vendredi 13 décembre 2019

HÉRÉTIQUE, APOSTAT, IDOLÂTRE.


Personne désormais, sauf ignorance invincible qui est de plus en plus rare étant donné le véhicule informatique, personne désormais donc ne peut ignorer que l’église de Vatican II, appelée communément conciliaire, est hérétique, apostate et idolâtre. Nul n’est besoin de s’étendre là-dessus puisque des auteurs bien plus expérimentés que moi l’ont enfin dit, et ces auteurs ne sont pas n’importe qui puisque ce sont des gens qui se produisent habituellement publiquement et qui sont d’une notoriété incontestée.

Malgré cela, et voilà le hiatus, tous ces gens très expérimentés et très connus sur la scène publique, continuent d’affirmer que cette conciliaire hérétique, apostate et idolâtre, est l’Église catholique ! Et j’aurai beau faire et beau dire, ils ne changeront pas d’avis. Et comment font-ils pour ne point changer d’avis ? C’est que toutes ces sommités s’inventent différents systèmes pour essayer de se sortir d’affaire. Je ne décrirai pas leurs subterfuges et contorsions car ils sont bien connus de tous : l’un dit une chose, l’autre une autre, et ainsi de suite, mais ils ne s’en sortirons pas.

Il faut pourtant bien trouver une solution qui est facile mais trop facile pour tous ces gens qui compliquent tout alors que tout est si simple.

Jésus-Christ a fondé l’Église : il n’y a qu’à la suivre ! En effet, ni le Pape, ni l’Église ne peuvent dérailler : c’est nous qui déraillons. Pour les esprits orgueilleux de ce temps, voilà qui est bien difficile à admettre. Je vais prendre deux exemples.

Léon XIII a fait une encyclique ("Au milieu des sollicitudes") que l’on qualifie injustement de « ralliement à la République ». Voilà qui est complètement faux et absurde, et ceux qui disent cela n’ont certainement pas lu l’encyclique en question. Moi je l’ai lue : rien de plus orthodoxe.

Prenons n’importe quelle encyclique de n’importe quel pape conciliaire. Je ne les ai pas lu toutes mais une bonne partie, et qu’y voit-on ? Des hérésies.

Je n’entrerai pas dans le détail de ces deux exemples car ce serait trop long. Mais je puis vous assurer ceci : suivez l’Église et rejetez les hérétiques. Ne vous fiez pas à vos propres sentiments mais à ce qu’enseigne l’Église.

On me dira que je suis sédévacantiste. Mais je réponds que je ne suis ni conciliaire, ni lefebvriste, ni guérardien, ni sédévacantiste, ni autres choses semblables, mais seulement catholique. Et si le Saint-Siège est vacant, il ne le restera pas : jusqu’ici, il a été au moins 260 fois vacant. La seule différence aujourd’hui, c’est que la vacance est plus longue du fait de la grande Apostasie et du règne plénier désormais proche de l’Antéchrist. Heureux les vrais fils de l’Église, car :

En ce temps de vacance exceptionnelle, l’Église se trouve dans chaque catholique fidèle, puisque l’Église ne meurt pas. Mais croire que l’Église se trouve dans des papes, cardinaux, évêques, prêtres et laïcs hérétiques, apostats et idolâtres comme est la conciliaire, voilà un horrible blasphème et une injure à Dieu-même. Je parle ici en général et non pour les cas particuliers, mais cela, on l’aura bien compris, du moins pour ceux qui savent encore comprendre ! Donc :

L’Église catholique est toujours là, présente en chacun de ses membres, et sa structure qui est temporairement usurpée, sa structure se verra d’autant plus exaltée qu’elle a été humiliée par les modernistes qui la piétinent depuis Vatican II. Oui, mille malédictions à la conciliaire, et dix mille bénédictions à la sainte Église catholique, apostolique et romaine que les infâmes modernistes croient avoir abattue mais qui ressuscitera plus glorieuse que jamais ! Quant aux imposteurs, qu’ils s’attendent à être plongés au plus profond de l’enfer où le châtiment le plus terrible qui soit les attend pour les milliards d’âmes qu’ils auront damnées !

Ce que je viens de dire est terrible, mais personne n’y comprendra rien comme d’habitude. Tant pis, c’est dit. Ou plutôt, tant mieux, car si les méchants me contrediront en disant que je suis fou, comme le Bergoglio le dit des vrais catholiques, pour les bons, en revanche, c’est une véritable consolation. Et à ces derniers je dis : chers frères et sœurs, n’oubliez jamais votre Chapelet quotidien !

G.C. 
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