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ICI dans la Playlist "Florilèges")
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* * *
951-
Non point fils de fer barbelés,
Non
plus d’ailleurs que fils électriques,
Mais
bien plutôt des fils numériques
Inextricables
et enchevêtrés !
952-
Ces fils sont bien plus efficaces
Que
la plus cloisonnée des prisons,
Et
c’est dans cet enfer que sa face
Se
montre celle-même du Dragon.
953-
Mais personne ne l’aperçoit,
Car
l’on dit : « Mais non, c’est François ! »
Qu’il
soit François ou un autre,
C’est
le même faux-apôtre.
954-
Ce faux-apôtre évangélise
En
changeant tout l’Évangile :
On
le croit ! C’est une méprise :
Vous
obéissez à un débile.
955-
Car vous méritez votre patron,
Vous
qui fûtes désobéissants
À
l’Église il y a soixante ans :
« Nous
ne la servirons pas, non ! »
956-
Mais que servez-vous maintenant ?
Un
homme de rien, un néant,
Que
vous prendrez bientôt pour le Christ,
Lui
qui n’est que l’Antéchrist.
957-
Vous lui dites déjà : « Nous t’aimons ! »
Vous
lui direz alors : « Nous t’adorons ! »
Lorsque
bientôt vous le verrez
Faire
des prodiges inusités.
958-
Car nous sommes à la veille
De
cette immense merveille
Qu’un
homme se prendra pour Dieu,
Davantage
même : plus que Dieu !
959-
Et vous direz : « C’est bien lui
Que
l’Écriture nous a promis :
Il
a fait de la terre le ciel !
C’est
le rédempteur universel ! »
960-
« Il valorise notre terre :
Laudato-si
en est témoin !
Avec
Amoris-laetitia,
Nous
sommes libres, nous sommes rois ! »
961-
« Son Evangelii-gaudium
Est
son programme hominum !
C’est
lui notre vrai pasteur
Et
nous pas l’Exterminateur. »
962-
« Nous attendons désormais
Qu’il
prenne les rênes du monde
Quand
s’ouvrira l’âge parfait
Où
le ciel sera dans le monde. »
963-
« Le numérique est notre univers :
C’est
notre ciel, c’est notre terre,
Et
nous nous ferons marquer
Car
nous sommes ses obligés. »
964-
« Il saura bien changer les trois 6
En
un grand signe positif
En
disant que les faux trois 6
Sont
l’argent : voilà le négatif. »
965-
Le numérique est le signe parlant,
Mais
personne ne le comprend :
On
s’y rue, on s’y vautre,
Se
croyant des nouveaux apôtres.
966-
Par cette école de la rencontre,
Vous
allez bientôt vous rendre compte
De
la méprise redoutable
Où
vous enferme le diable.
967-
Vous vous croyez en liberté ?
Vous
y êtes emprisonnés.
Il
vous tient, il vous ficelle
Et
vous vous croyez au ciel ?
968-
Vous y voyez tout l’univers
Et
tous les recoins de la terre,
Et
vous dites : « Voilà notre partage !
Voilà
le temps du Nouvel-Âge ! »
969-
Mais votre temps sera bien court :
Trois
ans et demi au plus !
Ensuite
viendra votre tour
De
n’être rien, de n’être plus.
970-
Et vous direz : « Hélas, hélas !
Nous
nous sommes bien trompés !
De
roses nous nous sommes couronnés !
Voilà
qu’en enfer est notre place. »
971-
« Oui, en enfer est ma place,
Mais
nullement ne m’en tracasse,
Car
en attendant ce jour maudit,
Toute
l’Église je démolis. »
972-
« Personne ne comprend rien
De
ce que je fais ici,
Et
c’est un châtiment divin
Dont
je suis moi-même aussi. »
973-
« Je suis le châtiment de la terre
Et
de son grand aveuglement :
Ce
châtiment est nécessaire
Pour
qu’ils deviennent pénitents. »
974-
« Je suis le nouvel Attila,
Brûlant
tout sur mon passage,
Mettant
partout le pillage
Pour
que l’herbe ne repousse pas. »
975-
« Dieu a permis que j’arrive
Pour
châtier l’humanité :
Je
la mène à la dérive
Car
je veux l’exterminer ! »
976-
Tu ne l’extermineras pas
Malgré
tes velléités,
Et
bientôt tu tomberas
Pour
ne plus te relever.
977-
Tu es le fléau de Dieu,
Mais
bientôt Dieu se vengera
Car
sa colère passera,
Et
toi tu iras au feu.
978-
Le feu éternel t’est réservé
Et
tu ne le sais que trop,
Toi
qui désires t’élever
Jusqu’au-dessus
du Très-Haut.
979-
Tu crois détruire l’Église,
Mais
tu seras détruit :
Solides
sont ses assises,
Mais
toi tu es pourri.
980-
Tu sais bien ce qui t’attend !
Malgré
cela, tu veux monter
Jusqu’au-dessus
du firmament !
Mais
l’enfer t’est réservé.
981-
La post-modernité
Et
la post-vérité,
Voilà
les deux piliers
De
cet Homme damné.
982-
Il vient d’appeler l’Église,
Son
épouse à lui-même !
Il
révèle par là-même
Qu’il
est christ de son église.
983-
Mais non pas Vicaire du Christ,
Mais
bel et bien l’Antéchrist,
Car
nul Pape ne s’est appelé
De
l’Église l’épousé.
984-
L’Église est l’Épouse du Christ,
Mais
non pas l’épouse du Pape :
Celui-ci
est Vicaire du Christ.
L’Antéchrist
est donc un faux-pape.
985-
Car il se dit de l’Église époux,
Se
prenant lui-même pour le Christ :
C’est
non une brebis mais un loup,
Et
pour tout bien dire, l’Antéchrist !
986-
Notre œil n’a donc point vu
Ce
qui doit arriver,
Ni
notre oreille entendu
Ce
qui va se passer.
987-
Mais nos yeux ont bien vu
Ce
qui est arrivé,
Et
nos oreilles entendu
Tout
ce qui s’est passé.
988-
Qui a compris le début
Comprend
déjà la fin,
Car
le scorpion est venu
Pour
verser son venin.
989-
De sa tête il a piqué,
De
sa queue il piquera :
Ceux
qui en sont infectés
Ne
comprennent pas cela.
990-
Car sur qui s’appuie la queue ?
Bien
sûr, sur Vatican II
Qui,
du Léviathan, est la tête :
Sa
queue est la dernière tête.
991-
« Église, Église, je te détruis,
Rugit
cet énergumène !
À
ta place, je mets la mienne :
De
toi, c’en est bien fini ! »
992-
« J’ai dit : Organisez la confusion !
Et
je l’ai dit publiquement
Devant
beaucoup de jeunes gens
Au
Paraguay ! Est-ce vrai ou non ? »
993-
« Je suis la grande Babylone,
La
Jérusalem terrestre !
Rien
ne me déboulonne
Car
je suis un extra-terrestre. »
994-
« N’ai-je pas parlé des martiens
Que
je baptiserais comme miens ?
Je
suis bien plus que l’infini :
Je
suis plus que Dieu, et j’ai tout dit ! »
995-
« Croyez-vous qu’Hénoch et Élie
M’effraient
et me font peur ?
Je
suis le grand Exterminateur :
Par
ma main ils seront occis ! »
996-
« Mon règne sera plus qu’éternel,
Au-delà
de l’éternité
Comme
je l’ai proclamé :
La
terre deviendra le ciel ! »
997-
« Ne voyez-vous pas les changements
Que
j’opère dorénavant
Pour
atteindre ce but ultime
Et
pour monter de cime en cimes ? »
998-
« Ne voyez-vous pas que sur Vatican II
J’assieds
toute ma doctrine ?
Mais
j’ai aveuglé vos yeux,
Moi,
le polisson des latrines. »
999-
« Celui qui a dit cela,
L’a
dit de mon ami Luther !
Mais
je suis bien plus que Luther.
Fin
de mon discours : j’arrête là. »
1000-
Ne suffisent pas quatre mille vers
Pour
décrire cet Homme damné
Qui
finira dans les enfers :
Il
me faut donc continuer.
À télécharger ici :
1871- « Mon fils, j’aimerais beaucoup mieux vous voir mort,
RépondreSupprimerque souillé d’un seul péché mortel. »
(Bienheureuse Blanche de Castille à saint Louis enfant)