mardi 9 octobre 2018

POÈMES PIEUX 11


(à retrouver
ICI dans la Playlist "Florilèges")


(à retrouver
ICI dans la Playlist "Intégral Montfort III")

* * *


501- L’humilité ne brille pas
Dans le monde de ce temps
Qui est bien trop arrogant
Et qui ne la veut pas.

502- La Volonté de Dieu
Nous rendra bienheureux
Si nous l’accomplissons,
Si nous nous résignons.

503- Sub Tuum præsidium !
Oui, sous votre protection,
Ô Marie, nous sommes,
Et y rester, nous voulons.

504- Cœur de Marie, Cœur de gloire,
Avec vous est la victoire,
Mais sans vous, que de déboires,
Et pour finir, le désespoir.

505- La triple basilique
S’élève dans le ciel
En Trois Ave solennels
Dans Lourdes catholique.

506- Consacrons en famille
Notre propre famille
À la Sainte Famille
Pour garder la famille.

507- Il fut un homme de désir,
Le prophète Daniel
Qui fut agréé par le Ciel
À cause de ses saints soupirs.

508- En ce temps de disette
Il faut lever la tête
Vers le Cœur-Immaculé
De notre Mère bien-aimée.

509- Bonnes gens, écoutez
Cette belle mélopée
Du divin esclavage
Qui jamais ne fait naufrage.

510- Deux larrons étaient présents
Près de la Croix de Jésus ;
Leur sort fut bien différent :
L’un fut sauvé, l’autre perdu.

511- Remarquez-vous le chapelet
Que Marie tient à son bras ?
Voilà un signe de paix
Pour quiconque le dira.

512- Il était une fois
Un homme qui s’appeloit
Joseph, époux de Marie
De qui Jésus naquit.

513- Saint Louis-Marie Grignion
De Montfort, soyez mon fort,
Et soyez notre réconfort
Contre le monde et le démon.

514- Ou ciel ou purgatoire ou enfer,
Voilà bien les fins dernières ;
Jugement particulier puis général,
Voilà bien la fin finale.

515- Sous quelque titre qu’on invoque
La très sainte Vierge Marie,
En quelque lieu, en quelque époque,
Elle exauce ceux qui la prient.

516- Saint Joseph, voyez l’état
Pitoyable d’aujourd’hui :
Conférez-en à Marie
Et ne nous délaissez pas.

517- L’Église une et catholique,
Sainte et apostolique,
Point hérétique ni schismatique :
C’est bien l’Église catholique !

518- Mon premier est magnifique,
Mon deuxième est litanique,
Et mon troisième est lyrique :
Mon tout est un cantique.

519- Par l’harmonie commençons,
Par le plain-chant continuons
Par plusieurs styles finissons,
Et vous aurez ma chanson.

520- Un musulman qui se convertit
Vaut mieux qu’un chrétien attiédi ;
Mais s’il ne se convertit pas,
Il devient vite un fana.

521- Le cœur transverbéré
De sainte Thérèse de Jésus
Montre combien il a aimé
Et de Jésus aussi le fut.

522- Les ex-votos n’existent plus
Car ils ont disparu :
Ceux qui les ont enlevés
Auront fort à expier !

523- Ô Sainte Face de Jésus-Christ,
Convertissez-nous aujourd’hui,
Et que ce soit par Marie,
Votre Mère chérie.

524- Juifs, musulmans, athées,
Mauvais chrétiens, contemplez
La Face que vous outragez
Par votre mauvaise volonté.

525- Si nous n’étions dans la Grande Apostasie,
Mes airs auraient le premier prix ;
Mais hélas, comme nous y sommes,
Ils sont rebutés des hommes.

526- Assurément, le meilleur chrétien
Est le juif qui se convertit bien ;
Mais s’il reste en juiverie,
Il tombe vite en maçonnerie.

527- Le Saint-Esprit est la Voie
Qui nous conduit à Jésus-Christ
Qui est la Vérité, la Vie :
Cette voix-là écoutons-la !

528- Ô grand saint Augustin
Qui revîntes de chez Manès
Et qui fûtes un grand saint,
Priez pour nous sans cesse.

529- Notre-Dame implore pour nous
Les miséricordes du Très-Haut ;
Prions-la à genoux :
Ce ne sera pas de trop.

530- Les quatorze stations
Du Chemin de la Croix,
Aujourd’hui, les connaît-on ?
J’en doute, hélas, hélas !

531- Offrande des plaies de Jésus :
C’est pour toi, âme perdue !
Offrande des plaies du Seigneur :
C’est pour toi, pauvre pécheur.

532- À Lourdes on achetait
Des vierges lumineuses
Qui la nuit nous rappelaient
Où est la vie bienheureuse.

533- Ô Marie conçue sans péché, priez
Pour nous qui avons recours à vous !
Voilà l’invocation que nous
Devons très souvent réciter.

534- Notre-Dame des Trois Ave,
Nous soustraire, veuillez,
Du dialogue interreligieux
Qui offense tant le bon Dieu.

535- Notre-Dame de la Consolation,
Délivrez-nous du démon
De cette aberration
Qu’est l’inculturation.

536- Saint Benoît et saint Michel,
Et vous, divine Marie,
Menez-nous vite au Ciel
Après l’exil de cette vie.

537- Marie console ses enfants
Qui viennent la supplier ;
Nul d’entre eux n’est oublié,
Croyons-le assurément.

538- Les Saints ne sont plus connus !
On leur préfère Lulu,
Calvin, Luther et compagnie
Qu’on place tous au paradis.

539- Ils ont condamné les Croisades,
Et qu’en est-il résulté ?
Les terroristes ont gagné !
Chrétiens, reprenez la Croisade !

540- Si la simplicité des enfants
À tous et chacun nous ravit tant,
C’est que la simplicité
Est bien belle en vérité.

541- Ô Notre-Dame de Fatima,
De Medjugorje préservez-nous,
Car ce qui apparaît là-bas,
C’est le diable et non point vous.

542- Ô saintes litanies
De la Vierge Marie,
Que vous êtes admirables :
Chassez de partout le diable !

543- Les litanies de la Sainte Vierge
Sont une armée en bataille
Qui donne des coups de verge
Au démon, cette canaille.

544- Ce que nous devons écouter,
C’est ce que l’Église a approuvé,
Et nous devons réprouver
Ce que l’Église a condamné.

545- La charité aime la vérité,
Et la vérité chérit la charité ;
L’une, il ne faut point taire,
Et l’autre, il faut toujours faire.

546- Si la vérité dérange,
La charité tout arrange,
Et ceux qui n’ont pas la charité
N’ont pas davantage la vérité.

547- Qui perd tout en ce monde
Gagne la vie éternelle ;
J’aime mieux perdre du monde
Et en gagner au ciel.

548- Si tu as une apparition
Qui veuille unir toute religion
Comme font tous les francs-maçons,
C’est sûr, elle vient du démon.

549- Nous sommes dans l’erreur
De croire que Marie
Délaisse le pécheur
Qui a le cœur contrit.

550- Marie, Reine de France,
La France vous oublie !
Et pourquoi ? Elle ne pense
Qu’à la terre, à cette vie.


https://montfortajpm.blogspot.com/2017/05/sommaire-des-poemes-pieux-de-Gilbert-Chevalier.html


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1 commentaire:

  1. 1833- « Je pense que dans l’oraison,
    le plus parfait des actes d’amour divin,
    c’est de se réjouir de la félicité infinie de Dieu
    puisque tel est l’exercice continuel des bienheureux en Paradis. »

    (Saint Alphonse de Liguori)

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