* * *
1751-
On peut l’entendre tous les jours,
Car
il n’arrête pas son cours :
Ses
bavardages sont incessants
Et
tout aussi extravagants.
1752-
On se dirait dans un bistrot
Lorsque
l’on entend ses propos
Qui
ne sont que de bas-étage
Et
dont il fait l’étalage.
1753-
Tous les anticléricaux
Prisent
cet Anticlérical
Qui
partout cause du scandale,
Affligeant
l’Église de maux.
1754-
Pour elle, rien que du persifflage,
Des
médisances et calomnies,
Des
injures et ironies,
Car
il la tient comme en otage.
1755-
Il ne lui épargne rien :
Il
la plonge dans le purin
Puisqu’il
veut qu’elle soit sale,
Elle
qui est virginale !
1756-
Toutes les religions, il caresse,
Mais
la véritable il délaisse :
Il
lui inflige des maladies,
Des
virus et des inepties.
1757-
Quand il la voit, il enrage
Et
ne se sent plus de fureur :
Il
tourne en rond dans sa cage,
Comme
Hitler dans son bunker.
1758-
Il démolit, il démolit :
Cela
va trop lentement
À
son goût et selon lui,
Et
il explose comme un volcan.
1759-
Il aurait voulu qu’en quatre ans
Tout
cela fût bien terminé :
Il
voit qu’il lui faut du temps
Et
bien plus qu’il n’aurait pensé.
1760-
Il accélère, il accélère :
Il
met en route ses processus,
Inoculant
tous ses virus
Pour
que l’Église dégénère.
1761-
Car il croit bien la vaincre
Et
il veut s’en convaincre
Quoiqu’il
sache très bien
Que
sur elle il ne peut rien.
1762-
C’est pourquoi il la massacre,
La
déshonore et défigure :
Il
en fait un simulacre
Et
une horrible figure.
1763-
Il la salit tant qu’il peut
En
la traînant dans la boue :
S’il
pouvait la mettre au feu,
Il
le ferait tout d’un coup.
1764-
Mais voilà, elle lui résiste !
Alors
il la fracasse
Tel
un bol, une tasse
Sur
une noire liste.
1765-
Car il a une liste noire
Gravée
sur son grimoire
Où
il marque tous les noms
De
ceux avenus-non.
1766-
Il ne veut pas de ces gens
Qui
ralentissent son mouvement :
Il
les pousse par derrière
Avec
violence, avec colère !
1767-
Alors ils se sentent forcés
De
le suivre malgré eux
Tout
en traînant les pieds
Et
en clignant des yeux.
1768-
Tant qu’ils le reconnaîtront
Pour ce qu’en fait il n’est pas,
Ils seront dans son giron
Et marcheront sur ses pas.
Pour ce qu’en fait il n’est pas,
Ils seront dans son giron
Et marcheront sur ses pas.
1769-
Tous ceux de chez Caffarra
Suivront
Antéchrist pape-François
Puisqu’ils
le reconnaissent pour Pape
Alors
qu’il n’est qu’une soupape.
1770-
Il est même moins que cela,
Moins
qu’un chien et moins qu’un chat
Puisque
les animaux, eux,
Font
la volonté de Dieu.
1771-
Lui, fait la volonté de Lucifer
Qui
est une volonté de fer
Puisqu’il
fait sa propre volonté
En
se prétendant la déité.
1772-
Ce blasphémateur fait des trouvailles
Comme
par exemple celle-ci :
« Dans
la Trinité, ils se chamaillent :
Portes
fermées, ils s’injurient ! »
1773-
Ce n’est pas tout-à-fait textuel :
C’en
est le sens, c’est l’essentiel,
Car
le textuel, chez ce personnage,
Est
impossible, presque un mirage.
1774-
Il parle à bâtons rompus,
Coupant
ses phrases en plein milieu,
Sautant
des mots, et même mieux,
Disant
des choses saugrenues.
1775-
Son langage est incohérent,
Toujours
sans cesse virevoltant
Et
mélangeant tous les sujets
Qui
restent de ce fait incomplets.
1776-
Il va jusqu’à la grossièreté,
Allégations
les plus éhontées,
N’ayant
pas peur du ridicule
En
jouant son jeu de bascule.
1777-
Il dit le contraire du tout
Et
invente des historiettes
Qu’on
dirait venir d’un fou
Qui
n’a plus toute sa tête.
1778-
Il dit le tout et son contraire,
Mélangeant
l’ombre et la lumière
Dans
une parfaite confusion
Qui
ne peut venir que du démon.
1779-
Il est sans cesse à pérorer
Et
sans cesse à discutailler
Pour
expliquer l’inexplicable
À
la manière de son diable.
1780-
Bref, c’est un fou furieux
Qu’il
serait urgent d’enfermer :
Plus
on voudra le révérer
Et
plus il deviendra odieux.
1781-
Plus on le laisse faire,
Plus
il devient audacieux,
Plus
il est téméraire,
Plus
aussi aventureux.
1782-
Il s’attaque à toute chose,
Ne
laissant rien en place,
Car
il veut que tout explose
En
des débris de glace.
1783-
Il appelle cela réforme
Ou
réforme de la réforme :
Si
Luther était en vie,
Il
serait de son avis.
1784-
Il va donc tout réformer,
Ou
bien plutôt déformer !
Vatican
II a tout commencé :
Lui
va tout achever.
1785-
Rien n’échappe à ses griffes,
À
ses coups de canif,
Pas
même la liturgie
Pourtant
déformée avant lui.
1786-
Paul VI l’a bien matraquée,
Mais
lui va la liquider
En
mettant autour de l’autel
Les
religions arc-en-ciel.
1787-
Après ses mariages pour tous,
Voici
sa liturgie pour tous,
Schismatiques
et hérétiques :
Fuyez-le,
bons catholiques !
1788-
Après la messe de Jean XXIII,
Après
la chanson de Paul VI,
Voici
celle des trois six,
D’Antéchrist
pape-François !
1789-
Elle est à l’étude en secret,
Mais
le secret a percé :
À
quoi bon tenir secret
Ce
qui doit être divulgué ?
1790-
Les cornes de la Bête ont percé
Et
on les voit apparaître :
Bientôt
vous serez obligés,
Sur
votre front de les mettre.
1791-
Ou bien sur votre main
Car
ce sera au choix,
Mais
si tu ne fais rien,
Attention,
gare à toi !
1792-
Tu ne pourras acheter
Ni
vendre pareillement :
Tu
seras affamé
Et
deviendras mourant.
1793-
Oui, tu mourras de faim
Si
tu n’as dans ta main
Son
caractère, ou sur ton front
Son
nombre ou bien son nom.
1794-
Ni eau ni électricité
Ni
gaz ni rien du tout
Car
tout te sera coupé
Et
tu mourras dans ton trou.
1795-
Car tu ne pourras aller
Ni
à droite ni à gauche
Sans
que les armes te fauchent
Et
tu ne pourras bouger.
1796-
Des yeux et des oreilles
Sont
partout installés
Et
nulle chose pareille
N’est
jamais arrivée.
1797-
Même les creux des montagnes
Et
les plus sombres forêts
Seront
tous dans ses rets
Jusqu’aux
lointaines campagnes.
1798-
Sans argent, sans vêtements,
Vous
mourrez tous comme des chiens
Si
vous ne mettez en vos mains
Son
signe de ralliement.
1799-
Ignores-tu quel il est
Ce
signe à jamais funeste ?
Six-six-six,
voilà c’est
Le
nombre d’homme de la Peste !
1800-
Antéchrist pape-François,
Est-ce
cet Homme damné ?
Dans
bien peu on le saura !
Pour
lors il nous faut prier.
À télécharger ici :
1890- « Au Ciel, nous serons perdus en Dieu
RépondreSupprimercomme une étincelle dans un vaste incendie. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)