Ma
chère fille, dors bien, Et surtout, fais de beaux rêves ! Si
mes poèmes tu aimes bien, Relis-les donc sans trêve, Car ils
t'apprendront des choses, Bien plus d'épines que de roses.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4482
Ma
chère fille, réveille-toi !
As-tu
fais de beaux rêves ?
Si
ce n’est pas le cas,
Dis
Trois Ave Maria,
Et
de suite, tu te lèves,
Et
tout ira bien pour toi.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4483
Des
évêques francs-maçons, hélas, cela existe !
Mais
après la chute de l’Antéchrist, cela n’existera plus.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4484
157-
Il n’y a pas pour lors
De
faux miracles actuellement :
Ils
viendront incessamment
Après
une certaine fausse mort.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4485
158-
Après le miracle technologique
Se
concluant par le numérique
Viendront
les vrais faux-miracles
Dans
ce temps de faux-oracles.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4486
L’Église
est dirigée par le Pape, successeur légitime de saint Pierre. Mais
actuellement, par le fait de l'hérésie moderniste, le Siège est
provisoirement vacant jusqu'à temps qu'un nouveau Pontife légitime
soit remis sur la Chaire de Saint Pierre. De ce fait, il n'y a plus
de messes licites aujourd'hui selon ce qui a été dit à propos du
temps de l'Antéchrist, à savoir que le Saint-Sacrifice serait
aboli.
l'Aveugle-Vendéen
(12/05/2016)
POÈME
4487
Un
prêtre reste un prêtre, et cela, pour l'éternité à cause du
caractère.
Pour
ce qui est de l'exercice, si le prêtre est illicite, il doit cesser
d'exercer. Ce sont les règles de l’Église, et elles sont très
sages.
l'Aveugle-Vendéen
(13/05/2016)
POÈME
4488
Puisque
les oreilles vous démangent pour croire toute espèce de fables,
comme nous avertit saint Paul à propos du temps de l’Antéchrist,
je vais vous en sortir une de mon cru, et je vous demande de la
respecter, selon votre propre théorie, carc’est
"ma vérité", quoique ce soit une sottise. Voici donc :
« Du Tout-Puissant j’ai revêtu les armes, Sa main divine a daigné me parer. Rien désormais ne me cause d’alarmes : De son amour qui peut me séparer ? À ses côtés, m’élançant dans l’arène, Je ne craindrai ni le fer ni le feu : Mes ennemis sauront que je suis reine Que je suis l’Épouse d’un Dieu ! Ô mon Jésus ! je garderai l’armure Que je revêts sous tes yeux adorés ; Jusqu’au soir de la vie, ma plus belle parure Seront mes Vœux sacrés ! »
* * *
L'ENFER SELON FRANÇOIS
Le Pape François et l'Archevêque Paglia... croient-ils que l'enfer n'existe pas ?
Dans
notre rapport du 9 octobre sur les récents commentaires du Père Antonio
Spadaro en ce qui concerne la loi morale, nous avons ajouté une mise à
jour post-publication sur une nouvelle conversation entre le Pape
François et Eugenio Scalfari. Scalfari, qui est devenu un intervieweur
préféré du Pape François, est le fondateur athée du journal Italien La
Repubblica ; il est connu pour sa méthode non conventionnelle de
reconstruire des entrevues à partir de sa mémoire plutôt que d'utiliser
des citations directes. ( Bien que le récit de Scalfari des paroles les
plus controversées du Pape ait souvent été rejeté par les membres de la
presse Catholique comme peu fiable, l'insistance du Pape à rechercher
Scalfari pour des interviews franches et des discussions formelles
devrait mettre fin à toute affirmation que Scalfari les ait déformées )
Dans
le plus récent cas, en examinant le nouveau livre de l'Archevêque
Vincenzo Paglia, Scalfari cite le Pape comme disant que parmi les
Évêques de l'Église Catholique il y a beaucoup de relativisme. Scalfari
cite ensuite François en disant :
«
Nous, croyants et bien sûr surtout nous prêtres, et nous, Évêques,
croyons en l'Absolu, mais chacun à sa manière parce que chacun a sa
propre idée et sa propre pensée. Donc, notre vérité absolue, partagée
par nous tous, est différente d'une personne à l'autre. Nous n'évitons
pas les discussions dans le cas où nos différentes pensées se
confrontent. Il y a donc aussi une sorte de relativisme chez nous. »
Scalfari
ajoute ensuite ses propres pensées à propos de l'idée distincte du Pape
et de l'Archevêque Paglia que l'enfer est vide :
Le
Pape François, précédé dans ce point de vue par Jean XXIII et Paul VI,
mais avec une force plus révolutionnaire par rapport à la théologie
ecclésiale, a aboli les lieux où, après la mort, les âmes doivent
aller : l'enfer, le purgatoire, le paradis. Deux mille ans de théologie
ont été basés sur ce type de vie après la mort, que même les Évangiles
confirment. Cependant, c'est avec une certaine attention au thème de la
Grâce — qui est en partie due aux lettres de Saint Paul ( aux
Corinthiens et aux Romains ) et en partie encore plus à Augustin
d'Hippone. Toutes les âmes sont dotées de la grâce, et ainsi elles
naissent parfaitement innocentes et elles le restent tant qu'elles ne
prennent pas le chemin du mal. Si elles en ont conscience et ne se
repentent pas au moment de la mort, elles sont condamnées. Le Pape
François, je le répète, a aboli les lieux de la demeure éternelle dans
l'au-delà des âmes. La thèse soutenue par lui est que les âmes dominées
par le mal et non repentantes cessent d'exister tandis que celles qui
sont rachetées du mal seront supposées être dans la béatitude à
contempler Dieu. C'est la thèse de François et aussi de Paglia.
Comme l'a dit Sandro Magister, expert du Vatican, Scalfari a déjà cité le Pape François : « Dans un millénaire, notre espèce humaine s'éteindra et les âmes fusionneront avec Dieu ».
«
Qu'arrive-t-il à cette âme perdue ? Sera-t-elle punie ? Et comment ? La
réponse de François est distincte et claire : il n'y a pas de punition,
mais c’est l'anéantissement de cette âme ».
Ces
déclarations tout à fait hérétiques qui sont attribuées au Pape François
lui-même — et qu'il n'a toujours pas niées publiquement — elles sont
maintenant aussi attribuées au nouveau chef de l'Académie Pontificale
pour la Vie et Grand Chancelier de l'Institut Jean Paul II sur le
Mariage et Sciences de la Famille. Son nouveau livre devrait donc être
soigneusement étudié et analysé.
Dans le contexte — sous prémisse
qu'il n'y a plus de punition éternelle pour le péché — cette nouvelle
ère Bergoglienne prend maintenant beaucoup plus de sens. Si l'enfer
n'est pas à craindre, quel obstacle y a-t-il à nous empêcher de nous
diriger dans le sens du relativisme moral et de la laxité doctrinale ?
Il
devient donc plus urgent pour les Catholiques fidèles qui sont
déterminés à rester fidèles à l'enseignement traditionnel de l'Église
Catholique de continuer dans leurs propres organisations et publications
à résister à de telles violations de la vérité de Dieu qui produisent
déjà des effets graves sur le comportement moral de Catholiques en
matière de contraception, d'avortement et d'adultère. Le professeur
Josef Seifert a mis le doigt dans la plaie de l'enseignement du Pape
François, à savoir qu'il ne semble plus y avoir d'acte intrinsèquement
mauvais.
1513- « J’oublierai tes iniquités si tu oublies tes intérêts,
RépondreSupprimerles remettant entre mes mains, aussi bien que ton temps et ton éternité. »
(Jésus à la Sœur Françoise-Angélique, "Année Sainte de la Visitation")