous ses amants
Avec qui elle fait la fête ?
Ce sont toutes ces vilaines bêtes
Des non-vénérables traditionnements
Qui iront tous en un instant
Avec lui rejoindre Satan.
La sainte Église est aussi vierge ;
La sale église, elle, est veuve :
C'est lui-même qui nous l'assure !
Il n'a pas de mots assez durs
Contre la sainte Église qu'il abreuve
Des coups redoublés de sa verge.
Il la calomnie à tout moment,
Lui, cet anti-clérical,
Cette face-bouc au visage pâle
Qui ira en enfer assurément
S'il continue de la dénigrer
Chaque matin, chaque journée.
L'église sale n'est pas,
Je le répète encore une fois,
La sainte Église de Jésus-Christ
Mais bien plutôt sa pagode à lui
Qui écume les périphéries
Existentielles de l'enferrerie.
Vraiment je suis attristé
De dire cette vérité
Que plus personne ne comprend
Tant est grand l'aveuglement.
Ô juste jugement de Dieu
Qui a aveuglé nos yeux
Pour ne plus voir ce que nous voyons
Tant nous avons perdu la raison.
Ô sainte Vierge délivrez-nous
De l'emprise de tous ces loups
Qui ont usurpé la sainte Place
De la gloire et de la grâce
Pour en faire des superstitions
Qui certainement si nous les suivons
Nous mèneront droit à l'enfer
Avec leur prince Lucifer.
Qui réagira à tous ces blasphèmes
Qui sortent de ce vieux volcan
Je le dis, je le dis en pleurant :
Personne ! église sale : anathème !
Maintenant écoutons pour finir
Quatre vers du Père de Montfort
Qui diront mieux ce que je viens de dire :
D'un Saint, ce sont des vers très forts.

« Je déteste tout hérétique,
Le juif, le turc et le païen,
L'apostat et le schismatique ;
Le seul catholique est mon bien ! »

La Foi catholique a parlé :
À nous donc de bien l'écouter,
Et de la mettre en pratique
Comme nous le dit ce cantique :

https://youtu.be/gue_xX06eD0?list=PLkkHVphgJH9awd0cAMmbjvjiBQqhKbkHJ

l'Aveugle-Vendéen
(28/11/2013)


188- LES AMOUREUX DU DIABLE

Q. Qui sont les amoureux du démon ?
R. Ce sont tous les francs-maçons,
Ainsi que tous leurs affidés
Et tous les latomisés.
Q. Comment aiment-ils le démon ?
R. En aimant toutes les religions,
Les mettant toutes à égalité,
Mélangeant erreur et vérité.
Q. Ils ont un peu de vérité, non ?
R. Ils ont l'apparence du nom,
Car lorsque les deux sont mélangées,
La totalité est à rejeter.
Q. Mais ils sont encore un peu bons ?
R. Mise à part leur intention,
Lorsque les deux sont mélangées
Il n'y a plus que fausseté.
Q. Mais Dieu aime-t-il le démon ?
R. Dieu ne peut aimer le démon :
Il le hait d'une haine totale,
Souveraine et vraiment implacable
Car il ne peut aimer des ennemis
Qui le haïssent à l'infini
Et qui ne peuvent se repentir
Du fait de leurs mauvais désirs ;
C'est pourquoi l'enfer est éternel,
Comme l'est d'un autre côté le Ciel.
Q. Mais seront-ils réhabilités ?
R. Les démons et les réprouvés,
Ne voulant pas changer de volonté
Ne seront jamais réintégrés.
Q. Mais Dieu hait aussi les pécheurs ?
R. Les pécheurs sont ses ennemis,
Mais leur temps à eux n'est pas fini ;
C'est pourquoi Dieu aime les pécheurs
Et les attire à repentance
Afin qu'ils fassent pénitence.
Q. Il faut donc haïr le démon ?
R. Oui il faut haïr le démon
Car il n'est pas notre prochain,
Mais c'est un esprit malin
Qui veut nous damner avec lui
Et nous faire perdre Jésus-Christ.
Q. Faut-il haïr aussi le pécheur ?
R. Non bien sûr, à la bonne heure !
Il faut aimer ses ennemis
Comme l'a dit Jésus-Christ.
Mais quant au damné, celui-là,
Il faut haïr cet apostat
Sinon il nous entraînera
Dans le gouffre tout en bas.
Q. Votre doctrine est bien dure !
R. Cette doctrine est la pure
Doctrine de la sainte Église
Sur laquelle elle est assise.
Si aujourd'hui on dit autrement,
C'est bien qu'est arrivé le temps
Qu'a prédit le grand Apôtre
Et qui est, nous le voyons, le nôtre
Où les oreilles sont émoussées
Par des fables efféminées.
On dit le tout et son contraire,
Mélangeant ténèbres et lumière,
Et à la fin de ce chemin,
L'on ne croit plus, l'on ne croit plus en rien.
Vraiment, les amoureux du diable
Disent que nous sommes implacables !
Donc l'Église a été implacable !
Et donc les Papes ont été implacables !
Tous les Saints ont été implacables !
Car aucun d'eux n'a aimé le diable.
Laissons donc ces amoureux
Dire des insanités :
S'ils aiment les diables, en vérité,
Ils finiront leur vie avec eux,
Et là il n'y aura plus de mélange
De la vérité avec la fange !
Et leur ténébreuse doctrine
Finira dans les latrines
Qui sont l'habitacle des francs-maçons
Et de tous ceux qui leur ressembleront.
Q. Un dernière question :
Du mauvais riche, quelle est la demeure
Car on nous dit à cette heure
Qu'il est en purification ?
R. Voici ma dernière réponse :
Le mauvais riche est en enfer
Avec son patron Lucifer.
Si aujourd'hui on change la réponse
En le mettant en purgatoire,
C'est que les yeux ne sont plus faits pour voir
Mais qu'ils sont bien enténébrés
Et qu'ils ont perdu toute clarté.
Tout ce que j'ai dit n'est pas de moi
Mais de la pure Tradition ;
Si aujourd'hui on change les lois,
C'est que la Grande Tribulation
Est arrivée à son sommet
Où l'Homme de péché paraît.
Je n'en dirai rien de plus :
De toute façon, je ne serai pas cru !
Et je n'ai aucune mission
De faire à tous et chacun la leçon.
Je reste donc à ma place ;
Dieu veuille que ce temps passe
Rapidement, et il passera.
Ave, ave, ave Maria !

Concl.
Dieu n'a nulle charité
Pour les démons et les réprouvés.
Ainsi ce démasque une hérésie.
Et qui est hérétique en un point
L'est dans toutes les parties.
Écoutez ce que dit un Saint :

« Apprenez quelle est ma pratique
Pour m'avoir dans ma pureté,
Croyez tout ; c'est être hérétique
De nier une vérité.
»
Ceci est du Père de Montfort
Dans son cantique sur la Foi.
Pour moi, je ne suivrai pas
Tous ces grands esprits forts
Qui font débat sur débat
Et qui ne savent clore :
Ils virevoltent de-ci de-là,
Ils ont réponse à tout
Pour tromper tous les pauvres fous
Qui croiront tous leurs aléas.
Leur doctrine est détestable
Et en tout point hérétisée.
C'est haïr Dieu que d'aimer le diable
Sous prétexte de charité.
Et qui hait Dieu est du diable :
Et la boucle est bouclée.
Mais pour vous qui voulez vous sauver,
Ne suivez pas cette doctrine,
Car cette doctrine est implacable :
Elle est toute diabolisée
Mais dans le vrai sens du terme.
C'est ici que je mets un terme
À ce qui n'en finira pas
De faire toujours débat
Chez nos modernistes qui se croient
Avoir la vraie religion, la vraie foi.
Mais ils ne l'ont qu'en apparence :
Ce ne sont que des fosses d'aisance
Toutes leurs doctrines délétères
Mais qu'on voit en pleine lumière
Dès lors qu'on a l'esprit droit
Et qu'on a la vraie Foi.
Ils vous tromperont toujours ;
C'est pourquoi je les mets au vrai jour.
Ne vous faites donc pas tromper,
Sinon, sinon vous serez damnés
Pour avoir cru volontairement
Tous leurs orgueilleux serpentements.
Quant à moi je me tiens à l'écart
De tous ces esprits cafards
Même si je dois en payer le prix
En étant un jour exclu d'ici,
Car les hérétiques ont toujours persécuté
Les serviteurs de Dieu, en vérité ;
Il me faut donc moi aussi passer
Par le chemin qu'ils ont fréquenté,
Car c'est là le bon chemin
Qui conduit au Ciel certainement,
Le chemin des croix assurément
Qu'ont pris absolument tous les Saints.
Encore une chose avant de finir :
Faites toujours très attention
À toutes leurs citations
De l'Écriture ou des Saints,
Car ils s'en servent à dessein
Pour tromper tous vos désirs.
Ainsi ont fait tous les hérétiques,
Et Luther tout le premier.
Restez donc de bons catholiques
Et ne vous en laissez pas conter.
Vive le chemin de Croix
Car c'est le sentier de la vraie joie.
Laissons les amoureux du démon
Serpenter dans leurs bas-fonds.
À notre secours, Vierge Marie,
Contre la Secte des impies,
Les adorateurs de Lucifer
Qui finiront au fond de l'enfer.

(Pour n'avoir pas voulu aimer
Les démons et les réprouvés,
Certes, ils n'ont pas perdu de temps
Car je subis leur bavement,
Car je viens d'être signalé
Comme le plus grand des réprouvés.
Ainsi vous ne pourrez pas visionner
Ma vidéo qui vient d'être bloquée ;
J'en ai lancé une deuxième
Qui en fait est toujours la même
Et qui subit le même sort :
Sainte Thérèse est digne de mort.
Pour votre édification
Voici le titre que j'ai mis :
"Pour la canonisation
De Jeanne !" Notre sœur chérie.
S'ils me débloquent vous verrez les deux mêmes
À qui ils ont juré anathème.
& https://gloria.tv/album/5ZGJZoB58za52ajbqAowvsbDZ/video/k9xs4xQKA3Kb4aM2yM2ajc1Wm )

l'Aveugle-Vendéen
(29/11/2013)

189- MON CHAPELET


Mon chapelet à la main,
Je suis un homme heureux :
En égrenant ses grains,
Je suis bien plus joyeux
Qu'un monarque sur son trône !
Mon chapelet est mon prône
Qui me dit ce qu'il faut faire
Et qui toujours me suggère
Rien que des bonnes choses,
Sans épines, des roses
Qui versent sur mon âme
Un baume bien onctueux ;
Et avec lui je rame
Vers la Cité des cieux.
Si mon cœur est chagrin,
Il me redonne vie :
Mon front devient serein,
De joie je suis rempli,
Et je dis aux campagnes
Que bien plus que Charlemagne
J'ai un empire avec moi,
L'empire de la vraie foi,
Une ardente charité,
Une espérance inlassable
Qui ne finit pas d'espérer
Et qui est toujours stable.
Il m'empêche de tomber ;
Si je tombe, il me relève ;
Et je ne fais jamais grève
De tous les jours le réciter.
Faites donc comme moi,
Et vous serez heureux.
Vive notre bon Dieu !
Ave, Ave Maria !



l'Aveugle-Vendéen
(30/11/2013)

190- LE TROISIÈME SECRET


C'est à Cova da Iria
Que Notre-Dame de Fatima
Révéla à trois petits bergers
Un secret bien ignoré
Et dont la troisième partie
Est la Grande Apostasie
Qui aujourd'hui fait fureur
Malgré tous les contradicteurs,
Car nous le connaissons
Par sa réalisation
À défaut que nous en ayons
De sa prescrite publication.
Il est paru, il est vrai,
Bien des troisièmes secrets,
Mais ils sont si extravagants
Qu'on reconnaît immédiatement
Qu'ils ne sont que des faux-semblants
Pour tromper tous les pauvres gens.
Laissons donc de côté
Tous ces arrosoirs en plastique
Et ces fausses bombes atomiques
Qui ont un air de vérité.
Attachons-nous au vrai secret
Qui n'est plus maintenant secret
Du fait de sa réalisation
Que sous nos yeux nous voyons.
Celui-là est bien véritable :
Il n'est pas au fond du cartable
Noir de l'église sale
Que promène l'Anticlérical
Qui a le don des syndrômes
Dont il semble avoir le diplôme !
Il n'est pas au fond du puits,
Dans le trou noir que l'on a dit.
Il est en pleine lumière :
Dévoilé est son mystère !
Et par qui, me demanderez-vous ?
Par l'arrivée de tous ces loups
Qui le réalisent en plénitude
En nous menant la vie bien rude,
À nous, catholiques traditionnels
Qui ne voulons que gagner le ciel
Tandis qu'eux s'enfoncent en enfer
Avec un gros morceau de fer,
Celui-là-même que Theillard
Adorait : il l'avoua sur le tard.
C'est pourquoi les modernistes l'aiment tant,
Eux qui adorent le grand Paon.
Mais revenons, je vous prie
À la Grande Apostasie
Qui aujourd'hui bat son plein
Mais qui touche à sa fin,
Fin terrible en vérité,
Puisque c'est l'église éhontée
Qui de honte demande pardon
À Lucifer son grand patron.
Qu'est-ce que l'Apostasie,
Mais non pas une apostasie ?
C'est le retour complet des chrétiens
À la grande assemblée des païens,
À cette religion unique,
À cette même pensée unique
Qui va régir tout l'univers,
Mais la pensée à l'envers,
Ou mieux, la libre pensée
Que lui-même appelle pensée libre
Afin que sa corde mieux vibre,
Qui nous met tous dans le panier
De ce plus grand des scélérats
Que la terre jamais ne porta
Et qu'elle ne portera plus jamais :
C'est l'Antéchrist qui paraît.
Il parut dès les premiers temps,
Mais en figure seulement ;
Mais dans ces derniers temps,
Il paraît lui-même véritablement,
Car il est l'aboutissement
D'un immense chambardement :
Il est le fruit obligé
De ce monde apostasié.
Et comment cela finira ?
C'est Notre-Dame de Fatima
Qui à nous tous le révéla :
« Mon Cœur-Immaculé triomphera ! »
Elle nous annonce la paix,
Mais une paix qui est vraie,
Non pas cette fausse paix
Qu'à Assise l'on voyait
Entre toutes les religions
Assises en leur noire réunion.
Va-t'en, ô soleil noir d'Assise,
Car ce n'est pas toi qui est l’Église !
Après cette grande tribulation
Qu'en ces jours-ci nous connaissons
Et que bien plus demain nous connaîtrons,
Les vrais beaux jours reviendront !
Et ce sera cette paix
Que Notre-Dame annonçait.
D'ailleurs elle fut mise à la porte
De cette "sublime porte" !
Et bientôt finira le bal
De l'église anticléricale :
Elle finira son carnaval
Tout au fond du bocal,
Dans le fin fond de l'abîme
Où elle expiera ses crimes
Pendant toute l'éternité
Avec cet Homme damné,
Cet Antichrist et Antéchrist
Qui de l'Apostasie est le fruit.
Alors nous revivrons
Loin de ces francs-maçons,
Loin de ces religions
Qui en enfer brûleront.
Le triomphe qu'ils croyaient total,
Pour eux, il sera fatal :
Le carnaval des animaux
Se terminera au fond du pot
De chambre du grand gouffre
Où démons et damnés souffrent
Sans aucune interruption !
C'est l'enfer de la première vision
Que Notre-Dame fit voir
Aux trois bergers épouvantés,
Et aujourd'hui l'on ne veut plus croire
À cette si grande vérité !
La paix d'Assise ne sera pas,
Mais celle de Notre-Dame viendra.
Leur paix, c'est la réunion
De toutes les religions ;
La vraie paix, c'est le retour
À notre sainte Mère l’Église
De tous les hommes qui, un jour,
Viendront à elle, repentants.
C'est ainsi que se réalise
Le secret des trois enfants.
Tout cela se réalisera :
Croyez-le bien, n'en doutez pas,
Car Notre-Dame à Fatima
Nous a promis tout cela.
Oui, l’Église triomphera,
Et sur tous ses ennemis
Qui s'en iront, tous occis,
Dans le soufre, tout en bas.
Pendant que ces malheureux font la fête,
Il nous faut relever la tête,
Car notre délivrance est proche,
Car le Fils de l'homme approche.
Tous les signes sont là :
Ne les reconnaissez-vous pas ?
Voilà le Troisième Secret
Qui n'est plus maintenant secret,
Dans le sens qu'il se réalise
Sous nos yeux dans la sainte Église.
Ils crient : « La paix, la paix ! »
Mais ils ne l'auront jamais.
La vraie paix est à la porte,
Et de joie mon cœur se transporte !
Ave, ave, ave Maria !
Vive Notre-Dame de Fatima !



l'Aveugle-Vendéen
(01/12/2013)
 


 
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NEUVAINE & RETRAITE SPIRITUELLE
dans les SACRÉS-CŒURS de JÉSUS et de MARIE
pour les Premiers Vendredi & Samedi :

http://montfortajpm.blogspot.fr/2016/06/neuvaine-au-Sacre-Coeur-pour-se-preparer-au-premier-vendredi.html
Le septième et le huitième jour,
je chercherai les moyens de redresser mon cœur
et de le rendre conforme à celui de mon divin Exemplaire :
c’est un Cœur tendre, doux, patient, sans fiel,
prêt à tout sacrifier pour le bien de la paix,
tout ardent pour Dieu, saint et impeccable :
Ô le beau modèle !
Ô mon cœur, mon cœur, aspirons à ce bien !
Ah ! quand serez-vous semblable au Cœur de Jésus !
Plus de repos, plus de vie que nous ne lui soyons conforme !
Présence de mon Dieu,
vous m’êtes un puissant moyen pour profiter de tous les autres ;
c’est le plus prompt, le plus aisé et le plus doux.
Ô mon cœur, soyons tout à Dieu, tout à Jésus, tout à Marie !

.....Cœur Sacré de Jésus,
humblement prosternés devant vous,
nous venons vous renouveler notre consécration,
avec la résolution de réparer les outrages des hommes
par un accroissement de fidélité et d’amour envers vous.....

« Ô Sacré-Cœur de Jésus,
apprenez-moi le parfait oubli de moi-même :
enseignez-moi ce que je dois faire
pour parvenir à la pureté de votre amour.
Je sens en moi une grande volonté de vous plaire
et une complète impuissance d’en venir à l’effet,
sans une grâce très particulière
que je ne puis espérer que de vous.
Seigneur, faites en moi votre sainte Volonté !
J’y mets, je le sais, bien des obstacles ;
mais soumettez-moi tout à vous ;
c’est à vous qu’il appartient de tout faire,
divin Cœur de Jésus.
Ainsi soit-il. »


1 commentaire:

  1. 1083- « Celui qui aime Dieu ne s’afflige point dans les croix :
    il s’en réjouit plutôt. »

    (Saint Augustin)

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