À mon secours, Ô douce et divine Marie, À mon secours ! Je souffre et gémis tous les jours : À mes maux soyez attendrie, Délivrez-m’en, je vous en prie, À mon secours ! ...
L'édition du dimanche 17 septembre
d'Avvenire, le quotidien des évêques italiens, a provoqué
un scandale suite à la publication sur les photos de portrait de
première page d'immigrants clandestins avec le titre : "Tous
italiens, pas encore citoyens. " Avvenire se bat avec le
gouvernement italien de gauche pour l'introduction d'une citoyenneté
de droit de naissance dans le pays.
En conséquence Avvenire
est boycotté par les prêtres et les fidèles. Un curé de paroisse
à la périphérie de Rome a déclaré au Secolo d'Italia,
"Nous sommes une paroisse, pas une section de fête". Un
autre prêtre écrit sur Twitter : "Pourquoi n'ont-ils pas
mis sur la première page les visages des chrétiens
persécutés ?"
Le père Pier Luca Bancale, un
aumônier de l'armée appartenant à la Légion du Christ, a écrit :
«Je suis consterné par la propagande en première page pour la
citoyenneté de naissance. L'Église n'évite-t-elle que la politique
lorsqu'il s'agit de syndicats homosexuels ?"
Avvenire
est somme toute logique puisqu'il met en application ce qu'ordonne
François. Or dans l’Église catholique, c'est ainsi que doivent
marcher les choses. La faute est donc à mettre, non sur Avvenire
mais sur François puisque c'est lui qui a édicté ce principe
révolutionnaire du droit du sol pour les étrangers : qu'il
l'applique d'abord pour le Vatican avant de le demander aux autres !
C'est clair, non ?
Se référant à des sources fiables,
Edward Pentin écrit sur son blog le 19 septembre que les membres de
l'épiscopat allemand ont récemment été frustrés par le rythme
des "réformes" de François. Ils ont exercé une pression
sur lui pour accélérer le rythme.
En plus d'être très riche en raison du bénéfice
d'un système fiscal de l'État, l'Église en Allemagne est érodée
par une idéologie relativiste qui perd des centaines de milliers de
fidèles chaque année. Un tel exemple se révélera suicidaire pour
l'Église dans son ensemble.
Onze membres d'une famille sont morts
dans l'église Santiago Apostol à Atzala, au Mexique, lors du
tremblement de terre de 7,1 qui a frappé mardi. Le toit de l'église
s'est effondré pendant une sainte Messe de baptème pour une fille
de deux mois. Les seuls survivants sont le père du bébé, le prêtre
et l'assistant du prêtre. Au moins quatre mineurs sont parmi les
victimes. Les secouristes ont déposé les corps sur la même rue où
une fête devait se tenir après le baptême.
Une
question : n'y aurait-il pas cause à effet entre l'image
blasphématoire de Guadalajara et les 2 tremblements de terre au
Mexique ? C'est une question. Chacun est libre d'y apporter sa
réponse.
Cela
me rappelle étrangement, d'une part Assise 1986 (voilà pour la
cause), et d'autre part, les tremblements de terre monumentaux dans
ce même lieu une dizaine d'années après (et voilà pour l'effet).
Le secrétariat aux communications
du Vatican dont le propagandiste gay James Martin est consultant,
a signé un accord le 21 septembre qui marque le retour des jésuites
dans les médias du Vatican. Jusqu'en février 2016 et la démission
du Père jésuite Federico Lombardi en tant que directeur général
de Radio Vatican, les jésuites étaient chargés de la communication
du Vatican. Maintenant, ils reviendront bien que la forme de ce
retour ne soit pas claire.
Selon le semi-officiel Il
Sismografo, la "réforme" par François des médias du
Vatican a "de gros problèmes" et sa condition actuelle
n'est "pas particulièrement passionnante" :
"Beaucoup,
en effet, beaucoup a été démantelé et fragmenté, et ce qui était
considéré comme dépassé n'a pas ou peu été remplacé".
Comme
d'habitude, François met la confusion partout comme lui-même
demandait de le faire aux jeunes du Paraguay : "Organisez
la confusion !" Ce sont ses propres termes. Il est piquant
de voir que les Jésuites, grands défenseurs de la Foi, aient été
si tant combattus des francs-maçons, mais qu'une foi tournés par
les mêmes francs-maçons, ceux-ci s'en servent pour tout détruire !
Le 20 septembre, le journal italien Il
Giornale a flatté le pape François pour
la fermeture de l'Institut familial de Jean-Paul II. Le journal
parlait avec enthousiasme de "la dernière gifle de Bergoglio
aux traditionalistes". Par "traditionalistes" on veut
viser les catholiques.
L'article n'était toutefois pas
capable d'influencer le lectorat. L'article a généré vingt
commentaires, dont 19 critiques pour François. Un lecteur écrit :
"Nous voulons un vrai pape qui soit chrétien et catholique".
Un autre, "Ce pape est simplement un politicien du Vatican".
Un troisième, "Il remplacera l'Institut de la famille par des
leçons de Coran".
Le 22 septembre commencera à Trieste
le procès pour le meurtre de monseigneur Giuseppe Rocco. Rocco a été
trouvé étranglé dans sa chambre au séminaire de Trieste en avril
2014.
Le suspect est monseigneur Paolo Piccoli, 52 ans, qui à
l'époque avait sa chambre à côté de Rocco. Mais ses avocats ont
souligné que l'autopsie n'a trouvé aucun signe de lutte,
habituellement présent lorsqu'une personne est étranglée. Le sang
de Piccoli, trouvé sur le lit de Rocco, est arrivé là pendant
l'administration des derniers rites selon les avocats. En outre, ils
soulignent qu'il n'y a pas de motif sérieux pour le crime.
Selon
les médias, la femme de ménage de la victime est le principal
accusateur de monsignor Piccoli.
1485- « L’Église est comme l’image de la justice, le droit commun de tous. »
RépondreSupprimer(Saint Ambroise)