(à retrouver
ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
* * *
1451-
En ces trois jours ténébreux
L’univers
sera en feu,
Et
qui pourra échapper ?
Ceux
que Dieu voudra protéger !
1452-
Car plusieurs échapperont
À
cette terreur sans nom
Puisque
l’Église reparaîtra :
Elle
ressuscitera !
1453-
La convulsion sera terrible
Car
notre Dieu est invincible :
La
mesure sera mesurée
Sur
notre temps d’iniquité.
1454-
Plus nous nous serons assoupis
Dans
ce temps d’Apostasie,
Plus
nous serons alors surpris,
Et
plus seront grands les cris.
1455-
Cris de désespoir incommensurable,
Cris
d’une horreur inénarrable
En
voyant s’écrouler d’un coup
Le
royaume forgé par les loups !
1456-
On les verra courir de-ci de-là
Comme
des flammes inextinguibles
Que
le soufre embrasera
Au
milieu des démons visibles !
1457-
Ce ne seront plus anges de lumière
Comme
ils se seront plus à le faire
Lors
des trois ans et demi
De
la fin de l’Apostasie.
1458-
Mais ils prendront leur forme hirsute
Qui
est la leur dans les enfers
Lorsqu’adviendra
la culbute
Du
Fils aîné de Lucifer.
1459-
Et nous verrons tout l’enfer
Déchaîné
sur toute la terre :
Le
hellfest de Clisson est l’image
De
ce que sera ce grand naufrage.
1460-
Mais c’est une image bien pâle
Qui
ne représente qu’imparfaitement
Ce
qui arrivera à ce moment :
Ce
n’est qu’un misérable carnaval.
1461-
Notre-Dame nous a avertis,
Il
y a cent ans à Fatima
De
ce que serait ce moment-là :
« Des
nations seront anéanties. »
1462-
Anéanties ! autrement dit
Que
plusieurs d’entre les nations
Totalement
disparaîtront !
Maintenant,
avez-vous compris ?
1463-
Dites-moi, qu’est-il resté
Et
de Sodome et de Gomorrhe ?
Une
mer plus que salée
Portant
le nom-même de la mort !
1464-
Notre monde n’est-il pas Sodome
Avec
ses mariages entre hommes ?
Si
Gomorrhe fut punie par le feu,
Notre
monde échapperait à ce feu ?
1465-
Non point ! Ce sera un déluge
De
soufre tout embrasé
Pour
punir l’Homme de péché !
Mais
où trouverons-nous refuge ?
1466-
C’est dans le doux Cœur-Immaculé
Qu’il
faudra tous nous réfugier,
Car
elle trouvera bien le moyen
De
nous faire échapper du malin.
1467-
Ces trois jours de flammes écoulés,
La
terre semblera désolée,
Et
l’homme paraîtra solitaire
Au
milieu de ce grand désert.
1468-
Cette grande purification,
Lorsqu’elle
sera accomplie,
La
terre sera comme un paradis,
Paradis
par anticipation.
1469-
Comme jamais il n’y a eu
Une
si grande tribulation,
Jamais
de même il n’y aura plus
Une
si grande purification.
1470-
L’Église du tombeau sortira
Car
elle seule ressuscitera :
Toutes
les sectes auront disparu
Et
pour toujours elles seront vaincues.
1471-
Que nous faut-il faire maintenant,
Dans
ce temps de déliquescence ?
C’est
simple : il faut promptement
Se
livrer sans réserve à l’espérance.
1472-
Non l’espérance de Jean-Paul II,
Non
plus que celle de Vatican II,
Pas
davantage celle de François,
Non
plus que celle de Benoît !
1473-
L’espérance de la conciliaire
N’est
qu’une désespérance
Puisqu’elle
n’espère que dans la terre
Et
que d’être à son aisance.
1474-
Quant à l’espérance des tradis,
Elle
n’est pas mieux fournie :
Elle
espère dans les sacrements
Qu’ils
reçoivent illicitement.
1475-
Ces espérances ne valent rien :
Elles
sont espérances du grappin
Qui
se joue de tous ces misérables
Qui
ne sont qu’esclaves du diable.
1476-
Nulle espérance chez les hérétiques,
Non
plus que chez les schismatiques,
Les
excommuniés, les apostats :
Aucune
espérance chez ces gens-là !
1477-
Ils se récriront évidemment
Et
me traiteront d’imbécile
Ou
d’une créature vile
Qu’on
doit mettre sous médicaments !
1478-
D’ailleurs François ne se gêne pas
Pour
le dire tout haut et non tout bas,
Puisqu’il
traite de tous les noms
Ceux
qui ne sont pas de son démon.
1479-
Il aime par contre les tradis
Qui
sont de la Société-Saint-Pie
Car
ceux-là font bien ses affaires,
Étant
de la secte de Lucifer.
1480-
Je vous écorche les oreilles ?
À
la bonne heure, j’en suis ravi,
Car
les conciliaires et tradis
Sont
tous de la même corbeille.
1481-
Ils ont déformé le Rosaire
Par
des intentions délétères,
Si
bien qu’il est peccamineux
Pour
qui le dit avec eux.
1482-
Mais pourquoi ont-ils attaqué
Ce
dernier moyen de salut ?
Je
vais vous le dire, écoutez !
Mais
pourquoi parler tant et plus ?
1483-
Personne ne m’écoutera,
Et
j’en suis bien conscient,
Car
dans ce misérable temps
On
n’écoute que François !
1484-
Eh bien, je vous le dirai,
Et
vous n’aurez aucune excuse
Puisqu’alors
vous le saurez :
Donc,
arrière toute ruse !
1485-
Au temps de la Grande Apostasie
Où
nous sommes aujourd’hui,
Seul
le recours à Marie
Nous
y mettra à l’abri.
1486-
Ce recours est le Rosaire,
Comme
Notre-Dame du Rosaire
De
Fatima nous l’a bien dit :
Ne
l’avez-vous donc pas compris ?
1487-
Conciliaires et tradis
Ont
tout cela compris !
C’est
pourquoi ils ont déformé
Ce
qui était commandé.
1488-
Les premiers ont ajouté
Un
nouveau chapelet !
Par
des mauvaises intentions
L’ont
déformé les seconds !
1489-
Conciliaires et tradis,
Vous
vous moquez de Marie :
Attendez-vous
maintenant
À
votre châtiment !
1490-
Au Père Fuentes, Lucie
A
dit et très clairement
Ce
que demandait Marie
Pour
aujourd’hui, notre temps.
1491-
Personne n’a écouté,
Et
d’elle l’on s’est moqué,
Aussi
bien tradis et conciliaires !
Et
maintenant, puis-je me taire ?
1492-
Non, je ne me tairai pas :
Je
dirai ce que j’ai à dire !
Tant
pis si l’on ne m’écoute pas
Et
je continuerai d’écrire !
1493-
Pour l’honneur de la Sainte Vierge,
Tant
que Dieu me prêtera vie,
Je
donnerai des coups de verges
Aux
conciliaires et tradis.
1494-
Car ils l’ont déshonnorée
Jusqu’à
même la piétiner
Par
tous leurs sophismes hideux :
Et
je me tairais sur eux ?
1495-
Non, je ne me tairai pas :
C’est
pourquoi l’on me fait la guerre !
J’ai
contre moi les conciliaires
Et
les tradis qu’aime François.
1496-
Partez, partez gens des réseaux
Et
ne lisez point mes travaux :
Allez
donc faire la fête
À
Clisson chez le hellfest !
1497-
Partez, messieurs les tradis
Qui
vous dites de bonne vie !
Je
n’ai rien à faire avec vous :
Vous
êtes du parti des loups !
1498-
Ne me lisez surtout pas,
Vous,
gens de bon aloi
Qui
penchez de côtés et d’autres
Pour
faire les bons apôtres.
1499-
Je suis du parti catholique
Que
tout le monde critique,
Soit
en le discriminant,
Soit
en le défigurant.
1500-
Tout un chacun a bien compris
Tout
ce qu’au long j’ai dit !
Je
ne critique personne :
Priez
donc tous la Madone !
À télécharger ici :
1883- « De nos jours, en la plupart,
RépondreSupprimeril y a un rejet total de tout respect de Dieu. »
(Saint Pie X)