Quand tu te fais piquouser,
Tu te fais envenimer
Comme d’un venin de serpent,
D’un poison rapide ou lent :
Cela dépend des circonstances,
Que tu sois Constant ou Constance.
Les témoignages sont à foison :
Tu ne les entendras pas sur France-Info
Qui ne diffuse que fausses infos
Par des journaleux coussinés
Qui n’en ont rien à cirer,
Car ce qu’ils racontent et font
Ne sont que des émanations
De leurs grands-maîtres francs-maçons.
Laissons donc ces misérables pions
Du non moins infernal Macron
Et venons-en à notre sujet :
La piquouse est-elle un poison ?
Eh bien oui, et tout à fait,
Et il le sait, le vieux Macron,
Car quoique jeune, il est vieux
Et n’est bon qu’à mettre au feu
Où il ira en peu de temps
Faire bouche à bouche avec Satan,
Car voyez-vous, ce Serpent
Ouvre la gueule pour piquouser
De son venin malodorant
Tous les Français, les braves gens,
Qui par lui se laissent tromper.
Et vous voulez bientôt réélire
Cet horrible et triste sire ?
Attali vous le recommande
Puisque cet aspic est de sa bande.
Que ferez-vous ? Vous le ferez
Puisque vous êtes tous moutonnés :
Après cela, vous vous plaindrez
D’avoir été envenimés.
Trop tard, mes amis, trop tard :
Dans ta peau il a mis le dard,
Cette malfaisante seringue
Qui te rend complètement dingue !
« Mais non, dira ton médecin,
Ce n’est nullement du venin,
Mais un baume de qualité
Que tu ne sais pas apprécier. »
Et toi, pendant ce temps-là,
Tu agonises sur ton grabat,
Et ils te disent, dans un sourire :
« Tout va bien, retourne chez toi,
Croque des frites à plaisir
Avec un doliprane en surcroît. »
Et toi, tu les crois, bien sûr,
Ces médecins de pacotille,
Même si tu gémis et grilles :
Ils ont la science, c’est sûr !
Eh bien, je vais te révéler
Un truc que tu ne sais pas :
Ces mecs t’ont empoisonner !
Bien sûr, tu ne me croiras pas.
Tu te fais envenimer
Comme d’un venin de serpent,
D’un poison rapide ou lent :
Cela dépend des circonstances,
Que tu sois Constant ou Constance.
Les témoignages sont à foison :
Tu ne les entendras pas sur France-Info
Qui ne diffuse que fausses infos
Par des journaleux coussinés
Qui n’en ont rien à cirer,
Car ce qu’ils racontent et font
Ne sont que des émanations
De leurs grands-maîtres francs-maçons.
Laissons donc ces misérables pions
Du non moins infernal Macron
Et venons-en à notre sujet :
La piquouse est-elle un poison ?
Eh bien oui, et tout à fait,
Et il le sait, le vieux Macron,
Car quoique jeune, il est vieux
Et n’est bon qu’à mettre au feu
Où il ira en peu de temps
Faire bouche à bouche avec Satan,
Car voyez-vous, ce Serpent
Ouvre la gueule pour piquouser
De son venin malodorant
Tous les Français, les braves gens,
Qui par lui se laissent tromper.
Et vous voulez bientôt réélire
Cet horrible et triste sire ?
Attali vous le recommande
Puisque cet aspic est de sa bande.
Que ferez-vous ? Vous le ferez
Puisque vous êtes tous moutonnés :
Après cela, vous vous plaindrez
D’avoir été envenimés.
Trop tard, mes amis, trop tard :
Dans ta peau il a mis le dard,
Cette malfaisante seringue
Qui te rend complètement dingue !
« Mais non, dira ton médecin,
Ce n’est nullement du venin,
Mais un baume de qualité
Que tu ne sais pas apprécier. »
Et toi, pendant ce temps-là,
Tu agonises sur ton grabat,
Et ils te disent, dans un sourire :
« Tout va bien, retourne chez toi,
Croque des frites à plaisir
Avec un doliprane en surcroît. »
Et toi, tu les crois, bien sûr,
Ces médecins de pacotille,
Même si tu gémis et grilles :
Ils ont la science, c’est sûr !
Eh bien, je vais te révéler
Un truc que tu ne sais pas :
Ces mecs t’ont empoisonner !
Bien sûr, tu ne me croiras pas.
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