(à retrouver
ICI dans la Playlist "Florilèges")
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* * *
901-
Il y a cinquante et neuf ans
Que
parut l’usurpateur Jean
Qui
tous les Nestorius rappela
Comme
saint Hypace prophétisa.
902-
La première Abomination
Suscita
la Désolation
En
convoquant l’Armageddon
Qui
mit comble à la confusion.
903-
Ce fut Égypte et Sodome
Sur
le Mont des Voleurs
Où
fut exalté l’Homme
De
péché, l’Exterminateur !
904-
Ténèbres et Aveuglement,
Telle
fut la grande Muette
Qui
débita ses boniments
Avec
ses deux fausses têtes.
905-
Si tu ne comprends pas
Tout
ce que je veux dire,
Comment
est-ce que tu comprendras
L’Antéchrist,
l’Homme de délire ?
906-
Si tu ne sais le commencement,
Comment
donc comprendras-tu la fin ?
Tu
iras toujours en titubant
Et
tu périras, c’est certain.
907-
Si tu ne comprends pas Jean,
Comment
feras-tu pour François
Puisqu’il
est l’accomplissement
De
ce qu’on vit en ce temps-là.
908-
Si ton œil n’a rien vu,
Il
ne verra point aujourd’hui :
Tu
as perdu la vue
Et
tes yeux sont éblouis.
909-
L’excès des faux miracles
Que
fera l’Antéchrist
Te
fera prendre ces miracles
Pour
les véritables du Christ.
910-
Parce que tu n’as pas su
Évaluer
le commencement,
Tu
es tombé dans l’aveuglement
Et
dans l’Antéchrist, foi tu as eue.
911-
Car les temps sont arrivés
Où
tu vas bien évaluer
Dans
quel profond abîme
Sont
tombées toutes les cimes.
912-
Il a coupé tous les cèdres
Pour
en faire un polyèdre,
Et
la terre est désertique
De
toute âme catholique.
913-
Nouvelle église il a fondée
Il
y a cinquante et plus d’années :
« De
la Vieille elle est sortie ! »
A-t-il
dit avec mépris !
914-
Et qui a dit cette énormité ?
Un
soi-disant canonisé,
Le
quatrième des six,
L’ensemble
étant six-six-six !
915-
Comment l’ont-ils dénommée ?
L’église
conciliaire
Qui
bientôt a accouché
De
la tradition délétère.
916-
Car la tradition est la fille
De
la grande Babylone :
C’est
un roulement à billes
Qui
dans le schisme emprisonne.
917-
Mais schisme par rapport à qui ?
À
l’église d’aujourd’hui ?
Non
pas ! Mais Celle véritable,
Mais
non point celle du diable.
918-
Le lefebvrisme est une erreur
Digne
de l’Exterminateur,
Et
lui aussi accoucha
De
la dernière secte celle-là !
919-
Ce fut le sédévacantisme,
Non
meilleur que le lefebvrisme,
Tous
deux nés du conciliarisme
Mais
non point du christianisme.
920-
Voilà bien les trois grenouilles
Sorties
de la gueule du Dragon !
Voilà
les trois fers pleins de rouille
Dont
j’ai dévoilé les noms.
921-
Voici que le dernier travaille,
Agitant
son épouvantail,
Mettant
partout la confusion
Et
toute dissolution.
922-
Et pour accréditer
Son
saut de qualité,
Il
met partout la pagaille,
N’y
allant pas dans le détail.
923-
Lui-même il a avoué
Vouloir
être assassiné,
Un
assassinat programmé,
Comme
lui-même l’a déclaré.
924-
Il n’a qu’un doute à ce sujet :
L’Antéchrist,
est-ce bien lui ?
Si
non, de lui c’en est fait,
Mais
il gagne si c’est un oui !
925-
C’est bien l’épreuve d’Hiram
Et
non d’un fils d’Abraham,
Encore
moins de Jésus-Christ
Mais
bien de la franc-maçonnerie.
926-
Pour ce faire, il a inventé
La
théorie du complot
En
désignant ses bourreaux :
Les
fils de la chrétienté.
927-
Que va-t-il donc se passer ?
Nous
le saurons rapidement
Car
cet Homme de péché
S’en
va toujours de l’avant.
928-
Nous sommes au moment crucial
Où
se révèle l’Homme infernal,
Celui-là-même
qu’a décrit
Son
prédécesseur Paul VI.
929-
Aucun doute n’est plus permis :
Il
sera bien assassiné
Puisque
lui-même l’a annoncé,
À
moins qu’il ne nous ait menti.
930-
N’oublions pas que le mensonge
Est
son élément naturel :
Tout
ceci peut n’être qu’un songe
S’il
joue au prophète virtuel.
931-
Nous saurons bientôt la vérité,
Mais
nous la savons déjà !
Notre
esprit est si aveuglé
Qu’il
n’a rien vu et ne voit pas.
932-
Les signes sont pourtant bien parlants,
Mais
nous sommes si négligents
Que
nous passons tous à côté d’eux
Sans
vouloir même ouvrir les yeux.
933-
Il est si commode de ne rien voir
Pour
ne point vouloir savoir
Afin
de n’être pas dérangés
Dans
toutes nos commodités.
934-
Et nous ne voyons même pas
Que
l’Homme de péché est là
Et
que la Grande Apostasie
Règne
en maîtresse aujourd’hui.
935-
Si je dis qu’il détruit l’Église,
On
me dit que c’est une bêtise,
Que
l’Antéchrist est invincible
Et
son église indestructible.
936-
Je réponds que son église
N’est
pas la véritable Église
Mais
qu’il s’est infiltré dans l’Église
Pour
fabriquer sa nouvelle église.
937-
C’est de l’intérieur de la Véritable
Qu’il
a fait son église du diable
En
prenant les structures de la Première
Afin
d’en construire la dernière.
938-
Et il a fait du Vatican
Le
trône-même de Satan
Qui
sous les faux traits de saint Pierre
Prétend
diffuser la lumière.
939-
Cette lumière est fallacieuse,
Venant
des loges ténébreuses
Où
le diable apparaît en personne
Sous
les traits d’une fausse madone.
940-
Qui comprendra ce que je dis là ?
« Enfermez-le
donc celui-là ! »
Diront
tous les nouveaux apôtres,
Ceux
qu’on nomme les internautres !
941-
Mais voilà, je continue
Puisque
Dieu me prête vie,
Et
lorsque j’aurai fini,
C’est
que le temps est venu.
942-
« Il n’y a plus le temps ! »
A
dit cet insolent
À
ses mouvements populaires,
Organes
de Lucifer.
943-
Pourquoi a-t-il dit cela ?
Ne
le savez-vous donc pas ?
C’est
que son temps est arrivé
Pour
son saut de qualité.
944-
C’est par ce saut prodigieux
Qu’il
se révèlera
Comme
le plus scélérat !
Mais
t’ouvrira-t-il les yeux ?
945-
Si l’Antéchrist il n’est pas,
Ce
saut, point ne fera,
Mais
ce sera son successeur
Qui
sera l’Exterminateur.
946-
Quoiqu’il en soit des conjectures,
Le
moment est arrivé
Où
le temps quoiqu’abrégé,
Comme
l’acier sera dur.
947-
Préparons-nous et bien vite
Et
sans attendre davantage,
Car
c’est le temps où Lilith
Va
sonner le Nouvel-âge.
948-
Cette déesse des bas-fonds
Est
remontée à la surface
Sur
les ailes du démon :
Medjugorje
est sa face.
949-
Il a envoyé là-bas
L’un
de ses yeux, de ses bras,
Comme
il envoie partout
Ses
innombrables loups.
950-
Plaçant partout ses affidés,
Il
enserre toute la terre
Comme
une toile d’araignée
Toute
tissée de fils de fer.
À télécharger ici :
1870- « Au Ciel, nous verrons cet Être
RépondreSupprimerqui est uni à toutes choses sans se confondre avec elles. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)