1851- Souhaitez
Joyeuses Pâques,
Je le fais bien à tous ;
Bouc me donnant des claques,
Je vous invite tous.
Je le fais bien à tous ;
Bouc me donnant des claques,
Je vous invite tous.
1852- C'est la
fin de la lignée
De mes poèmes d'avant ;
Tout sera d'actualité
Dans ce qui suit dorénavant.
De mes poèmes d'avant ;
Tout sera d'actualité
Dans ce qui suit dorénavant.
1853- La fausse
apparition de Dozulé
A promis pour mars le vingt-huit,
Sans doute en l'an moins vingt-huit,
Un truc pour rigoler !!!
A promis pour mars le vingt-huit,
Sans doute en l'an moins vingt-huit,
Un truc pour rigoler !!!
1854- Dis-moi, en
qui crois-tu ?
- En rien, bien
entendu !
- Parfait ! Donc
tu n'existes pas !
- Ah bon ?
Explique-moi cela.
1855- Toi, je
t'interpelle :
Es-tu de la truelle ?
Si oui, tu es foutu
Et je te dis salut !
Es-tu de la truelle ?
Si oui, tu es foutu
Et je te dis salut !
1856- Les
internautes sont
Des amis en
carton,
Car internet,
sachez-le bien,
N’est fait que
pour les chats et chiens !!!
1857- Les F.M.
sont à mes trousses :
En riant, je les
détrousse,
Car ils ne sont
pas plus malins
Que de pauvres
petits lapins !!!
1858- Ton
téléphone publiquement,
Je te déconseille absolument :
Tu ferais mieux de l'effacer
Si tu ne veux pas te faire arnaquer.
Je te déconseille absolument :
Tu ferais mieux de l'effacer
Si tu ne veux pas te faire arnaquer.
1859-
Invitez-vous chez moi :
Vous inviter, je
ne peux pas,
Car Daesh-Bouc
m'a coupé le sifflet
Et ses pokes
m'ont fermé le clapet !!!
1860- La face du
bouc me cabosse
Et me donne des
bosses,
Mais je suis très
fort content
De ses
cabossements !
1861- Ah !
tu comptes sur les hommes ?
Il vaut mieux
croquer une pomme !
Car à ce
compte-là,
Tu ne t’en
sortiras pas !
1862- Vraiment,
internet c’est zéro !
Il vaut mieux
faire du vélo !
Ou bien alors
manger des frites !
Bref, tu connais
la suite…
1863- Qui est
fine mouche
Saura me
trouver !
Lève-toi de ta
couche,
Et cesse de
zapper !
1864- Ma
trompette j’embouche,
Allant partout
sonner !
Je suis une
vieille souche
Qui est partout à
traîner !
1865- Comédies
et spectacles,
Voilà le
réceptacle
Où les danses et
les bals
Font de
l’écologie intégrale !
1866- Je vais te
dire, ma fille :
Je suis un
roulement à billes
Qui sur le net
roule sa bosse
Et que tout le
monde cabosse !
1867- Ça y est,
c’est sorti :
Ce n’est pas
une souris
Par une montagne
accouchée,
Mais la
révolution annoncée !
1868- La voûte
maçonnique de Bergole
Est parue, et il
rigole
Car il a réussi
son coup !
Il peut faire les
quatre-cents coups !
1869- C’est
quoi la Joie-de-l’amour ?
C’est la
Tristesse-de-la-haine,
Car tout va
suivre son cours
Puisque plus rien
ne freine !
1870- Celui qui a
pas d’zyeux
Salue ceux qui
ont des yeux,
Leur disant :
aimez bien le bon Dieu
Qui n’a que
faire des yeux !
1871- Celui qui
apparaît en feu,
Autrement dit
Jean-Paul II,
Est vraiment dans
le feu,
Non le feu de
l’amour de Dieu.
1872- La morale
de François
Est une morale en
bois :
Elle est, en
vérité,
Celle-même
d’Asmodée.
1873- Internet,
c’est zéro
Plus zéro, la
tête à Toto :
C’est un
trapèze carré,
Un triangle
latomisé.
1874- Allez,
allez de l’avant,
Car la cuisson
vous attend :
Ensemble,
ensemble couchez,
Car plus d’état
de péché !!!!!!
1875- Tu es en
état de grâce,
Quoique tu dises
ou fasses,
Et ce n’est pas
moi qui le dis,
C’est
l’Antéchrist, ton cher ami !
1876- La vérité
dérange,
Et la menterie
arrange :
On n’aime pas
la première,
Mais on aime bien
la dernière.
1877- La présence
des absents
Rend absent les
présents,
Mais quand les
présents se présentent,
Alors les absents
s'absentent.
1878- Chères
amies, écoutez-moi !
Faites votre
devoir d’état.
Internet, envoyez
valser
Si c’est un
obstacle à le pratiquer.
1879- Sur le web,
les commentaires
Sont trop souvent
bien délétères :
C’est pourquoi
je ne m’y attache pas !
Ne soyez pas
surpris si je ne réponds pas.
1880- Voici un
"docteur de la loi"
Qui vous fera
bien rigoler :
C’est un
docteur à la noix
Qui a deux
"pneus" crevés !!!
1881- Si tu es
coincé,
C’est que tu ne
pries pas :
Ne vous plaignez
donc pas
Si vous êtes
coincées.
1882- Une minute
me suffit
Pour te dire
quelque chose :
Et aussitôt je
t’écris
Et je t’envoie
des roses.
1883- Je t’aime
assurément
Si tu aimes
Marie :
Dans le
contraire, en un instant
Je t’envoie
dans les orties.
1884- Enlève tes
œillères :
Alors tu verras
clair ;
Enlève tes
lunettes,
Et tout sera plus
net.
1885- Réciter la
Fatiha en pleine cathédrale,
C’est comme
baptiser les petits hommes verts,
Ce qu’un
certain Bregoglio est prêt à faire
S’ils
atterrissaient en vaisseaux spatiales !!!
1886- Ton culte
illicite te perdra ;
Ton culte
invalide te damnera ;
Tu peux donc
chanter la Fatiha
Car tu ne vaux
pas plus que cela !
1887- Les
conciliaires sont-ils catholiques ?
Non,
puisqu’hérétiques !
Les
traditionalistes sont-ils catholiques ?
Non, puisque
schismatiques !
1888- Celui qui
papillote
N’est pas bien
dans ses bottes,
Et il faut bien
l’avouer,
Les chats sont
débottés !!!
1889- Moi, je
suis comme Michée
Que personne ne
veut écouter ;
Alors je me vois
bien obligé
De pondre des
trucs bidonnés !
1890- Je suis un
idiot utile,
Et tralalère et
tralala,
M’a dit un
certain Vingt-Trois,
Lui,
l’intelligent inutile !
1891- Mon amie,
viens dans mes bras :
Récitons un Ave
Maria !
Je veux me marier
avec toi,
Mais non pas
comme veut François !
1892- Si tu te
maries selon François,
Sûr que tu
divorceras !
Si tu veux bien
te marier,
Il faut le faire
en charité.
1893- Celui qui
se prend au sérieux
Fait voir qu’il
n’est pas sérieux
En se prenant
pour un grand monsieu,
Alors qu’il est
moins qu’un cheveu.
1894- Ô Marie,
délivrez-nous
De la meute des
loups
Qui ravagent la
sainte Église
Sous un faux
François d’Assise.
1895- Ma petite
fille est partie
Écouter une
autre mélodie ;
Une fois entendue
l’harmonie,
Elle est revenue
et m’a sourie !
1896- Il s’est
endormi devant sa télé,
Mais voilà que
quand il s’est réveillé
Il s’est
retrouvé où ça ?
Dans la télé et
voilà !
1897- Voyez et
considérez,
Et puis après
réfléchissez !
Sur tous les
réseaux sociales
Règne la loge
infernale !
1898- J’ai vu
des comptes sauter
Et puis se
revigorer
Et enfin sauter à
nouveau
Pour reparaître
plus haut !
1899- N’as-tu
donc pas remarqué
Que je suis un
vieux shnoke ?
Je te le dis
d’emblée,
Je n’aime pas
les pokes !
1900- Moi, je
sais qui tu es,
Et je sais qui je
suis :
À la saison où
l’on est,
On ne sait plus
ceci !
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1751- « Les plaisirs d’ici-bas,
RépondreSupprimerplus ils sont grands et continus plus vite on s’en fatigue ;
mais les joies célestes, plus on les goûte, plus on les aime. »
(Saint Alphonse de Liguori)