mardi 13 novembre 2018

POÈME-DES-POÈMES 17


(à retrouver
ICI dans la Playlist "Florilèges")


(à retrouver
ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
 
* * *

801- Mais qui le découvrira ?
Mais qui donc en parlera ?
Oh ! personne assurément,
Car on croit qu’il est absent.

802- Il se sert de cette ignorance
Pour mal agir impunément
Et toutes ses extravagances
Ne recueillent qu’applaudissements.

803- Il envoie tous ses émissaires
Pour séduire la populace,
Et ils ne laissent aucune trace
Chez les tradis et les conciliaires.

804- Car leurs visages sont voilés
Et leurs pseudos bien agencés :
Ils inventent mille historiettes
Pour bien parfaire leurs conquêtes.

805- Leurs tirs sont bien ajustés
Et ils ne ratent pas leur cible
Car ils se sentent comme invincibles
Derrière le Monstre d’iniquité.

806- Impossible de les éviter
Car ils sont partout à traîner,
Et un tel qui se dit votre ami
Est par-dessous votre ennemi.

807- Alors pour les contrer, que faire ?
Récitez donc votre Rosaire
Et Dieu vous donnera la grâce
De passer outre à leurs grimaces.

808- Et vous les débusquerez :
Mais alors, vite fuyez
De peur qu’ils ne vous accablent
Et vous enfouissent dans le sable.

809- Qui fait donc marcher ces gens-là ?
La maçonnerie aux mille bras :
Leur univers privilégié
Est la toile d’araignée.

810- Je vous ai décrit en peu de mots
Les émissaires de Satan,
Les adversaires du Très-Haut
Et les amis du Grand-Chaman !

811- Voilà bien les troupes de Gog
Et toute l’armée de Magog :
Elles sont bien aguerries
Pour le combat de la nuit.

812- Crois-tu bien résister
Aux soldats d’Anticlé ?
Ne te vante pas si fort
De peur d’être un homme mort.

813- Ses maçons sont bien aguerris
Et ne s’en laissent point conter :
Ils ont mille et mille replis,
Reculant pour mieux avancer.

814- Ses ruses extraordinaires
Font s’ébranler l’univers :
Il prend pour bois vermoulu
Les aciers les plus cossus.

815- Il joue avec les planètes
Et s’assied sur les comètes :
Tu verras toutes ces choses-là
Si alors tu es encore là.

816- Ne sera-t-il pas Maître du monde
Comme annoncé dans Vatican II ?
Fais attention, l’orage gronde,
Et toi tu joues avec le feu ?

817- Lis les seize documents
Et leurs commentaires si variés :
Alors tu comprendras comment
Je ne me suis pas trompé.

818- Mais tu préfères vagabonder
Sur la toile pour t’amuser,
Et quand le voleur te pillera,
Je te l’assure, tu pleureras.

819- Alors ton œil ne verra plus
Ce qu’il aurait pu voir
Puisque tu t’es dissolue
En t’admirant dans le miroir.

820- Pour toi, il sera trop tard :
Tu n’auras pas su discerner
Où se situait la Vérité
Puisque tu marches dans le brouillard.

821- Tu trouves mes paroles graves ?
Elles sont à la mesure du temps
Qui de jour en jour s’aggrave !
Et toi tu prends cela en riant ?

822- Ils riaient bien, ceux du Bataclan !
Mais où sont-ils en ce moment ?
Voilà bien un exemple frappant
Qui surviendra, mais mondialement.

823- Car l’Antéchrist est bien pire
Que tous ces petits terroristes
Et que tous les plus grands communistes
Dans leurs plus excessifs délires.

824- Quand il sera à son apogée
Avec ses faux miracles à la clé,
Ne seras-tu pas la première
À te souiller de sa lumière ?

825- Et tu diras : « C’est bien lui
Le rédempteur de ma vie ! »
Et tu prendras pour ton sauveur
Le Grand-Exterminateur !

826- Les deux Témoins auront beau parler,
Tu ne les écouteras pas,
Préférant la nuit à la clarté :
Là s’arrêteront tes pas.

827- Car en suivant le fauteur
De tant de troubles et d’horreurs,
Tu finiras ta vie avec lui,
Dans l’abîme au fond du puits.

828- C’est dans d’éternels tourments
Que finira ce scélérat
Quand Dieu le précipitera
Sans plus attendre plus longtemps.

829- Et toute son armée le suivra
En un clin d’œil, en un moment :
Sa place, plus on ne trouvera
Car aura passé son temps.

830- Seule l’Église survivra
À ce terrible carnage :
Ce sera là le dernier âge !
Penses-y bien, prépare-toi.

831- Terrible temps d’aujourd’hui
Pour des hommes avachis
Qui ne pensent qu’à la terre,
Ne méritant plus que l’enfer !

832- Certes, tu ne comprends pas
Tout ce que j’écris là !
Mais rien de plus normal
Dans notre temps anormal !

833- Si je te disais : Viens !
Tu arriverais demain !
Mais je te dis : Si tu savais !
Et alors là, tu te tais !

834- Je sais bien ce que vous voulez :
C’est de tous vous rencontrer !
Et certes, vous vous rencontrez
Avant que de vous dérencontrer.

835- Si tu veux me rencontrer,
Récite ton Chapelet,
Et un jour, tu verras,
Tu me rencontreras.

836- Pourquoi ne m’écoutes-tu pas ?
C’est que l’Apostasie est là !
Garde donc bien ce que tu as :
La charité, l’espérance et la foi !

837- La culture de la rencontre
Va de Dieu à l’encontre.
Or, les hommes de ce temps
Cultivent ce boniment.

838- Cette culture est prônée
Par l’Homme de péché
Afin de tout mélanger
Et que tous soient damnés.

839- Vous vous rencontrez par internet !
Vous vous accouplez comme des bêtes !
Voilà ce qu’Antéchrist désire !
Et vous le suivez à plaisir !

840- Moi qui l’ai vécu, je vous dis :
Vous vous damnez, les amis !
Mais surtout, ne me croyez pas
Disant : Le fou que voilà !

841- Mais il y a beaucoup de gloire
À être pris pour un fou
Par des véritables fous
Qui croient déjà chanter victoire !

842- Quelle est donc votre victoire ?
Oh ! elle est bien dérisoire !
Vous pensez régner mille ans
Comme l’Adolphe en son temps !

843- Vous avez révolutionné
Toute la sainte Chrétienté
Afin de la déraciner
Pour par vous-mêmes la remplacer.

844- Un chef cependant vous manquait :
Ce Chef, maintenant vous l’avez !
Et vous croyez que c’en est fait !
C’est là que vous vous trompez.

845- Votre défaite est assurée :
Sûr que vous serez damnés
Pour toute l’éternité
Avec votre chef Anticlé !

846- Franc-maçonnerie détestable,
Toi qui adores le diable,
Il est là, en chair et en os :
Avec lui tu iras dans la fosse !

847- Tes loges seront carbonisées !
Ta conciliaire sera broyée !
De vous deux, aucune mémoire,
Si ce n’est une exécratoire !

848- Vatican II, tu périras :
Pour jamais tu seras maudit !
D’ailleurs, les tiens, où sont-ils ?
Dans l’Empyrée reposent-ils ?

849- Non non, ils sont en enfer,
Le prix de leur apostasie :
Qu’ils soient tradis ou concilaires,
Ils seront tous dans le mépris !

850- Ils ont tous méprisé leur Mère,
La Sainte Église Catholique,
Pour suivre le diable leur père
Caché sous les traits antéchristiques.


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1 commentaire:

  1. 1868- « Au Ciel, nous verrons cet Être
    qui est en-dehors de toutes choses sans en être exclu. »

    (Saint Léonard de Port-Maurice)

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