mercredi 28 novembre 2018

POÈME-DES-POÈMES 30


(à retrouver
ICI dans la Playlist "Intégral Ave Maria")
 
* * *

1451- En ces trois jours ténébreux
L’univers sera en feu,
Et qui pourra échapper ?
Ceux que Dieu voudra protéger !

1452- Car plusieurs échapperont
À cette terreur sans nom
Puisque l’Église reparaîtra :
Elle ressuscitera !

1453- La convulsion sera terrible
Car notre Dieu est invincible :
La mesure sera mesurée
Sur notre temps d’iniquité.

1454- Plus nous nous serons assoupis
Dans ce temps d’Apostasie,
Plus nous serons alors surpris,
Et plus seront grands les cris.

1455- Cris de désespoir incommensurable,
Cris d’une horreur inénarrable
En voyant s’écrouler d’un coup
Le royaume forgé par les loups !

1456- On les verra courir de-ci de-là
Comme des flammes inextinguibles
Que le soufre embrasera
Au milieu des démons visibles !

1457- Ce ne seront plus anges de lumière
Comme ils se seront plus à le faire
Lors des trois ans et demi
De la fin de l’Apostasie.

1458- Mais ils prendront leur forme hirsute
Qui est la leur dans les enfers
Lorsqu’adviendra la culbute
Du Fils aîné de Lucifer.

1459- Et nous verrons tout l’enfer
Déchaîné sur toute la terre :
Le hellfest de Clisson est l’image
De ce que sera ce grand naufrage.

1460- Mais c’est une image bien pâle
Qui ne représente qu’imparfaitement
Ce qui arrivera à ce moment :
Ce n’est qu’un misérable carnaval.

1461- Notre-Dame nous a avertis,
Il y a cent ans à Fatima
De ce que serait ce moment-là :
« Des nations seront anéanties. »

1462- Anéanties ! autrement dit
Que plusieurs d’entre les nations
Totalement disparaîtront !
Maintenant, avez-vous compris ?

1463- Dites-moi, qu’est-il resté
Et de Sodome et de Gomorrhe ?
Une mer plus que salée
Portant le nom-même de la mort !

1464- Notre monde n’est-il pas Sodome
Avec ses mariages entre hommes ?
Si Gomorrhe fut punie par le feu,
Notre monde échapperait à ce feu ?

1465- Non point ! Ce sera un déluge
De soufre tout embrasé
Pour punir l’Homme de péché !
Mais où trouverons-nous refuge ?

1466- C’est dans le doux Cœur-Immaculé
Qu’il faudra tous nous réfugier,
Car elle trouvera bien le moyen
De nous faire échapper du malin.

1467- Ces trois jours de flammes écoulés,
La terre semblera désolée,
Et l’homme paraîtra solitaire
Au milieu de ce grand désert.

1468- Cette grande purification,
Lorsqu’elle sera accomplie,
La terre sera comme un paradis,
Paradis par anticipation.

1469- Comme jamais il n’y a eu
Une si grande tribulation,
Jamais de même il n’y aura plus
Une si grande purification.

1470- L’Église du tombeau sortira
Car elle seule ressuscitera :
Toutes les sectes auront disparu
Et pour toujours elles seront vaincues.

1471- Que nous faut-il faire maintenant,
Dans ce temps de déliquescence ?
C’est simple : il faut promptement
Se livrer sans réserve à l’espérance.

1472- Non l’espérance de Jean-Paul II,
Non plus que celle de Vatican II,
Pas davantage celle de François,
Non plus que celle de Benoît !

1473- L’espérance de la conciliaire
N’est qu’une désespérance
Puisqu’elle n’espère que dans la terre
Et que d’être à son aisance.

1474- Quant à l’espérance des tradis,
Elle n’est pas mieux fournie :
Elle espère dans les sacrements
Qu’ils reçoivent illicitement.

1475- Ces espérances ne valent rien :
Elles sont espérances du grappin
Qui se joue de tous ces misérables
Qui ne sont qu’esclaves du diable.

1476- Nulle espérance chez les hérétiques,
Non plus que chez les schismatiques,
Les excommuniés, les apostats :
Aucune espérance chez ces gens-là !

1477- Ils se récriront évidemment
Et me traiteront d’imbécile
Ou d’une créature vile
Qu’on doit mettre sous médicaments !

1478- D’ailleurs François ne se gêne pas
Pour le dire tout haut et non tout bas,
Puisqu’il traite de tous les noms
Ceux qui ne sont pas de son démon.

1479- Il aime par contre les tradis
Qui sont de la Société-Saint-Pie
Car ceux-là font bien ses affaires,
Étant de la secte de Lucifer.

1480- Je vous écorche les oreilles ?
À la bonne heure, j’en suis ravi,
Car les conciliaires et tradis
Sont tous de la même corbeille.

1481- Ils ont déformé le Rosaire
Par des intentions délétères,
Si bien qu’il est peccamineux
Pour qui le dit avec eux.

1482- Mais pourquoi ont-ils attaqué
Ce dernier moyen de salut ?
Je vais vous le dire, écoutez !
Mais pourquoi parler tant et plus ?

1483- Personne ne m’écoutera,
Et j’en suis bien conscient,
Car dans ce misérable temps
On n’écoute que François !

1484- Eh bien, je vous le dirai,
Et vous n’aurez aucune excuse
Puisqu’alors vous le saurez :
Donc, arrière toute ruse !

1485- Au temps de la Grande Apostasie
Où nous sommes aujourd’hui,
Seul le recours à Marie
Nous y mettra à l’abri.

1486- Ce recours est le Rosaire,
Comme Notre-Dame du Rosaire
De Fatima nous l’a bien dit :
Ne l’avez-vous donc pas compris ?

1487- Conciliaires et tradis
Ont tout cela compris !
C’est pourquoi ils ont déformé
Ce qui était commandé.

1488- Les premiers ont ajouté
Un nouveau chapelet !
Par des mauvaises intentions
L’ont déformé les seconds !

1489- Conciliaires et tradis,
Vous vous moquez de Marie :
Attendez-vous maintenant
À votre châtiment !

1490- Au Père Fuentes, Lucie
A dit et très clairement
Ce que demandait Marie
Pour aujourd’hui, notre temps.

1491- Personne n’a écouté,
Et d’elle l’on s’est moqué,
Aussi bien tradis et conciliaires !
Et maintenant, puis-je me taire ?

1492- Non, je ne me tairai pas :
Je dirai ce que j’ai à dire !
Tant pis si l’on ne m’écoute pas
Et je continuerai d’écrire !

1493- Pour l’honneur de la Sainte Vierge,
Tant que Dieu me prêtera vie,
Je donnerai des coups de verges
Aux conciliaires et tradis.

1494- Car ils l’ont déshonnorée
Jusqu’à même la piétiner
Par tous leurs sophismes hideux :
Et je me tairais sur eux ?

1495- Non, je ne me tairai pas :
C’est pourquoi l’on me fait la guerre !
J’ai contre moi les conciliaires
Et les tradis qu’aime François.

1496- Partez, partez gens des réseaux
Et ne lisez point mes travaux :
Allez donc faire la fête
À Clisson chez le hellfest !

1497- Partez, messieurs les tradis
Qui vous dites de bonne vie !
Je n’ai rien à faire avec vous :
Vous êtes du parti des loups !

1498- Ne me lisez surtout pas,
Vous, gens de bon aloi
Qui penchez de côtés et d’autres
Pour faire les bons apôtres.

1499- Je suis du parti catholique
Que tout le monde critique,
Soit en le discriminant,
Soit en le défigurant.

1500- Tout un chacun a bien compris
Tout ce qu’au long j’ai dit !
Je ne critique personne :
Priez donc tous la Madone !


À télécharger ici :

1 commentaire:

  1. 1883- « De nos jours, en la plupart,
    il y a un rejet total de tout respect de Dieu. »

    (Saint Pie X)

    RépondreSupprimer