Giuseppe Savà a publié sur
ragusanews.com les résultats du conclave de 2005 qui a
résulté dans l'élection de Benoît XVI. Selon Savà, les candidats
ayant obtenu plus d'une voix (sur 115) au premier tour de scrutin
étaient :
Les 40 votes en faveur de Bergoglio
auraient empêché Ratzinger d'atteindre une majorité nécessaire
des deux tiers et ouvert la voie à un troisième candidat. Mais
avant le quatrième vote Bergoglio aurait demandé en larmes d'être
exonéré de continuer.
Quatrième vote :
Ratzinger
84 (élu) Bergoglio 26
Avant le conclave, les cardinaux
promettent sous serment de ne révéler aucune information sur son
déroulement.
J'étais
au courant de ce truc : l'heure de Bergoglio n'étais pas
venue ! 60 ans ne s'étaient pas écoulés depuis sa fameuse
"révélation" du 21 septembre 1953 !
Les évêques polonais ont rédigé un
document de 19 pages qui dit non à la tentative du pape François de
légitimer la sainte communion pour les adultères, en contradiction
avec l'Évangile. Selon La Fede Quotidiana, le pape a appelé le
nonce polonais Salvatore Pennacchio pour une réunion secrète. Puis
il l'a fait participer à la rencontre des évêques polonais qui a
eu lieu du 13 au 14 octobre. En vain, car les évêques polonais
n'ont montré aucune volonté de se détourner de l'Évangile et de
la foi catholique.
Combien
de temps tiendront-ils le coup ? Affaire à suivre donc, car,
qui peut résister à François ? Plusieurs qui ont essayé sont
partis sans coup férir de l'autre côté !!! Attendons pour
voir la suite. N'oublions pas que l'Argentine était très
traditionnelle avant l'arrivée de Bergoglio ; et maintenant
qu'est-elle ?
Giuseppe Savà a publié sur
ragusanews.com des détails à l'élection du cardinal
Bergoglio. Selon lui Bergoglio a reçu dès le départ une majorité
relative des voix tandis que le deuxième, le cardinal Milan Scola,
n'a jamais dépassé 30 voix. Lors des votes suivants les voix des
cardinaux de la Curie se sont déplacées de Scherer à Bergoglio. Au
quatrième tour les cardinaux d'Amérique du Nord ont voté pour
Bergoglio, qui s'est retrouvé bloqué à 50 voix. Avant le cinquième
tour du scrutin, il y eut une "pause technique". On a
demandé à Bergoglio si, contrairement au conclave de 2005, il
serait prêt à accepter une élection et il a dit oui. Lors du
cinquième vote, il a reçu 90 voix sur 114.
Et
un fait curieux s'est passé : c'est l'intéressé lui-même qui
l'a raconté en 2013. Mahony donc, car il s'agit de lui, n'a pas eu
besoin d'écrire le nom de Bergoglio : son crayon l'a écrit
tout seul. Bien entendu, il a dit que c'était l'Esprit-Saint !!!
Il s'agit effectivement d'un esprit mais qui n'était pas saint !!!
Tout le monde a compris je pense. À préciser que Mahony ne voulait
pas écrire ce nom-là. Bref, on est en plein spiritisme.
Le journal italien Il Giornale a
mentionné le 17 octobre des rumeurs selon lesquelles "une
partie de l'Eglise polonaise" prépare un document en faveur du
Dubia concernant le très controversé Amoris Laetitia. Selon
le journal, le texte n'a pas encore été publié "uniquement en
raison d'une intervention directe du pape Bergoglio", mais le
sera "tôt ou tard". François a peu de partisans au sein
de la hiérarchie et parmi les fidèles polonais.
François
empêche Burke de publier sa Correctio par le biais d'une autre
correctio. Et voilà qu'il empêche maintenant les évêques
polonais ! Vont-ils passer le mur du son ? Une autre
affaire à suivre...
Le 7 octobre, l'archevêque Lauro Tisi
de Trente, en Italie, et Mgr Karl-Hinrich Manzke, évêque luthérien
d'Allemagne, se sont lavés les pieds lors d'une prière œcuménique
au Dôme de Trente. Tisi a dit dans son homélie qu'à l'occasion du
jubilé de Luther cette année, les catholiques et les protestants se
regardent mutuellement de façon bienveillante et positive.
Tout
le monde se lave les pieds là-dedans ! Moi je propose une autre
cérémonie œcuménique : rassemblez tous vos animaux familiers
et lavez-leur les pattes ! Je ne sais pas s'ils apprécieront !
Mais au moins eux ne se poseront pas de questions. Cela me rappelle
des messes blasphématoires en loge où l'on invitait des singes à
communier en leurs donnant des friandises et ils grimaçaient de
contentement ! À chacun d’apprécier...
L'archidiocèse de Dublin a publié un
guide pour la Rencontre mondiale des familles de 2018. À la
page 24, il affirme que, outre le mariage, il existe d'autres unions
"qui fournissent un soutien mutuel au couple". Et "le
pape François nous encourage à ne jamais exclure mais au contraire
à accompagner ces couples avec amour, attention et soutien". Ce
texte est illustré par une photo de deux femmes.
En
voyant tout ça, tout chrétien devrait se poser la question :
mais ces archevêques, le sont-ils vraiment ? Et ce pape,
l'est-il véritablement ? Si tu ne t'es pas posé la question,
je t'invite fortement à te la poser, car après tout, il s'agit de
l’Église hors de laquelle il n'y a point de salut. Il est vrai que
Jean-Paul II lui-même disait : "Hors de l’Église, il
n'y a pas de vide ecclésial." Bref, si tu veux sauver ton âme,
il faudra bien qu'un jour tu te poses la question. Moi, je me la suis
posé le 11 février 2001 où je l'ai résolue, mais je ne te dirai
pas comment parce que je l'ai déjà dit dans un autre commentaire
d'il y a un mois ou plus. Qui cherche, trouve ; mais qui ne
cherche pas ne risque pas de trouver... Mais j'ai pitié de toi et je
te donne un coup de pousse en te mettant le lien de l'article sous
lequel j'ai fait mon commentaire : Cardinal
Sarah : "vous n'êtes pas des "traditionnalistes"
"
Le
pape François dit avoir longtemps eu peur des journalistes : c’est
ce qu’il reconnaît dans un nouveau livre d’entretiens à
paraître prochainement en Italie. Plus précisément, il dit dans un
article publié par le quotidien italien Repubblica, « avoir
toujours eu peur des interprétations malveillantes » que ses propos
pourraient provoquer. C’est pour cela que, peu après son élection,
il avait refusé une proposition d’interview avec Antonio Spadaro,
directeur du bulletin jésuite “Civilta Cattolica”. Ce même
Antonio Spadaro, jésuite comme François, est aujourd’hui
l’éditeur du nouveau livre du Pape.
Pour
le pape, ce qui importe c’est la confiance mutuelle existant entre
les protagonistes. Il veut « pouvoir regarder les gens en face, et
leur apporter des réponses honnêtes. » Il ne se prépare jamais à
ces joutes de questions-réponses car, dit-il, « pour moi, les
interviews sont des dialogues, pas des conférences. » Il avoue
pourtant toujours prier le Saint-Esprit avant un tel exercice. Le
pape se dit conscient qu’avec cette forme de communication, il se
rend vulnérable. Mais, avoue-t-il, « c’est un risque que
j’accepte de courir ». Ce qui lui plaît le plus, ce sont les
interviews dans de petits journaux, plutôt populaires ; car là, les
choses tournent davantage autour des « questions et des soucis des
gens “normaux” » ; et il veut y répondre de façon spontanée,
compréhensible, simple. Pour François, les interviews sont une
des formes de communication dans l’exercice de son ministère et
participent de la relation de l’Église avec les hommes de ce
temps. François désire une « Église qui sache intervenir dans les
discussions des hommes, et mener un dialogue ». Son nouveau
livre, qui s’intitule « Adesso, fate le vostre domande »
(Allez-y, posez vos questions), est édité aux éditions Rizzoli de
Milan, et sera présenté ce samedi.
On ne
peut qu’être surpris d’entendre le pape François avouer qu’il
a peur des journalistes, lui qui ne cesse de se mettre en scène
devant les caméras ; de même, quelle surprise que le titre de
l’ouvrage à paraître par lequel François invite à lui poser nos
questions alors que nous savons par expérience qu’il ne répond
que rarement à ceux qui l’interrogent...
1512- « Heureux celui pour qui prie Marie !
RépondreSupprimerPrions donc toujours cette divine Mère
si nous voulons assurer notre salut éternel. »
(Saint Alphonse de Liguori)